Et je dois dire que ce Bluray américain offre une image magnifique à ce film, qui justement repose pas mal sur le spectaculaire (les chariots, les paysages, la traversée du fleuve, les indiens...). On croirait voir un recueil de photos d'époque, à certains moment car Cruze prend le temps de montrer ses colons, leurs moeurs, leur équipement, ça participe du plaisir à voir le film...
Si tu l'as vu dans une version moins belle, ça pourrait être l'occasion d'une réhabilitation (après, le BR est zoné, malheureusement).
Jamais vu mais je n'achète pas de BR zonés donc ça sera pour plus tard.
The Eye Of Doom a écrit :C'est bien tentant...
Par rapport au (magnifique) film de Walsh La piste des géants, c'est pas trop redondant...? (Je sais c'est sorti avant)
Il y a clairement une parenté, ainsi que pour le Cheval de fer de Ford (même si c'est un récit de colons partant vers l'ouest)... Mais curieusement, c'est à la rivière rouge que le film m'a le plus fait penser, à certains moments.
En tout cas, c'est un film qui a certainement eu une grande influence, et dont, selon le petit dossier du bluray, a connu un immense succès à sa sortie, en 1923... Le président Harding se serait même offert une projection du film...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
John Holden a écrit :Il a été édité en BR chez Kino au début de l'année.
Commandé la semaine dernière suite à l’enthousiasme de cinephage
Content pour le Bergman et le Fassbinder sinon
Pour le Bergman, je m'attendais à aimer, j'avais reporté mon visionnage parce que je voulais le découvrir sur grand écran. La salle Langlois de la Cinémathèque a un bel écran et offre de belles conditions de visionnage, d'ailleurs la salle était quasiment pleine, et les applaudissements ont fusé spontanément à la fin du film (je sais que tout le monde sur le forum n'approuve pas les applaudissements dans le vide, mais j'y ai perçu une envie de partager, sans paroles, son enthousiasme avec les autres gens de la salle, une façon de dire "c'était bien, hein ?" avant de quitter la salle...).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Max Schreck a écrit :
2. Gaspard va au mariage (Cordier), Coup de cœur. Dommage que le titre mette en avant un personnage en particulier
C'est pas juste une référence au (mauvais) film de Baumbach, Margot at the Wedding ?
Pas vu, je sais pas. Le titre est d'ailleurs doublement trompeur puisqu'on n'est pas non plus dans de la comédie de (re)mariage. Ça prend constamment des chemins inattendus.
J'adore 8 des 9 films sauf que le 9ème (le Avary) je ne l'ai jamais vu : du coup ça attise ma curiosité
Le Avary est vraiment particulier, pas sûr que ça te plaise... L'histoire est inspirée du roman éponyme de Bret Easton Ellis (je ne l'ai pas lu).
J'ai trouvé le film très audacieux et technique d'un point de vue mise en scène et certaines interprétations valent vraiment le coup d'oeil mais je pense aussi qu'il peut taper sur les nerfs selon l'humeur dans laquelle on se trouve.
On le trouvait à Noz l'hiver dernier à 2.99€, si jamais il fait son retour dans les bacs je te préviendrai .
UN BEAU DIMANCHE - Nicole Garcia (2013) : 7/10 DETOUR - Edgar G. Ulmer (1945) : 9/10 TRIPOLI - Will Price (1950) : 6/10 THE REPLACEMENT KILLERS - Antoine Fuqua (1998) : 7/10 LA VIDA SIGUE IGUAL - Eugenio Martín (1969) : 3/10 INJUN FENDER - Robert Cordier (1974) : 4/10 LA DAME D'ONZE HEURES - Jean Devaivre (1948) : 9/10 HE SAID, SHE SAID - Ken Kwapis, Marisa Silver (1991) : 8/10 LES VISITEURS : LA RÉVOLUTION - Jean-Marie Poiré (2016) : 1/10 ALLEGRO MA TROPPO - Paul De Roubaix (1962) : 9/10 LE GOBBO - François de Roubaix (1969) : 7/10 COMMENT ÇA VA, JE M'EN FOUS - François de Roubaix (1976) : 7/10 ON THE DOUBLE - Melville Shavelson (1961) : 8/10 MANDY - Panos Cosmatos (2018) : 6/10 LES GAOUS - Igor Sekulic (2003) : 0/10 NEIGHBORS - John G. Avildsen (1981) : 7/10 POOTIE TANG - Louis C.K. (2001) : 6/10 CLIMAX - Gaspar Noé (2018) : 7/10 LE DIBBOUK - Michal Waszynski (1937) : 4/10 THE END OF THE AFFAIR - Neil Jordan (1999) : 8/10 LES FUNÉRAILLES DES ROSES - Toshio Matsumoto (1969) : 8/10 ON SE CALME ET ON BOIT FRAIS À SAINT-TROPEZ - Max Pécas (1987) : 6/10 RIFIFI À TOKYO - Jacques Deray (1963) : 8/10 BAD TIMING - Nicolas Roeg (1980) : 8/10 LA BANDE DU REX - Jean-Henri Meunier (1980) : 7/10 VIVRE POUR SURVIVRE - Jean-Marie Pallardy (1985) : 7/10 FORCE NOIRE - Christian Anders (1979) : 7/10 ZOMBI 3 - Lucio Fulci, Claudio Fragasso, Bruno Mattei (1988) : 7/10 NINJA III : THE DOMINATION - Sam Firstenberg (1984) : 8/10 POPULAIRE - Régis Roinsard (2012) : 5/10 THE GLENN MILLER STORY - Anthony Mann (1954) : 7/10 QUELQUE PART QUELQU'UN - Yannick Bellon (1972) : 6/10 NORTH DALLAS FORTY - Ted Kotcheff (1979) : 9/10 PINOT SIMPLE FLIC - Gérard Jugnot (1984) : 8/10 DESTINY TURNS ON THE RADIO - Jack Baran (1995) : 3/10 L'ULTIMO GUERRIERO - Romolo Guerrieri (1984) : 7/10 UNTAMED FRONTIER - Hugo Fregonese (1952) : 8/10 CLÉO DE 5 À 7 - Agnès Varda (1962) : 8/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
UN BEAU DIMANCHE - Nicole Garcia (2013) : 7/10 DETOUR - Edgar G. Ulmer (1945) : 9/10 TRIPOLI - Will Price (1950) : 6/10 THE REPLACEMENT KILLERS - Antoine Fuqua (1998) : 7/10 LA VIDA SIGUE IGUAL - Eugenio Martín (1969) : 3/10 INJUN FENDER - Robert Cordier (1974) : 4/10 LA DAME D'ONZE HEURES - Jean Devaivre (1948) : 9/10 HE SAID, SHE SAID - Ken Kwapis, Marisa Silver (1991) : 8/10 LES VISITEURS : LA RÉVOLUTION - Jean-Marie Poiré (2016) : 1/10 ALLEGRO MA TROPPO - Paul De Roubaix (1962) : 9/10 LE GOBBO - François de Roubaix (1969) : 7/10 COMMENT ÇA VA, JE M'EN FOUS - François de Roubaix (1976) : 7/10 ON THE DOUBLE - Melville Shavelson (1961) : 8/10 MANDY - Panos Cosmatos (2018) : 6/10 LES GAOUS - Igor Sekulic (2003) : 0/10 NEIGHBORS - John G. Avildsen (1981) : 7/10 POOTIE TANG - Louis C.K. (2001) : 6/10 CLIMAX - Gaspar Noé (2018) : 7/10 LE DIBBOUK - Michal Waszynski (1937) : 4/10 THE END OF THE AFFAIR - Neil Jordan (1999) : 8/10 LES FUNÉRAILLES DES ROSES - Toshio Matsumoto (1969) : 8/10 ON SE CALME ET ON BOIT FRAIS À SAINT-TROPEZ - Max Pécas (1987) : 6/10 RIFIFI À TOKYO - Jacques Deray (1963) : 8/10 BAD TIMING - Nicolas Roeg (1980) : 8/10 LA BANDE DU REX - Jean-Henri Meunier (1980) : 7/10 VIVRE POUR SURVIVRE - Jean-Marie Pallardy (1985) : 7/10 FORCE NOIRE - Christian Anders (1979) : 7/10 ZOMBI 3 - Lucio Fulci, Claudio Fragasso, Bruno Mattei (1988) : 7/10 NINJA III : THE DOMINATION - Sam Firstenberg (1984) : 8/10 POPULAIRE - Régis Roinsard (2012) : 5/10 THE GLENN MILLER STORY - Anthony Mann (1954) : 7/10 QUELQUE PART QUELQU'UN - Yannick Bellon (1972) : 6/10 NORTH DALLAS FORTY - Ted Kotcheff (1979) : 9/10 PINOT SIMPLE FLIC - Gérard Jugnot (1984) : 8/10 DESTINY TURNS ON THE RADIO - Jack Baran (1995) : 3/10 L'ULTIMO GUERRIERO - Romolo Guerrieri (1984) : 7/10 UNTAMED FRONTIER - Hugo Fregonese (1952) : 8/10 CLÉO DE 5 À 7 - Agnès Varda (1962) : 8/10
J'avais bien aimé également ce Nick Nolte le mois dernier, je me demande même si je ne l'avais pas un peu saqué dans ma notation.
Content pour le Devaivre.
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
Je ne sais plus si tu l'as vu ?
De mon côté le moins bon Mamet, de loin. L'impression de voir une pièce de théatre filmée; ce qui est d'ailleurs plutôt le cas vu que le film est adapté d'une pièce de Mamet. Pas accroché du tout malgré William H. Macy que j'adore. J'ai eu plus de mal avec sa partenaire Debra Eisenstadt.
Globalement l'étrange impression que le film fait du surplace pendant 1h30.
Pas vu, non. J'ai le blu UK dans mon panier depuis sa sortie, mais là j'hésite...
Sans concurrent et contre toute attente, film du mois décerné au langoureux et hyper stylisé Mandy de Panos Cosmatos. Film romantique si'l en est, après le ludique et résilient Under the silver Lake, consacré le mois dernier, aux douleurs de la perte de l'être aimé.
NEAR DARK, de Kathryn Bigelow.
Par rapport à deux autres films "de vampires" de la même époque que j'avais pourtant bien aimé (Fright Night et The Lost Boys), je trouve que celui ci a très bien vieillit, il fait très peu daté pour un film des 80s.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain