Le Potager : la rubrique nanar de classik !
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Miami Connection c'est quand même quelque chose niveau nanard
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Question nanar, je viens de me faire Hollywood Chainsaw Hookers de l'inénarable Fred Olen Ray. Et bien, c'était vraiment tip top. Le titre n'est absolument pas mensonger, c'est bien rythmé, le film a un petit humour pince sans rire, développe sarcasme et second degré mais n'oublie pas les jolis moments gratinés. Michelle Bauer et Linea Quigley sont les atouts charmes impudiques et Gunnar Hansen, Leatherface lui-même, vient faire un tour en chef de secte égyptien! Le meilleur film de son auteur! (je ne sais pas ce que ça veut dire).
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Cet episode de CGM traite en partie de Terminus de Pierre-William Glenn
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Dans le cadre du cycle science-fiction sur Arte, en vision sur Arte+7 jusqu'a début septembre La planète des tempêtes (1962) de Pavel Klouchantsev, space-opera nanardesque donc Kubrick et Lucas auraient récupéré des influences pour 2001 et Star Wars.
Le robot 'John' fait lui irresistiblement penser a Robby de Forbidden Planet ...
http://www.arte.tv/guide/fr/063603-000- ... s-tempetes
http://television.telerama.fr/televisio ... 145767.php
Roger Corman en aurait racheté les droits pour du stock-shot dans Voyage to the prehistoric planet et Voyage to the planet of prehistoric women (1965 et 1968)
La copie proposée par Arte est correcte et le film n'est pas déplaisant.
Le robot 'John' fait lui irresistiblement penser a Robby de Forbidden Planet ...
http://www.arte.tv/guide/fr/063603-000- ... s-tempetes
http://television.telerama.fr/televisio ... 145767.php
Roger Corman en aurait racheté les droits pour du stock-shot dans Voyage to the prehistoric planet et Voyage to the planet of prehistoric women (1965 et 1968)
La copie proposée par Arte est correcte et le film n'est pas déplaisant.
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Pas vu, mais je doute quand même que l'on puisse le ranger dans la catégorie nanar.
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Ca dépend ce qu'on met derrière le qualificatif ... je te l'accorde si le film était sorti en 1979, on aurait pu sans problème le classer comme tel, là on a quand même a faire a un honnete récit avec usage d'effets spéciaux remarquables parfois / mais faisant penser à Ed Wood a d'autres moments; y compris dans les dialogues ...Ratatouille a écrit :Pas vu, mais je doute quand même que l'on puisse le ranger dans la catégorie nanar.
Difficile a classer en fait
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Pour moi, ce n'est pas un nanar. Ca me rappelle plutôt la SF américaine de série B des années 50 . Des films pas exceptionnels, sentant parfois le bricolage à 10 km , mais très sympas.
C'est pas plus un nanar que L'étoile du silence (Kurt Maetzig) qui s'intéressait aussi à la planète Vénus, coproduction germano(RDA)-polonaise à peu près contemporaine.
C'est pas plus un nanar que L'étoile du silence (Kurt Maetzig) qui s'intéressait aussi à la planète Vénus, coproduction germano(RDA)-polonaise à peu près contemporaine.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
- hansolo
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Ne pas confondre nanar & navet ...
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Je ne l'ai pas vu mais je me suis souvenu d'une intervention d'un blogueur à son sujet sur le blog de Bertrand Tavernier. Elle m'avait fait envie.
La voici :
Sullivan dit :
20 mai 2014 à 11:55
L’éditeur ARTUS a fait paraître deux autres titres dans cette nouvelle collection S.F. consacrée aux vagues italiennes et russes post âge d’or U.S. : tout d’abord, LA PLANETE DES TEMPETES de Pavel Kluschanttsev, tourné en 61, sorti en 62, film hautement propagandiste, à la gloire du Parti communiste et de la suprématie soviétique dans la course aux étoiles (Gagarine venait de comettre le premier vol dans l’Espace, le premier Spoutnik avait été lancé seulement quatre ans auparavant…), mais c’est un spectacle très jouissif !! Et le réalisateur se permet même d’être subversif par moments. Dans une scène on voit la spationaute incarnée par Kyunna Ignatova, pleurer… ! Totalement impossible et inacceptable rétorqua le Parti, une spatinonaute soviétique ne pleure pas ! (à ce propos, Alain Petit, dans les bonus, nous apprend que le réalisateur avouait ne pas avoir été envoyé au goulag pour cette erreur fatale, pour la simple raison qu’il était le seul spécialiste en Science-fiction en U.R.S.S. !). Pour le côté subversif, je pense aussi à une ligne de dialogue dans la scène où l’inventeur du robot « John » qui fait partie de l’expédition (Merci PLANETE INTERDITE !), affirme que ce robot mécanique ferait un très bon permier ministre !! A voir absolument dans la V.O. proposée apr l’éditeur. Le dramatisme distillé par la mise en scène rend cette mission sur Vénus prenante et crédible, l’humour qui permet de bons effets de rythme marche plutôt bien, et tout dans cette production faisant fortement penser à Jules Verne (Jean-Pierre Andrevon qualifie le film de sorte de « Tintin dans Voyage au Centre de la Terre »), mais aussi aux séries B américaines des années 50, tout dans cette production disais-je, vaut le détour : des acteurs tous très bons aux décors, en passant par la musique (signée Iogann Admoni et Aleksandr Chernov, qui sont à mon avis des pseudos… Jean-François Houben saurait-il nous le dire ?) très variée, qui nous fait aller du symphonique chostakovitchien à la musique électronique en faisant un détour par la chanson populaire russe en un clin d’oeil… sans oublier les costumes, notamment les combinaisons des spationnautes très réussies (belle palette de couleurs, complexité, détails les constituant), un graphisme général, une photo aux petits oignons et enfin un scénario à 4 mains d’Aleksandr Petrovich Kazantsev et du réalisateur tout-à-fait efficace. Franchement, un bon petit film à ne pas rater.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Voilà une chronique qu'elle est bien.
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Un message rassurant
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
TORTURE DUNGEON - Andy Milligan (1970) découverte
Péloche erotico-gore de classe Z si incroyablement nulle, si fièrement hystérique et si outrageusement camp qu'elle en devient unique, précieuse pas vraiment, en tous les cas particulière. Réalisé par un certain Andy Milligan (qui a sa petite réputation auprès des amateurs les plus pointus d’excentricités), Torture Dungeon ne se regarde pas, ne se savoure pas, il se vit. D'abord furieux devant l'amateurisme du métrage, on passe de la consternation à l'embarras avant, sans s'en rendre compte, d'être hypnotisé par le n'importe-quoi sur l'écran. Le rire n'est plus moqueur mais nerveux, les yeux fatiguent mais restent grand ouvert, on ne cesse de se demander ce que va inventer Milligan pour enfoncer encore plus son film. Acteurs à chier, scène comique avec conseillère matrimoniale utilisée dans les camps de redressement, méchant moustachu fascinant et hors de contrôle, découpage qui rend obsolète toutes les avancées de la grammaire cinématographique depuis Edison, budget moins cher que la place de ciné, Torture Dungeon c'est une maison hantée par le mauvais goût. Aucune envie de détailler les scènes puisqu'il faudrait le scénario complet pour témoin. Reste à savoir si le film vaut le coup. Non et en même temps oui... seul en revanche c'est formellement interdit (déprime garantie).
Péloche erotico-gore de classe Z si incroyablement nulle, si fièrement hystérique et si outrageusement camp qu'elle en devient unique, précieuse pas vraiment, en tous les cas particulière. Réalisé par un certain Andy Milligan (qui a sa petite réputation auprès des amateurs les plus pointus d’excentricités), Torture Dungeon ne se regarde pas, ne se savoure pas, il se vit. D'abord furieux devant l'amateurisme du métrage, on passe de la consternation à l'embarras avant, sans s'en rendre compte, d'être hypnotisé par le n'importe-quoi sur l'écran. Le rire n'est plus moqueur mais nerveux, les yeux fatiguent mais restent grand ouvert, on ne cesse de se demander ce que va inventer Milligan pour enfoncer encore plus son film. Acteurs à chier, scène comique avec conseillère matrimoniale utilisée dans les camps de redressement, méchant moustachu fascinant et hors de contrôle, découpage qui rend obsolète toutes les avancées de la grammaire cinématographique depuis Edison, budget moins cher que la place de ciné, Torture Dungeon c'est une maison hantée par le mauvais goût. Aucune envie de détailler les scènes puisqu'il faudrait le scénario complet pour témoin. Reste à savoir si le film vaut le coup. Non et en même temps oui... seul en revanche c'est formellement interdit (déprime garantie).
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Kevin95 a écrit :TORTURE DUNGEON - Andy Milligan (1970) découverte
Péloche erotico-gore de classe Z si incroyablement nulle, si fièrement hystérique et si outrageusement camp qu'elle en devient unique, précieuse pas vraiment, en tous les cas particulière. Réalisé par un certain Andy Milligan (qui a sa petite réputation auprès des amateurs les plus pointus d’excentricités), Torture Dungeon ne se regarde pas, ne se savoure pas, il se vit. D'abord furieux devant l'amateurisme du métrage, on passe de la consternation à l'embarras avant, sans s'en rendre compte, d'être hypnotisé par le n'importe-quoi sur l'écran. Le rire n'est plus moqueur mais nerveux, les yeux fatiguent mais restent grand ouvert, on ne cesse de se demander ce que va inventer Milligan pour enfoncer encore plus son film. Acteurs à chier, scène comique avec conseillère matrimoniale utilisée dans les camps de redressement, méchant moustachu fascinant et hors de contrôle, découpage qui rend obsolète toutes les avancées de la grammaire cinématographique depuis Edison, budget moins cher que la place de ciné, Torture Dungeon c'est une maison hantée par le mauvais goût. Aucune envie de détailler les scènes puisqu'il faudrait le scénario complet pour témoin. Reste à savoir si le film vaut le coup. Non et en même temps oui... seul en revanche c'est formellement interdit (déprime garantie).
J'avais vu le curieux, mais chiantissime (et nullissime) Nightbirds lors d'un Festival Lumiere, où NWR l'avait amené dans ses valises pour nous le presenter en seance de 22h à nous, pauvres cinephiles fatigués par 4 seances precedentes, et recevant un ultime coup de gourdin avant d'aller rejoindre Morphée
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Le Potager : la rubrique nanar de classik !
Reprise ici du topic arte :
Clash of the ninjas est donc en ligne. Une leçon de montage.Jack Carter a écrit :LundiKevin95 a écrit :
On sait à partir de quand les épisodes et les films seront mis en ligne ?
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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