Errol Flynn (1909-1959)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

someone1600 a écrit :Et bien il me reste plus qu'a le regarder aussi lol... je dois bien en avoir un enregistrement TCM.
Fonce, tu passeras une très bonne soirée ! :wink:
Image
Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

San Antonio - Réalisé par David Butler / 1945 :

Image

Revu ce western hier. Je serais moins indulgent qu'à la première vision. Ce film représente un tournant pour Errol Flynn, et pas spécialement dans le bon sens. En effet, c'est la première fois qu'il tourne un produit mal fignolé. Jusque-là, Michael Curtiz et Raoul Walsh, sans oublier Lewis Milestone, Frank Borzage, ou même Lloyd Bacon (si si, son Footsteps in the dark est très sympa), avaient su capter son génie d'acteur et le propulser au sein d'une pléiade de classiques (régulièrement de grands films). San Antonio marque le pas, ce ne sera plus jamais la même chose. Il y aura bien encore quelques films de haut niveau (l'excellente Rivière d'argent, puis Les aventures de Don Juan, Never say goodbye, Escape me never, That Forsyte woman,La révolte des dieux rouges, et deux ou trois séries B plutôt efficaces), mais jamais il ne retrouvera le souffle passé. J'irais plus loin en disant même que San Antonio contient déjà en germe (et quel germe !) ce qui fera la déroute artistique de Montana quelques années plus tard. Nous avons ici un western qui alterne les moments honnêtes comme les moments vraiment moins réussis. Les transparences sont hideuses, les scènes d'action plaquées ici et là pour "faire bien" (c'est souvent décousu et cela s'étire gratuitement, sans logique narrative), les acteurs transparents comme pas permis, le rythme sclérosé dans un embarras grotesque dû au plus gros soucis du film : un scénario décousu, sans réel enjeu qui tienne en place. Ce que raconte ce film, un grand metteur en scène aurait pu le raconter en 30 minutes, c'est dire. On se demande ce qu'espérait la Warner en commettant ce forfait. Peut-être voulait-elle continuer la série de westerns aux noms de villes inaugurée par Dodge city et continuée par Virginia city... Mais n'est pas Curtiz qui veut. Le pire, c'est que l'équipe technique derrière David Butler ne suit même pas. A part quelques plans plastiquement réussis (la chevauchée au début, le plan d'ensemble sur l'intérieur des ruines de Fort Alamo...), c'est assez médiocre.

Je passe sur les clichés (à ce niveau là, j'appelle ça comme ça) empilés les uns sur les autres, pour aller au plus direct, la bagarre générale dans le saloon et dans la ville à la fin. Essayant probablement de reproduire l'étonnante et homérique scène de Dodge city, la séquence tombe totalement à plat. La raison ? Simple : le montage est mou, la caméra n'ose rien de captivant, les acteurs sont figés, les cascadeurs en font des tonnes (un type abattu d'une balle et qui tourne deux fois sur lui-même avant de tomber, un autre qui tente de s'enrouler dans des cordes suspendues avant de rendre l'âme... c'est fou cette succession de figures artistiques ratées pour produire une belle mort !), et ce n'est pas finit... Dès que l'action s'emballe, on ne distingue plus tellement de logique (encore une fois) et l'on se surprend à rire devant chaque type essayant de prendre une table de saloon pour se protéger (il y en a même un qui prend une table avant d'enjamber une barrière pour sauter, on se demande ce qu'il essaye de faire :lol: ). Dès que l'action sort dans la rue, quelques plans font illusion, mais c'est dans l'ensemble encore bien mou. Chose amusante, on voit un cascadeur sauter du balcon du saloon pour atterrir sur un beau matelas de protection (scène visible en arrière plan), ce qui rend l'action dérisoire et lui donne un second degré bien involontaire. Les techniciens auraient pu mieux cacher leur affaire. :mrgreen:

La fin du film est identique au reste, on se fiche bien ce qui se passe sous nos yeux. Errol Flynn, d'abord goguenard et en roue libre, peu ou pas dirigé (tout sourire), semble d'abord s'amuser. Et puis, au fur et à mesure du film, il semble réellement commencer à s'ennuyer, comme nous. Son rôle est d'ailleurs inintéressant, lui qui avait pourtant eu droit à des évolutions de carrières passionnantes entre 1935 et 1945 (il y en aura encore d'autres malgré tout). Et il est à noter qu'en Technicolor, ses excès commencent à se voir. L'acteur a 36 ans, mais il en fait presque 45. Il reste charmeur, bel homme, assez cool et très bien portant (avouons-le) avec son charisme inébranlable, mais sa vie de patachon commence à être difficilement gérable dans certains films. C'est bien lui qui, en tout cas, sauve un peu le film, grâce notamment à quelques bonnes répliques. Alexis Smith est pour ainsi dire absente. Il parait que Walsh a participé au tournage, pour donner un coup de main... Il n'a pas dû venir bien souvent. Dommage. Après avoir atteint l'un des sommets de sa carrière avec Aventures en Birmanie, Flynn apparait ensuite la même année dans cet étron. Tout cela est bien curieux, on sent quasiment que la Warner commence petit à petit à lâcher son poulain. Doucement, mais sûrement. Cela dit, il connaitra des années 1946 et 1948 encore entrainantes. Rassurons-nous, ici le film n'est certes pas bon, mais l'on n'atteint pas encore le nanar. On continue à s'amuser ponctuellement au sein de ce scénario complètement non-sensique (vous me pardonnerez ce néologisme). L'acteur fera pire, eh oui, avec Montana, sorte de point de non retour.
Dernière modification par Julien Léonard le 28 nov. 10, 22:02, modifié 1 fois.
Image
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 102484
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Jeremy Fox »

Julien Léonard a écrit : L'acteur fera pire, eh oui, avec Montana, sorte de point de non retour.

Je te trouve bien dur avec Montana ; tu n'aimes pas les moutons ? :mrgreen:
Franchement, j'ai passé un bien meilleur moment devant Montana et San Antonio (très sympathique également malgré tous ses défauts et clichés) que devant Desperate Journey ; le Technicolor me fait peut-être perdre tout sens critique :oops:
Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Jeremy Fox a écrit :
Julien Léonard a écrit : L'acteur fera pire, eh oui, avec Montana, sorte de point de non retour.

Je te trouve bien dur avec Montana ; tu n'aimes pas les moutons ? :mrgreen:
Franchement, j'ai passé un bien meilleur moment devant Montana et San Antonio (très sympathique également malgré tous ses défauts et clichés) que devant Desperate Journey ; le Technicolor me fait peut-être perdre tout sens critique :oops:
Ben, comment dire... ? :mrgreen:

Desperate journey est un gros film d'action. Certains trouveront qu'il y en a même trop, et je veux bien le comprendre. N'ayant pas eu ce problème et ayant passé un moment assez jouissif, j'ai beaucoup apprécié l'ensemble du film. :wink: Mais surtout, pour rester concret, ce qui fait la force de ce film de Walsh, c'est qu'il est très bien réalisé, il est techniquement sans faille, y compris sur une charte graphique noir & blanc très appuyée concernant les contrastes et zones d'ombres. C'est un produit destiné au grand public, certes, mais c'est un produit très bien fignolé, fonceur et stylisé. Il agacera, ennuiera ou émerveillera (tout en prenant en compte un fond rapidement expédié), mais c'est un film fort bien conçu, il faut le reconnaitre, et où toute l'équipe travaille de conserve.

Le souci de San Antonio, et surtout de Montana, c'est qu'ils pèchent artistiquement. Leurs scénarios s'embourbent dans l'absence de clarté, les enjeux sont mal définis et sont chargés de clichés (pour le coup, ce sont des films qui ne font pas forcément du bien au genre en lui-même, et à sa réputation). Pour ne rien arranger, ils pèchent visuellement. On note des tas de problèmes (comme je l'ai souligné plus haut), des scènes mal chorégraphiées, bref, un produit finit mal accompagné. J'irais même plus loin, Montana (mais ma chronique parle pour elle-même, soulignant le ridicule d'un scénario que je trouve mal amené) reste symbolique de beaucoup de choses qu'il ne faut jamais faire quand on réalise un western, à mon sens. Régulièrement dans San Antonio, on frôle la catastrophe, et on flirte souvent avec le mauvais goût. Et surtout, ils apportent des idées visuelles (le look des bad guys) que l'on croisait dans le genre western 10 ans plus tôt. C'est du Technicolor de carton pâte (je n'ai rien contre, au contraire, mais pas ici), avec un héros fringant et habillé pour la foire, un sourire colgate, et beaucoup de paresse dans le style. On dirait presque du western "pour rire", alors que ces deux films ne s'en revendiquent absolument pas. C'est là tout le problème.

Je suis désolé Jeremy (olala tu vas m'en vouloir, à force :oops: ), mais ces deux films sont pour le moment (et surtout le second) des productions vraiment décevantes me concernant. Et je n'arrive pas à leur trouver de réelles qualités qui les transcenderaient quelque peu.

Quand je vois, avec un budget bien moindre, ce que fait Boetticher... ça laisse songeur. :wink:
Image
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 102484
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Jeremy Fox »

Bah oui, rien à voir avec Boetticher évidemment ; tu essaies de me prendre par les sentiments là :mrgreen:

J'adore les clichés et le ton bon enfant véhiculés par ces deux westerns mineurs et qui ne se prennent d'ailleurs jamais vraiment au sérieux ; ils ne revendiquent aucune ambition, juste le pur 'Entertainment' et rien d'autre. Si on les prend tels quels, on peut comme moi s'y délecter. Mais je comprends aussi parfaitement qu'on puisse les trouver très mauvais et ça ne me choque aucunement. D'ailleurs, ce sont des westerns que je ne conseillerais à personne d'autres qu'à des mordus du genre, pas même à mon épouse qui ne crache pas sur de bonnes séries B westerniennes de temps à autre et qui penserait probablement la même chose que toi à leurs propos :wink:


En revanche, et pour aller dans ton sens cette fois, belle surprise que The Edge of Darkness de Lewis Milestone ; rarement vu un film de propagande aussi étonnant et puissant sur la résistance face à l'occupation allemande. Une réussite en premier lieu due à un remarquable scénario de Robert Rossen qui brosse une galerie de personnages d'une très grande richesse (la séquence dans l'église permet de s'en rendre compte qui va à l'encontre de ce à quoi on pouvait s'attendre) ; mais la mise en scène est également d'une redoutable efficacité (Milestone aime les travellings et l'on se souviendra surtout de ceux très rapides lors de l'attaque finale sur le repaire nazi). Pas un chef-d'oeuvre mais un film qui mérite la découverte et dans lequel Errol Flynn fait jeu égal avec un casting de premier ordre dont entre autres Ann Sheridan, Walter Huston et la belle Nancy Coleman.
Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Effectivement, Edge of darkness est excellent ! Content que tu aies aimé. J'ai bientôt finis mon petit travail (mais je ne le finirais vraiment que la semaine prochaine, quand j'aurais un nouveau PC :mrgreen: ), et dedans j'ai même tendance à penser qu'il s'agit carrément d'un chef-d'œuvre (mais cette notion peut être contestable, on peut en discuter). Je l'ai revu une seconde fois d'affilée, histoire de me refaire une opinion, et je ne bouge pas d'un iota. Il est très impressionnant et je parles aussi de ce que tu soulignes (cela me rassure, on y a vu des choses similaires). Milestone a frappé très très fort, c'est le moins que l'on puisse dire.

Tu verras, Saboteur sans gloire travaille un peu en dessous, mais propose un scénario très original et surtout un Flynn très cynique, à la limite de l'insupportable parfois, aux côtés d'un Paul Lukas vraiment très bon lui aussi. :wink:
Image
Avatar de l’utilisateur
Jeremy Fox
Shérif adjoint
Messages : 102484
Inscription : 12 avr. 03, 22:22
Localisation : Contrebandier à Moonfleet

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Jeremy Fox »

Julien Léonard a écrit : Tu verras, Saboteur sans gloire travaille un peu en dessous, mais propose un scénario très original et surtout un Flynn très cynique, à la limite de l'insupportable parfois, aux côtés d'un Paul Lukas vraiment très bon lui aussi. :wink:

Un film de propagande en effet vraiment très réussi à l'intrigue originale et aux enjeux dramatiques passionnants ; Errol Flynn trouve probablement son rôle le plus étonnant (un criminel athé) et forme avec Paul Lukas un duo qui fonctionne parfaitement. Ca patine un peu dans la seconde partie mais ça vaut franchement le détour.

En résumé, me concernant, un très bon coffret contenant un chef-d'oeuvre (Objective Burma), deux très bonnes surprise (Edge of Darkness & Uncertain Glory) et deux plaisants films d'action (Northern Pursuit & Desperate Journey)
Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Très content que tu ais apprécié Saboteur sans gloire, un film assez étrange, à l'atmosphère relativement unique. Je travaille dessus ces jours-ci (et il faut que je refasse toutes les captures... perdues dans le crash de mon ancien pc...). :)
Image
someone1600
Euphémiste
Messages : 8853
Inscription : 14 avr. 05, 20:28
Localisation : Québec

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par someone1600 »

Vous commencez a me donner vraiment envie avec ce coffret la... :P
Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

someone1600 a écrit :Vous commencez a me donner vraiment envie avec ce coffret la... :P
Fonce ! C'est du plaisir en barres ! Au pire, tu passeras de bons moments bien rythmés, au mieux tu auras le loisir de découvrir quelques films méconnus présentant une tenue irréprochable (bon, et puis Aventures en Birmanie, c'est juste l'un des plus grands films de guerre jamais produits... dans le top 20 américain, toute époque confondue). Ce coffret est à la fois ludique, passionnant et réserve de jolies surprises. :)
Image
Avatar de l’utilisateur
Père Jules
Quizz à nos dépendances
Messages : 16965
Inscription : 30 mars 09, 20:11
Localisation : Avec mes chats sur l'Atalante

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Père Jules »

Je dirais même plus, c'est vraiment un excellent coffret. Outre Aventures en Birmanie, qui est un incontournable, ma plus belle découverte reste sans doute Edge of Darkness qui est d'une originalité tout à fait remarquable pour un film de guerre. Construire un film comme celui-ci sur un flash-back aussi long et passionnant aurait pu être extrêmement casse gueule. Et bien non, c'est génial :mrgreen:
Federico
Producteur
Messages : 9462
Inscription : 9 mai 09, 12:14
Localisation : Comme Mary Henry : au fond du lac

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Federico »

Dans l'excellent documentaire sur Christopher Lee diffusé ce week-end par Arte, il évoqua sa confrontation avec Errol Flynn lors du tournage de L'armure noire (The Dark Avenger, 1955) d'Henry Levin. Lee montra la cicatrice qu'il porte toujours à sa main en racontant que Flynn la lui infligea lors d'une scène de duel au sabre. Les deux sont de bons escrimeurs mais Lee (avec sa classe habituelle) se contente juste d'ajouter qu'après la pause déjeuner, Flynn n'était jamais très en forme (inutile de traduire :wink: ).

Image
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
Joseph L. Mankiewicz
Julien Léonard
Duke forever
Messages : 11824
Inscription : 29 nov. 03, 21:18
Localisation : Hollywood

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par Julien Léonard »

Federico a écrit :Dans l'excellent documentaire sur Christopher Lee diffusé ce week-end par Arte, il évoqua sa confrontation avec Errol Flynn lors du tournage de L'armure noire (The Dark Avenger, 1955) d'Henry Levin. Lee montra la cicatrice qu'il porte toujours à sa main en racontant que Flynn la lui infligea lors d'une scène de duel au sabre. Les deux sont de bons escrimeurs mais Lee (avec sa classe habituelle) se contente juste d'ajouter qu'après la pause déjeuner, Flynn n'était jamais très en forme (inutile de traduire :wink: ).
:lol:
Image
Avatar de l’utilisateur
hansolo
Howard Hughes
Messages : 17182
Inscription : 7 avr. 05, 11:08
Localisation : In a carbonite block

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par hansolo »

Père Jules a écrit :Je dirais même plus, c'est vraiment un excellent coffret. Outre Aventures en Birmanie, qui est un incontournable, ma plus belle découverte reste sans doute Edge of Darkness qui est d'une originalité tout à fait remarquable pour un film de guerre. Construire un film comme celui-ci sur un flash-back aussi long et passionnant aurait pu être extrêmement casse gueule. Et bien non, c'est génial :mrgreen:
le souci c que a fait quelque temps que j'ai acquis Aventures en Birmanie et a m'ennuie d'avoir 2 fois ce titre; d'ailleurs ça m'etonne qu'ils aient inclus dans le coffret ce titre sorti il y a quelques années et que tout amateur du "diable de Tasmanie" possedait sans doute déja!
someone1600
Euphémiste
Messages : 8853
Inscription : 14 avr. 05, 20:28
Localisation : Québec

Re: Errol Flynn (1909-1959)

Message par someone1600 »

Julien Léonard a écrit :
someone1600 a écrit :Vous commencez a me donner vraiment envie avec ce coffret la... :P
Fonce ! C'est du plaisir en barres ! Au pire, tu passeras de bons moments bien rythmés, au mieux tu auras le loisir de découvrir quelques films méconnus présentant une tenue irréprochable (bon, et puis Aventures en Birmanie, c'est juste l'un des plus grands films de guerre jamais produits... dans le top 20 américain, toute époque confondue). Ce coffret est à la fois ludique, passionnant et réserve de jolies surprises. :)
Ca fait un bout que je pense me l'offrir pour Noel. :wink:
Répondre