Roy Rowland (1910-1995)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Martin Quatermass
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Message par Martin Quatermass »

Je ne sais pour vous mais l'avatar de James ne s'affiche jamais chez moi, il n'y aurait pas un problème ?
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Beule
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Message par Beule »

Ce n'est pas du même acabit, tu as raison. Mais je trouve que les aventures décontractées de cet homme de la prairie constituent un divertissement familial au dessus de la moyenne. Vu il y a longtemps ceci dit :wink:
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Beule
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Message par Beule »

Martin Quatermass a écrit :Je ne sais pour vous mais l'avatar de James ne s'affiche jamais chez moi, il n'y aurait pas un problème ?
Il s'affichait très bien pour moi tout à l'heure (affichette de La charge héroïque) mais plus maintenant c'est vrai.
james
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Message par james »

Beule a écrit :Ce n'est pas du même acabit, tu as raison. Mais je trouve que les aventures décontractées de cet homme de la prairie constituent un divertissement familial au dessus de la moyenne. Vu il y a longtemps ceci dit :wink:
beule je suis dac avec toi quand au divertissement,après je suis plus selectif malgré et comme le rapeller jerémy la distributions interressante je le reverrais. :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

Je n'ai jamais vu non plus l'avatar de James mais si vous dites qu'il s'agit de mon film préféré, bravo James :-)
james
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Message par james »

Jeremy Fox a écrit :Je n'ai jamais vu non plus l'avatar de James mais si vous dites qu'il s'agit de mon film préféré, bravo James :-)
un honneur jerémy je partage avec toi :D
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Beule
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Message par Beule »

james a écrit :
Beule a écrit :Ce n'est pas du même acabit, tu as raison. Mais je trouve que les aventures décontractées de cet homme de la prairie constituent un divertissement familial au dessus de la moyenne. Vu il y a longtemps ceci dit :wink:
beule je suis dac avec toi quand au divertissement,après je suis plus selectif malgré et comme le rapeller jerémy la distributions interressante je le reverrais. :wink:
Rassure-toi je suis loin de me rappeler d'un grand film aussi :wink:
james
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Message par james »

Beule a écrit :
james a écrit : beule je suis dac avec toi quand au divertissement,après je suis plus selectif malgré et comme le rapeller jerémy la distributions interressante je le reverrais. :wink:
Rassure-toi je suis loin de me rappeler d'un grand film aussi :wink:
dommage que de tels acteurs furent quelques part mal dirigez!!!! :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

Aaahhhhh Arlene Dahl dans The Outriders ! :oops: :lol:
Un western sympathique bien que routinier.
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james
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Message par james »

Roy Neary a écrit :Aaahhhhh Arlene Dahl dans The Outriders ! :oops: :lol:
Un western sympathique bien que routinier.
arlene dahl terrible :D elle fut l'epouse de fernando lamas acteur argentin quelle rencontras sur les studios"m.g.m" vala james :wink:
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Re: roy rowland

Message par james »

james a écrit ::D sa carrière il la feras essentiellement a la "m.g.n" realisateur un ton au dessous il donneras quelques films qui seront bien notez,cela vas du polar"scène of the crime" mais surtout le chef-d'oeuvre de roy rowland"the 5000 fingers of t.ses western ne sont pas au rendez-vous,mais je retiendrais "the outriders" et buggles in the afternoon" western sur les indiens comme je l'ai apprecie.il s'essairas lui aussi au système 3.d avec the moonligther western intelligent dans un premier quart d'heure interréssant.enfin "gun glory" pas mal mais.........je le reverrais en dvd,voici sa filmo western:

:arrow: the romance of rosy ridge..1947

:arrow: the outriders..1950

:arrow: buggles in the afternoon..1952

:arrow: the moonligther..1953

:arrow: many river to cross..1954...........western "horrifique"

:arrow: gun glory...1957

:arrow: gunfigthers of casa grande..1963 ....western hispano-americain.

vala, :arrow:
a noter que le fils de roy rowland joue dans ses deux derniers western il se prenome"steve rowland" carrière ephèmere. :wink:
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Re: roy rowland

Message par james »

james a écrit :
james a écrit ::D sa carrière il la feras essentiellement a la "m.g.n" realisateur un ton au dessous il donneras quelques films qui seront bien notez,cela vas du polar"scène of the crime" mais surtout le chef-d'oeuvre de roy rowland"the 5000 fingers of t.ses western ne sont pas au rendez-vous,mais je retiendrais "the outriders" et buggles in the afternoon" western sur les indiens comme je l'ai apprecie.il s'essairas lui aussi au système 3.d avec the moonligther western intelligent dans un premier quart d'heure interréssant.enfin "gun glory" pas mal mais.........je le reverrais en dvd,voici sa filmo western:

:arrow: the romance of rosy ridge..1947

:arrow: the outriders..1950

:arrow: buggles in the afternoon..1952

:arrow: the moonligther..1953

:arrow: many river to cross..1954...........western "horrifique"

:arrow: gun glory...1957

:arrow: gunfigthers of casa grande..1963 ....western hispano-americain.

vala, :arrow:
a noter que le fils de roy rowland joue dans ses deux derniers western il se prenome"steve rowland" carrière ephèmere. :wink:
j'ai revu en dvd"gun glory" j'adore chill wills en pasteur de sa paroisse, :wink:
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Dave Bannion
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Message par Dave Bannion »

Je garde un mauvais souvenir de son suspense Témoin de ce meurtre, franchement pénible malgré Stanwyck et Sanders.
Au contraire c'est un de mes bons souvenirs de séries B au même titre que la scène du crime et sur la trace du crime du même Rowland.
Je le trouve plutôt meilleur ds ses polars que ds ses westerns.
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Roy Neary
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Re: roy rowland

Message par Roy Neary »

Mini-chronique consacrée au Les 5000 doigts du Dr. T :

Jody et le faon / Les 5000 doigts du Dr. T
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Jeremy Fox
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Re: Roy Rowland (1910-1995)

Message par Jeremy Fox »

Quelques uns de mes avis :

Les 5000 Doigts du Dr T. : The 5000 Fingers of Dr T. (1953) COLUMBIA

Excédé par les leçons de piano imposées par sa mère, le jeune Bart s'endort... pour se retrouver au pouvoir du redoutable Dr T qui ressemble étrangement à son professeur de solfège, le sévère Terwiliker. Bart s'aperçoit également que sa mère est détenue par le Dr T qui veut l'épouser. Le Dr T a réduit en esclavage musical 500 enfants dans le but de leur faire interpréter un concerto pour piano géant à 5 000 doigts...
Lors de sa découverte, j'avais un peu peur de tomber sur un "monument de laideur et de balourdise" comme le disait à peu près Lourcelles dans son dictionnaire du cinéma. Quelle surprise donc que de me retrouver devant un tel "Ovni cinématographique", l'une des rares incursion hollywodienne à ma connaissance dans un univers débridé à la Lewis Carroll. Décors et costumes surprenants, imagination à tous les étages, script délirant et bien barré, humour toujours sur le fil du ridicule mais qui finalement ne se casse jamais la gueule, numéros musicaux étonnants comme celui des musiciens non-pianistes et musique plutôt très agréable à écouter (et à fredonner) même si nous sommes loin de Cole Porter ou Richard Rodgers. Une excellente surprise atténuée par le fait que j'aurais souhaité une mise en scène moins sage et plus débridé, à l'image du scénario. Mais en l'état, ça m'a paru très satisfaisant et en tout cas fortement original. En revanche, amateurs de décors en cartons, passez votre chemin.

**********************************************************************




L'Aventure fantastique (Many Rivers to Cross, 1955) de Roy Rowland
MGM


Avec Robert Taylor, Eleanor Parker, Victor McLaglen, Jeff Richards, Russ Tamblyn, James Arness, Alan Hale Jr, Morris Ankrum
Scénario : Harry Brown & Guy Trosper
Musique : Cyril J. Mockridge
Photographie : John F. Seitz (Technicolor 2.55)
Un film produit par Jack Cummings pour la MGM


Sortie USA : 04 février 1955

A quelques exceptions (dont le savoureux Le Grand Bill – Along Came Jones avec Gary Cooper), la comédie westernienne (sans parler des pures parodies du style Chercheurs d'or avec les Marx Brothers) s’était plutôt jusqu’à présent déclinée sous la forme de comédie musicale. Le Background de la dernière comédie musicale westernienne en date, la célèbre Les Sept Femmes de Barbe Rousse (Seven Women for Seven Brothers), sortie quelques mois plus tôt (avec déjà Russ Tamblyn et Jeff Richards), était d’ailleurs à peu près similaire à celui du film de Roy Rowland : paysages du Kentucky et de l’Oregon assez ressemblants malgré leurs situations respectives d'un côté et de l'autre des USA (surtout du fait que ce sont pour les deux films des décors de studio pour la majeure partie), cabanes en forêt occupées par des familles nombreuses, mœurs assez frustres, hommes machos, femmes au fort caractère ne souhaitant pas se laisser faire, bagarres homériques… Mais s’il y a un autre ‘Musical’ qui s’apparente aussi beaucoup à L’Aventure fantastique, c’est le Calamity Jane (La Blonde du Far-West) de David Butler, Doris Day interprétant avec une fougue hallucinante le rôle titre. Eleanor Parker tente de faire la même chose mais s’avère néanmoins un peu moins à l’aise dans la comédie ; cependant son dynamisme, sa santé, son énergie et son grand sens de l'autodérision (sa façon de prononcer le nom de son ‘amoureux forcé’ est inénarrable), etc., n’en sont pas moins réjouissants. Le fait qu’elle fasse partie du casting se révèle malheureusement presque la seule raison de pouvoir prendre plaisir à ce film par ailleurs très laborieux !

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Kentucky ; vers la fin du XVIIIème siècle. Le trappeur Bushrod Gentry (Robert Taylor) ne demande qu’à continuer de mener sa vie aventureuse et solitaire qui ne consiste qu’à chasser et revendre ses peaux. Les femmes, il les apprécie grandement mais uniquement le temps d’une nuit. A la suite d'un combat contre des indiens Shawnee, il est sauvé par la téméraire Mary Stuart Cherne (Eleanor Parker) qui tombe immédiatement sous son charme et l’emmène faire soigner son bras dans la maison familiale. Elle décide sans plus tarder et sans lui demander son avis que ce sera l'homme de sa vie. Elle va désormais se mettre en quatre pour le contraindre à l'épouser, allant même jusqu'à prétendre à son écossais de père (Victor McLaglen) qu'il l'a déshonoré. Bushrod, préférant se frotter aux dangers de la nature qu’à une mégère non encore apprivoisée, s’enfuit. Il est vite rattrapé et ramené sous le toit de la famille Cherne. Sous la menace, les quatre frères de Mary (Jeff Richards, Russ Tamblyn, John Hudson et Russell Johnson) obligent Bushrod à passer l’alliance au doigt de leur sœur. Une fois marié, il fuit à nouveau le foyer conjugal ; mais Mary est à ses trousses !

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L’aventure fantastique fait partie des comédies westerniennes les plus connues, ou plutôt de celles ayant été les plus souvent diffusées à la télévision en France durant les années 70 et 80, l’un des premiers westerns qu’il m’ait d’ailleurs été de voir à l’époque ou FR3 en diffusait un tous les mardis soirs. Malheureusement notoriété ne rime pas forcément avec qualité, la preuve ! Si le postulat de départ était amusant (une jeune fille n'a de cesse que de se faire épouser de force par le trappeur qu’elle a tiré des griffes des Indiens, ce dernier ne voulant à aucun prix s'encombrer d'une femme), le résultat est pour le moins pénible ! Retour arrière sur deux avis à propos des westerns précédents du cinéaste :

« Même si la mise en scène de Rowland pour Le Convoi Maudit (The Outriders) manque de souffle et d’idées, c’est celle d’un homme respectueux de son public ; nous nous étonnons même de pouvoir contempler dans ce western mineur des plans aussi beaux que celui des quatre cavaliers en contre jour en haut d’une colline. »

Ce n’est malheureusement pas le cas en ce qui concerne Many Rivers to Cross. La mise en scène est cette fois totalement indigente et l’on en vient même parfois à se poser la question quant à savoir s’il se trouve bien quelqu’un derrière la caméra tellement l’ensemble s’avère terne et statique ; cette impression est renforcée par l’incapacité du cinéaste à profiter des quelques décors naturels à sa disposition (les 9/10ème du film étant néanmoins tournés en studio) et par le fait que le cadreur semble totalement démuni face au format très large du 2.55 ; rarement le cinémascope aura été encore aussi mal utilisé ! Et ce n’est pas non plus à la vision de ce film que nous pourrons nous extasier devant certains plans tellement l’esthétique y est hideuse et bâclée, le montage en dépit du bon sens avec faux raccords en pagaille lors des séquences mouvementées n’arrangeant guère les choses !

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« Non pas que The Moonlighter soit désagréable mais on pouvait s’attendre à beaucoup mieux au vu des noms prestigieux qui se trouvaient réunis à l’affiche. Je vous vois venir ; si vous pensiez en votre for intérieur que ce semi-ratage était dû au réalisateur Roy Rowland, vous auriez eu tort car sa mise en scène se révèle tout à fait correcte. Non, la faute en incombe bel et bien avant tout à un scénario totalement absurde et incohérent, d’autant plus incompréhensible que Niven Busch est également auteur de l’histoire […] Grâce à la mise en scène et au choix du réalisateur de ne pas utiliser de transparences, le film est loin d’être désagréable à visionner d’autant que Rowland arrive à bien mettre en valeur les superbes décors naturels qu’il a à sa disposition »

Cette fois les persifleurs peuvent s'y mettre et jeter l'opprobre sur Roy Rowland ! Non seulement le casting était tout aussi illustre mais les moyens mis en place par la MGM semblaient être conséquents. Il est d’ailleurs assez scandaleux de constater que les pontes du prestigieux studio du lion ait pu laisser passer un film aussi pauvre et mal fichu à tous les points de vue, les techniciens semblant, tout comme le réalisateur, avoir jeté l’éponge dès le début du tournage à commencer par le chef-opérateur : pour les scènes de nuit, il fait se suivre indifféremment des plans nocturnes et diurnes sans même utiliser la nuit américaine en ayant l'air de s'en fiche comme d'une guigne. Quant au scénario, ce n’est plus Niven Busch qui office mais Guy Trosper, tout de même l’auteur du superbe script de La Porte du diable (Deevil’s Doorway) ; de quoi y perdre son latin ! Comment peut-on accoucher d’un scénario aussi magnifique puis ensuite d’un autre d’une telle effarante idiotie ? Car difficile de juger autrement cette histoire qui semblait devoir être amusante mais qui échoue tout du long, non seulement presque jamais drôle mais aussi d’une lourdeur pachydermique à l’image de l’hommage préliminaire : "We respectfully dedicate our story to the frontier women of America, who helped their men settle the Kentucky wilderness. They were gallant and courageous, and without their aggressive cooperation-few of us would be around to see this picture." On aurait aimé en rire mais l’ensemble est tellement affligeant que c’est l’ennui qui l’emporte très vite. Et que dire de cette digression avec James Arness qui voit durant dix minutes Robert Taylor essayer de sauver un enfant atteint de la pneumonie ; comme si au milieu d’une comédie avec Louis de Funès, on venait greffer une séquence mélodramatique ! Ce changement de ton est assez ahurissant, une preuve supplémentaire du manque total de rigueur de l’ensemble.

Image
Tous les éléments semblaient pourtant être bien couchés sur le papier pour nous faire penser que nous allions nous trouver devant une comédie réjouissante ou tout du moins bien sympathique, y compris la présence de Victor McLaglen dans un des derniers rôles de sa carrière, un personnage d’ailleurs très ‘fordien’ qui fait penser à celui qu’il tenait dans le superbe L’Homme tranquille (The Quiet Man) qui peut par certains points s’apparenter au film de Roy Rowland. Je n’ai donc rien vu de tel mais plutôt un mauvais vaudeville ! Mais sinon, grâce à l'abattage, au piquant et à la beauté d'Eleanor Parker, à l'amusante composition pince sans rire de Robert Taylor en homme dépassé par les évènements, à la sympathique partition de Cyril J. Mockridge, on s'amuse quand même un tout petit peu notamment lors de la séquence finale de l'attaque indienne dans une grotte, plutôt cocasse et bien menée. Mais c'est tout juste et c'est bien dommage. C’aurait pu être loufoque et parodique ; ça tente de l’être mais sans résultat. Un beau gâchis ! Souvenons nous plutôt de Roy Rowland comme réalisateur du fameux 5000 doigts du Dr T et qui nous gâtera l’année suivant la sortie de Many Rivers to Cross en nous proposant un film fort divertissant cette fois, la comédie musicale La Fille de l’amiral (Hit the Deck). Pour balancer mon ressenti très négatif, il est bon de savoir qu’en lisant les commentaires sur imdb, on se rend compte que beaucoup ont ri à gorge déployée tout du long. A vous de juger ! Il faut également savoir que la VF donne aux personnages un accent marseillais : ‘bonne mère’, peut-être y aurait plus d’occasion de rire (même involontairement) en en passant par là, en suivant les aventures de Brutus Gentil au lieu de Bushrod Gentry ?

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