Notez les films - Juillet 2006
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
-
- Stagiaire
- Messages : 79
- Inscription : 17 déc. 03, 18:28
- Liste DVD
- YMDB
- Localisation : Standing on a hill in my mountain of dreams
Sympathy for Mr. Vengeance (Chan-Wook Park, 2002)
WOW ! Une claque esthétique assez énorme... pourtant j'étais prévenu après les visionnages de Oldboy et, surtout, Lady Vengeance. Tout simplement l'un des metteurs en scènes les plus virtuoses du moment. "Une idée par plan", rarement cet adage ne se sera autant vérifié, je ne m'en suis toujours pas remis !
Seuls bémols, une fin un peu trop extrême et pas totalement justifiée (ce n'est pas non plus Audition de Takashi Miike) ainsi que quelques facilités scénaristiques (la radio, les ricochets...), viennent *légérement* ternir un ensemble de haute tenue. C'était déja le cas pour Lady Vengeance...
Petit bilan : trilogie de la vengeance :
1- Sympathy for Mr. Vengeance 8.5/10
2- Lady Vengeance 8.5/10
3- Oldboy 7.5/10 (à revoir du coup !)
Prochaine étape : J.S.A.
WOW ! Une claque esthétique assez énorme... pourtant j'étais prévenu après les visionnages de Oldboy et, surtout, Lady Vengeance. Tout simplement l'un des metteurs en scènes les plus virtuoses du moment. "Une idée par plan", rarement cet adage ne se sera autant vérifié, je ne m'en suis toujours pas remis !
Seuls bémols, une fin un peu trop extrême et pas totalement justifiée (ce n'est pas non plus Audition de Takashi Miike) ainsi que quelques facilités scénaristiques (la radio, les ricochets...), viennent *légérement* ternir un ensemble de haute tenue. C'était déja le cas pour Lady Vengeance...
Petit bilan : trilogie de la vengeance :
1- Sympathy for Mr. Vengeance 8.5/10
2- Lady Vengeance 8.5/10
3- Oldboy 7.5/10 (à revoir du coup !)
Prochaine étape : J.S.A.





- Coxwell
- Le Révolté de l'An 2000
- Messages : 4367
- Inscription : 24 févr. 05, 10:58
Les chasses du comte Zaroff de Ernest Schoedsak et Irving Pichel
Excellente découverte. Un film audacieux dans le ton comme dans le contenu. La chasse dans la jungle est un grand moment, tout particulièrement celui de la course dans les buissons, la cémara traversant les branches en suivant les divers protagonistes. Bien mené, et bien interprété, une réussite.
Excellente découverte. Un film audacieux dans le ton comme dans le contenu. La chasse dans la jungle est un grand moment, tout particulièrement celui de la course dans les buissons, la cémara traversant les branches en suivant les divers protagonistes. Bien mené, et bien interprété, une réussite.
-
- Producteur Exécutif
- Messages : 7320
- Inscription : 30 juin 05, 08:00
-
- King of (lolli)pop
- Messages : 15433
- Inscription : 14 avr. 03, 15:14
Capitaine Sky et le Monde de demain :
Hommage affiché, revendiqué, noble et humble à la fois aux serial des années 30, qui brasse un grand nombre d'influences, de Jules Vernes à l'expressionnisme allemand en passant par Indiana Jones ou la Guerre des Mondes.
Les bons points : une imagination débordante qui permet de compenser les quelques carences du script, surtout en début de film, introduction tantôt laborieuse ( la scène du bureau bof) tantôt grisante ( les robots géants dans la ville), qui part ensuite sur un rythme de films d'aventures Une fois accepté le concept du film rétro-futuriste(!), au charme visuel suranné, on peut se plonger dans une réalisation qui accumule les morceaux de bravoure mis en boîte par ordinateur et filmés sur fond bleu ( la totalité du film). Jude Law ne manque pas de pimenter les dialogues d'un humour bien placé qui permet de ne pas, sinon jamais prendre cela au sérieux.
Les décors rivalisent d'ingéniosité pour faire rentrer des détails infinis, où faire ressortir des éléments à l'arrière-plan.
Les mauvais points : il faut se faire tout de suite à la photo vraiment atypique, qui fait ressortir tout le temps une sorte de halo autour des personnages, on peut même penser si on aime pas ça que ça ressemble à un vieux film qui serait colorisé. Le scénario est hyper linéaire, presque aucune surprise de ce côté-là, certains plans sont ternes, d'autres au contraire explosent de couleurs, de dégradés, ce n'est pas tout le temps égal. Gwyneth Paltrow reste à la traîne, et son personnage est limité.
La fin, à suspens est trop longue, mais elle permet de montrer ce que les effets spéciaux ont dans le ventre.
Bref, il y a des maladresses, mais c'est un premier long, c'est fait par un type d'une modestie incroyable (cf l'interview et le making-of), il respire l'amour du ciné auquel il croit, il a des idées, fait cela avec peu de moyens mais à la débrouillardise. D'un côté, ça peut paraître parfois gauche, pas très bien mis en scène, d'un autre côté ça force le respect et on a envie de ne lui souhaiter que du bonheur, et de progresser. Son film est un rêve de gosse, le film d'un mec qui y a cru, avec ses idées, sa boulimie d'images. Parfois je me suis mis à penser que je voyais un film qui n'avait pas été réalisé depuis Les aventuriers de l'arche perdue, et que c'était la promesse d'un futur grand du ciné. On ne doit pas être loin de la vérité.
7/10
Hommage affiché, revendiqué, noble et humble à la fois aux serial des années 30, qui brasse un grand nombre d'influences, de Jules Vernes à l'expressionnisme allemand en passant par Indiana Jones ou la Guerre des Mondes.
Les bons points : une imagination débordante qui permet de compenser les quelques carences du script, surtout en début de film, introduction tantôt laborieuse ( la scène du bureau bof) tantôt grisante ( les robots géants dans la ville), qui part ensuite sur un rythme de films d'aventures Une fois accepté le concept du film rétro-futuriste(!), au charme visuel suranné, on peut se plonger dans une réalisation qui accumule les morceaux de bravoure mis en boîte par ordinateur et filmés sur fond bleu ( la totalité du film). Jude Law ne manque pas de pimenter les dialogues d'un humour bien placé qui permet de ne pas, sinon jamais prendre cela au sérieux.
Les décors rivalisent d'ingéniosité pour faire rentrer des détails infinis, où faire ressortir des éléments à l'arrière-plan.
Les mauvais points : il faut se faire tout de suite à la photo vraiment atypique, qui fait ressortir tout le temps une sorte de halo autour des personnages, on peut même penser si on aime pas ça que ça ressemble à un vieux film qui serait colorisé. Le scénario est hyper linéaire, presque aucune surprise de ce côté-là, certains plans sont ternes, d'autres au contraire explosent de couleurs, de dégradés, ce n'est pas tout le temps égal. Gwyneth Paltrow reste à la traîne, et son personnage est limité.
La fin, à suspens est trop longue, mais elle permet de montrer ce que les effets spéciaux ont dans le ventre.
Bref, il y a des maladresses, mais c'est un premier long, c'est fait par un type d'une modestie incroyable (cf l'interview et le making-of), il respire l'amour du ciné auquel il croit, il a des idées, fait cela avec peu de moyens mais à la débrouillardise. D'un côté, ça peut paraître parfois gauche, pas très bien mis en scène, d'un autre côté ça force le respect et on a envie de ne lui souhaiter que du bonheur, et de progresser. Son film est un rêve de gosse, le film d'un mec qui y a cru, avec ses idées, sa boulimie d'images. Parfois je me suis mis à penser que je voyais un film qui n'avait pas été réalisé depuis Les aventuriers de l'arche perdue, et que c'était la promesse d'un futur grand du ciné. On ne doit pas être loin de la vérité.
7/10
Je vote pour Victoria Romanova
-
- Mogul
- Messages : 11716
- Inscription : 21 sept. 04, 16:57
- Localisation : lost in time and lost in space
Yes Madam !
Ah Hk dans les 80's ça avait de la gueule.
nous voilà devant une comédie d'action d'un trés bon niveau. Alors certes, la comédie prend souvent le pas sur l'action présent surtout au début et à la fin ( un peu par-ci par-là trés rapidement ) mais rien que pour le numéro de Tsui Hark (
) en blaireau de service, cette partie se justifie ( excellent numéro de cache-cache dans son apartement ). on trouve aussi quelques guest ( Richard Ng, Sammo hung ) histoires de s'ennuyer encore moins.
Alors parlons un peu de l'action, ça commence trés fort avec une ouverture où Michelle Yeoh se la joue Dirty Harry
On trouve donc quelques combats assez rapides mais sympa ( celui dans les toilettes, l'aéreoport ) et on finit sur une séquence de folie de 10 minutes où Yeoh et Cynthia Rothtrock donne le meilleur d'elle pour une demonstration à couper le souffle qui permet de prouver que niveaux chutes, les cascadeurs HK sont des malades ( cette chute où le type vole au dessus d'une barrière, s'explose le dos sur le rebord en face pour s'ecraser 2 mètres plus bas
).
la suite, c'est de l'action quasi non-stop pour ce que j'ai zappé
la preuve en image
Ah Hk dans les 80's ça avait de la gueule.
nous voilà devant une comédie d'action d'un trés bon niveau. Alors certes, la comédie prend souvent le pas sur l'action présent surtout au début et à la fin ( un peu par-ci par-là trés rapidement ) mais rien que pour le numéro de Tsui Hark (

Alors parlons un peu de l'action, ça commence trés fort avec une ouverture où Michelle Yeoh se la joue Dirty Harry

On trouve donc quelques combats assez rapides mais sympa ( celui dans les toilettes, l'aéreoport ) et on finit sur une séquence de folie de 10 minutes où Yeoh et Cynthia Rothtrock donne le meilleur d'elle pour une demonstration à couper le souffle qui permet de prouver que niveaux chutes, les cascadeurs HK sont des malades ( cette chute où le type vole au dessus d'une barrière, s'explose le dos sur le rebord en face pour s'ecraser 2 mètres plus bas

la suite, c'est de l'action quasi non-stop pour ce que j'ai zappé

la preuve en image
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
-
- Ophely, no soucy
- Messages : 2541
- Inscription : 2 juil. 04, 14:32
- Localisation : RIP !!!
Cars de John Lasseter
Il y a de cela quelques années, John Lasseter avait ébloui tout le monde avec le film "Montres & cie": on le trouvait, tour à tour, beau, émouvant, intelligent, irrévérencieux. Aujourd'hui, le bougre revient avec un film consternant, certes trés beau mais qui déçoit plus qu'il ne surprend ou bouleverse. A maints égards, "Cars" est le film de trop, une commande supplémentaire sur le compte du créancier Disney, échouant sur toute la ligne, là où "Monstres&cie", réussissait si bien. Le film avait su être, c'est ce qu'il le rendait si précieux, un antidote convaincant au moralisme rampant disneyen, à l'imbécilité, le spectacle familial confondant idiotie et sensiblité. Bref, c'était de l'orfèvrerie !!! En dépit d'une indiscutable maestria technologique, "Cars" est un film qui émeut trop peu; pire, il agace, surprend par sa morale rance et fiche un coup sur la tête avec son passéisme le plus abject. En cela, il renoue avec les pires productions de la souris. Parmi les choses qui ne vont pas, le scénario se trouve en bonne place. Aussi prévisible qu' inintéressante, l'histoire peine à renouveller des situations et des personnages, hélas, bien clichesques. Du coup, le film a beau durer 1 heure 35, il en parait 2h30 tellement on se sent peu investi et prouve ainsi, à ses dépens, qu'une démonstration technique, aussi belle soit-elle, ne suffit pas à faire un bon film. Une grosse déception.
Note: 1/6
Il y a de cela quelques années, John Lasseter avait ébloui tout le monde avec le film "Montres & cie": on le trouvait, tour à tour, beau, émouvant, intelligent, irrévérencieux. Aujourd'hui, le bougre revient avec un film consternant, certes trés beau mais qui déçoit plus qu'il ne surprend ou bouleverse. A maints égards, "Cars" est le film de trop, une commande supplémentaire sur le compte du créancier Disney, échouant sur toute la ligne, là où "Monstres&cie", réussissait si bien. Le film avait su être, c'est ce qu'il le rendait si précieux, un antidote convaincant au moralisme rampant disneyen, à l'imbécilité, le spectacle familial confondant idiotie et sensiblité. Bref, c'était de l'orfèvrerie !!! En dépit d'une indiscutable maestria technologique, "Cars" est un film qui émeut trop peu; pire, il agace, surprend par sa morale rance et fiche un coup sur la tête avec son passéisme le plus abject. En cela, il renoue avec les pires productions de la souris. Parmi les choses qui ne vont pas, le scénario se trouve en bonne place. Aussi prévisible qu' inintéressante, l'histoire peine à renouveller des situations et des personnages, hélas, bien clichesques. Du coup, le film a beau durer 1 heure 35, il en parait 2h30 tellement on se sent peu investi et prouve ainsi, à ses dépens, qu'une démonstration technique, aussi belle soit-elle, ne suffit pas à faire un bon film. Une grosse déception.
Note: 1/6
-
- Mogul
- Messages : 10614
- Inscription : 13 avr. 03, 08:14
- John Anderton
- Vintage
- Messages : 7661
- Inscription : 15 avr. 03, 14:32
- Localisation : A bord de l'Orca, au large d'Amity
THE BLADE de Tsui Hark
Déçu. Vous remplacez les flingues de John Woo par des armes blanches, et vous obtenez THE BLADE, un film aux séquences de combat franchement répétitives. Et puis j'ai vraiment du mal avec les films asiatiques où les personnages passent leur temps à être essoufflés, et à gueuler comme des putois.... il y a de belles images, de bonnes idées, mais l'ensemble ne m'a pas touché.
Déçu. Vous remplacez les flingues de John Woo par des armes blanches, et vous obtenez THE BLADE, un film aux séquences de combat franchement répétitives. Et puis j'ai vraiment du mal avec les films asiatiques où les personnages passent leur temps à être essoufflés, et à gueuler comme des putois.... il y a de belles images, de bonnes idées, mais l'ensemble ne m'a pas touché.

-
- Ophely, no soucy
- Messages : 2541
- Inscription : 2 juil. 04, 14:32
- Localisation : RIP !!!
-
- David O. Selznick
- Messages : 14811
- Inscription : 13 août 03, 12:52
- Localisation : Hong Kong, California
- Contact :
Patton, Franklin J. Schaffner, 1970
Un authentique chef-d'oeuvre qui n'a cessé de m'impressionner et de me surprendre du début à la fin. Un récit formidable, qu'on sent à la fois richement documenté et qui se permet des élans lyriques qui auraient pu être vraiment casse-gueule mais amenés à chaque fois avec finesse et talent. J'ai vraiment beaucoup aimé l'approche quasi mystique du personnage, s'inscrivant lui-même dans la lignée des grands généraux de l'histoire depuis l'antiquité (la patte de Coppola, sans aucun doute). Patton nous est exposé dans toute sa complexité, entre moments de sympathie et megalomanie insupportable. La stratégie militaire est abordée avec intelligence, sans simplification ni glorification, et même l'état-major allemand est montré avec honnêteté.
Le film est une superproduction menée de main de maître. Schaffner dispose de moyens assez incroyables, tant en terme de materiel militaire, de figurants et de décors, et chacun de ses plans semble respirer l'évidence. Sa maîtrise du format scope est franchement somptueuse, clairement un modèle du genre. Interprétation admirable, y compris pour les seconds rôles. Ce film est une véritable oeuvre d'art.
Comme je regrette qu'il soit devenu si rare aujourd'hui de conjuguer intelligence du propos et grand spectacle populaire.
Un authentique chef-d'oeuvre qui n'a cessé de m'impressionner et de me surprendre du début à la fin. Un récit formidable, qu'on sent à la fois richement documenté et qui se permet des élans lyriques qui auraient pu être vraiment casse-gueule mais amenés à chaque fois avec finesse et talent. J'ai vraiment beaucoup aimé l'approche quasi mystique du personnage, s'inscrivant lui-même dans la lignée des grands généraux de l'histoire depuis l'antiquité (la patte de Coppola, sans aucun doute). Patton nous est exposé dans toute sa complexité, entre moments de sympathie et megalomanie insupportable. La stratégie militaire est abordée avec intelligence, sans simplification ni glorification, et même l'état-major allemand est montré avec honnêteté.
Le film est une superproduction menée de main de maître. Schaffner dispose de moyens assez incroyables, tant en terme de materiel militaire, de figurants et de décors, et chacun de ses plans semble respirer l'évidence. Sa maîtrise du format scope est franchement somptueuse, clairement un modèle du genre. Interprétation admirable, y compris pour les seconds rôles. Ce film est une véritable oeuvre d'art.
Comme je regrette qu'il soit devenu si rare aujourd'hui de conjuguer intelligence du propos et grand spectacle populaire.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
Mes extrospections...
Mon Top 100...
Mes films du mois...
Mes extrospections...
Mon Top 100...
- Boubakar
- Mécène hobbit
- Messages : 52763
- Inscription : 31 juil. 03, 11:50
- Contact :
L'arme fatale : une bonne surprise que ce buddy movie ; l'alchime entre Gibson et Glover fonctionne parfaitement, et font passer un très bon moment, sans compter les dialogues finement ciselés de Shane Black.
J'enchaîne sur sa suite
Edit ; j'ai vu l'édition spéciale, correspondant à un Director's cut. Qu'est-ce qui a été rajouté par rapport à l'ancienne édition ?
J'enchaîne sur sa suite

Edit ; j'ai vu l'édition spéciale, correspondant à un Director's cut. Qu'est-ce qui a été rajouté par rapport à l'ancienne édition ?
-
- Hypoglycémique
- Messages : 26173
- Inscription : 13 avr. 03, 18:57
Boubakar a écrit :Edit ; j'ai vu l'édition spéciale, correspondant à un Director's cut. Qu'est-ce qui a été rajouté par rapport à l'ancienne édition ?
- Spoiler (cliquez pour afficher)
- Boubakar
- Mécène hobbit
- Messages : 52763
- Inscription : 31 juil. 03, 11:50
- Contact :
- John Anderton
- Vintage
- Messages : 7661
- Inscription : 15 avr. 03, 14:32
- Localisation : A bord de l'Orca, au large d'Amity
C'est cette édition qui était vendue avec Télé Loisirs ?Boubakar a écrit :L'arme fatale : une bonne surprise que ce buddy movie ; l'alchime entre Gibson et Glover fonctionne parfaitement, et font passer un très bon moment, sans compter les dialogues finement ciselés de Shane Black.
J'enchaîne sur sa suite
Edit ; j'ai vu l'édition spéciale, correspondant à un Director's cut. Qu'est-ce qui a été rajouté par rapport à l'ancienne édition ?
