Mark Stevens (1916-1994)

[james]

je voulais rendre hommage a cet acteur et realisateur qui me semble un peu oublié mais que les afficionados du genre connaisse,en effet qui ne se rappel pas de ce film " la fosse aux serpent" d'anatole litvak avec olivia de havilland 1948 ou de "jack slade" ou encore "la vengeance de scarface" qui marqué a ce propos les debuts d'une certaine "felicia farr".
mark stevens etait un melange de "dana andrews et de lew ayres" il debute a la warner en 1946 avec un film de john berry dans "from this dey forward" au coteé de "joan fontaine" film inedit en france.il est vraie qu'il eu une carrière assez hetéroclite mais c'est dans le western qui gagneras ses galons,au milieu des anneés 60 il se retireras a majorque pour s'occuper de sont restaurant et tournant de temps a autres des production europeene,je pense que cet acteur aurais du etre une plus grande star que ce que nous connaissons de lui,merci monsieur mark stevens.
pour la petite histoire mark stevens debuteras sa carriere sous le pseudo de :stephen richards,voici sa filmo western merci:

roaring guns...1944
jack slade (jack slade ,le damné)...1953 western genial
gunsigth ridge (la sanglante embuscade)...1957
gun fever...1958
gunsmoke in tucson (fusillade a tucson)...1958 film annoncé plusieur fois sur t.c.m.
tierra de fuego ...1965 production hispanique
sunscorched...1966

vala ,james

[Jeremy Fox]

Connais rien

J'sais plus où me mettre

[Roy Neary]

Voila l'animal :

[james]

Voila l'animal :

tout a fait

[Jeremy Fox]

Voila l'animal :

tout a fait

Ce visage ne me dit pas grand chose : l'aurais-je déjà vu ? En tout cas, un petit air de Jack Elam quand même je trouve.

[Geoffrey Firmin]

Je me souviens de lui surtout dans un polar nerveux de William Keighley: the street with no name(la dernière rafale).

[Jeremy Fox]

Je me souviens de lui surtout dans un polar nerveux de William Keighley: the street with no name(la dernière rafale).

Touché : c'est là dedans que je l'ai vu aussi

[Nestor Almendros]

Juste un petit mot car j'ai vu cet après-midi FROM THIS DAY FORWARD de John Berry, sorti aux Editions Montparnasse (collection RKO).
Le film ne m'a pas laissé un grand souvenir: traitement un peu longuet mais, au moins, histoire au ton résolument original. On parle ici du quotidien pas forcément facile d'un jeune couple d'amoureux: entre complicité, cohésion, chômage, recherche d'emploi, et peinture d'un New-York populaire, l'histoire évolue sans intrigue solide mais dans une ambiance réaliste et presque intimiste, en tout cas très inhabituelle je trouve.

Aux côtés de Joan Fontaine, on retrouve donc le débutant Mark Stevens, au talent prometteur, et que j'ai physiquement confondu (sur la jaquette) avec Cornel Wilde...

[Music Man]

En tant qu'amateur de films musicaux, je l'ai vu dans les operettes "gay nineties" qu'il a tourné pour la Fox avec June Haver, comme embrassons nous (1947) et toute la rue chante (1948) qui remporta un gros succès commercial.
Je l'avais trouvé bien insipide.

[Jeremy Fox]

Le western du WE : Gun Fever de et avec Mark Stevens, sorti en DVD chez Sidonis.

[Chip]

Bon, voilà une analyse globalement positive, comme aurait -dit un homme politique du passé ! Aimant bien le film, j'appréhendais un peu...Pour revenir sur le cabotinage des deux méchants, Aaron Saxon et Larry Storch, je crois que leurs attitudes outrancières s'expliquent par le fait qu'ils sont, comme il est dit, des psychopathes, donc cela ne surprend pas et s'explique, d'ailleurs tous les comparses de Trench le sont, du blondinet Singer au simplet Charlie Whitman, une belle galerie de tarés rarement vus dans un western de cette décennie.
Larry Storch qui joue Amigo, était un ami de Tony Curtis, leur amitié datait du temps où ils servaient dans la marine. Storch jouera dans 6 ou 7 films de Curtis. Il était réputé pour pouvoir prendre n'importe quel accent, et dans GUN FEVER, il ne s'en prive pas. D'habitude, plus spécialisé dans la comédie, il sera très populaire avec la série " F troop " (1965-1967) où il partageait la vedette avec Forrest Tucker et Ken Berry.

[Jeremy Fox]

Bon, voilà une analyse globalement positive, comme aurait -dit un homme politique du passé ! Aimant bien le film, j'appréhendais un peu...Pour revenir sur le cabotinage des deux méchants, Aaron Saxon et Larry Storch, je crois que leurs attitudes outrancières s'expliquent par le fait qu'ils sont, comme il est dit, des psychopathes, donc cela ne surprend pas et s'explique, d'ailleurs tous les comparses de Trench le sont, du blondinet Singer au simplet Charlie Whitman, une belle galerie de tarés rarement vus dans un western de cette décennie.
y.

Il y a aussi le groupe que Mark Stevens rencontre la nuit qui est quasiment aussi inquiétant.

[Alexandre Angel]

Il y a aussi le groupe que Mark Stevens rencontre la nuit qui est quasiment aussi inquiétant.

Oui, la séquence est bien. Vous allez me le faire réessayer.

[Chip]

Réessaye ! une deuxième lecture est souvent profitable je me souviens , dans les années 50-60 quand j'étais ado et qu'existait encore le cinéma permanent, être très souvent resté à la séance de 14h et de 16h quand le film me plaisait, et toujours je découvrais un truc qui m'avait échappé à la première vision.