Ca y est: j'ai vu
The Fast and the Furious: Tokyo Drift et donc tous les
F&F.
Cela va être mon nanar du mois. C'est dommage car cela démarrai sur les chapeaux de roues. En effet, je l'ai trouvé prenant pendant les 30 premières minutes, bien régressives. Puis, comme dans tous les
F&F, il y a un moment où, à force de reposer mon cerveau, je décroche.
Mais là une multitudes de petits éléments ont réussir à maintenir un relatif intérêt: Sonny Chiba qui surjoue pas mal, la jolie Nathalie Kelley, Brian Tee et Lil' Bow Wow en roue libre, l'inexpressivité de Lucas Black, sa ressemblance avec Paul Walker mais aussi le fait qu'ils jouent des lycées mineurs alors qu'ils ont tous au moins 25 ans.
Les courses-poursuites sont moyennes et leur aspect parfois numérique leur nuit pas mal.
Du côté du positif, Sung Kang est pas mal du tout mais la psychologie de son personnage dans cet opus ne me semble pas correspondre à celle des épisodes 4, 5 et 6.
J'ai bien aimé le caméo de Vin Diesel qui dans son jeu ne se prend pas du tout au sérieux par rapport à la suite de la saga et au premier volet: durant ces quelques instants, Toretto m'a eu l'air trop détendu.
Sinon, j'ai trouvé le 3 moins pire que le 2.