c'est effectivement un introuvable ... mais on peut y acceder via une cavernefeb a écrit :Robert Taylor, Eleanor Parker et ça n'existe pas en DVDTu l'as vu par le biais d'un enregistrement TV hansolo ?


GIYF
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
c'est effectivement un introuvable ... mais on peut y acceder via une cavernefeb a écrit :Robert Taylor, Eleanor Parker et ça n'existe pas en DVDTu l'as vu par le biais d'un enregistrement TV hansolo ?
M'en parle pas!!Jeremy Fox a écrit : Ca devient insupportable ce forum
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Le plus prenant à part Naked Prey, c'est "no blade of grass" (terre brulee), espece de fable ecolo-trash traitée pied au plancher, ou tout le monde est deja pret a s'entretuer au bout de 5 mn de film (ou 10 parce que les 5 premieres minutes sont juste un collage apolcalyptique un peu penible , de ce que je me souvienneRick Blaine a écrit : Cornel Wilde, d'abord connu comme acteur dans les années 40 et 50, et que je connaissais surtout pour son rôle dans The Big Combo, l'excellent film noir de Joseph H. Lewis, s'est tourné vers la réalisation au milieu des années 50. Il dirigera 8 films, pour la plupart tombés dans l'oubli. Il semble toutefois que Beach Red soit un film de guerre intéressant.
En effet. Juste avant, il avait composé également la musique d'un thriller anglais : Faces in the Dark, dans lequel j'ai cru ouïe dire qu'il avait utilisé de l'Onde Martenot. Film très difficile à voir lui aussi et que je suis sûr que même Lord Henry n'a jamais vu.riqueuniee a écrit :On imagine mal de la musique de style grec sur un tel sujet...![]()
La partition repose sur deux motifs qui sont pour l'essentiel répétés tout au long du film. Il est amusant de noter que Théodorakis s'est plié au style "Hammer" jusqu'à se rapprocher de l'esthétique d'un James Bernard. Il faut sans doute y voir la patte du directeur musical du studio, John Hollingsworth.julien a écrit :J'ai jamais réussit à le voir celui-là. Il passe pas souvent. Il y a l'air d'avoir un beau noir et blanc. La curiosité c'est la participation de Mikis Theodorakis, qui signe là une partition (j'ai juste entendu le générique de début) assez moderniste et très différente de ses compositions ultérieures, plus folkloriste comme Zorba le Grec ou même Z.
Le ton de The Naked Prey est clairement plus léger que celui de Zaroff (que je trouve également formidable). Il n'y a pas cette volonté pour Wilde de livrer une histoire implacable, mais plus d'étudier la situation de l'homme dans un environnement sauvage. J'aime assez ce traitement léger, voir même assez souvent drôle, autour de la bouffe.Père Jules a écrit : Cependant j'ai un reproche à faire au film. Certaines situations (comme la dégustation de l'escargot géant) me paraissent traitées avec beaucoup trop de légèreté. J'aurais aimé un film beaucoup plus sombre, implacable, comme l'est ma foi The Most Dangerous Game (Zaroff). Idem pour la rencontre avec le jeune, ça me semble être une grosse faute de goût (surtout quand il chante, j'avais envie de lui foutre deux paires de baffes), une concession presque inexcusable à la logique commerciale.
Une belle découverte tout de même. Inoubliable donc.