Vos découvertes naphtas 2023

[Jeremy Fox]

La Ligne de démarcation, de Claude Chabrol (1966)

Très belle découverte aussi alors que je n'en attendais rien de spécial.

[Rick Blaine]

Je vais noter le seul film de ta liste que je n'ai pas vu : Colere noire

Finalement, il n'y avait pas trop d'urgence !!!
Le Di Leo je le recommande vivement : https://www.dvdclassik.com/critique/colere-noire-leo

La Ligne de démarcation, de Claude Chabrol (1966)

Très belle découverte aussi alors que je n'en attendais rien de spécial.

Un film très riche, particulièrement marquant. Ca fait un très bon Chabrol de plus.

[Jack Carter]

Je vais noter le seul film de ta liste que je n'ai pas vu : Colere noire

Finalement, il n'y avait pas trop d'urgence !!!

[MJ]

Abattoir 5 (Slaughterhouse 5), de George Roy Hill (1972)

Faut que je le rattrape celui-ci, tiens (même si je vois pas comment ça pourrait valoir le livre!)...

[Rick Blaine]

Je n'ai pas lu le livre, donc je ne saurai dire, mais le film est marquant.

[zemat]

J'aime aussi beaucoup le top 10 de zemat, meme si je suis plus mitigé sur Le Voyage du père, et que je n'ai pas vu Les grandes femilles et Odd couple (mais j'ai aussi le bliuray pour celui-çi)

Merci !

Plus en détails :

Odd Couple : excellente découverte de cette kung-fu comedy de 1979 où Liu Chia-yung et Sammo Hung jouent à la fois deux grands maîtres qui n’arrivent pas à se départager, et leurs nouveaux apprentis respectifs, chacun étant adepte du sabre ou de la lance (court et longue, formant ainsi le « odd couple »). Les scènes comiques peuvent sembler être lourdes mais ont très bien fonctionné sur moi, cela faisait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir devant un film de kung-fu ! Quant aux scènes de combat, elles sont très nombreuses (le combat entre les 2 maîtres ouvrant le film pourrait parfaitement convenir comme combat final), variées et souvent impressionnantes.

Le Voyage du Père : découverte de ce Denys de La Patellière auquel le dernier Festival Lumière rendait hommage (j’aurais d’ailleurs voulu voir l’intégralité de la programmation des films que je ne connaissais pas, mais cela s’est avéré impossible vu le planning…). Bref, grosse surprise qui pourrait s’appeler « Le Voyage Hardcore du Père » tant les parallèles avec le film de Paul Schrader sont nombreux. Fernandel y joue ainsi un agriculteur du Jura qui part à Lyon à la recherche de sa fille qu’il n’a pas vue depuis 2 ans et qui découvre alors sa condition. Les dialogues sont vraiment excellents, notamment ceux de Lilli Palmer qui joue la mère et s’avère exceptionnelle. Très bonne découverte in fine !

[Jeremy Fox]

Le Voyage du Père : découverte de ce Denys de La Patellière auquel le dernier Festival Lumière rendait hommage (j’aurais d’ailleurs voulu voir l’intégralité de la programmation des films que je ne connaissais pas, mais cela s’est avéré impossible vu le planning…). Bref, grosse surprise qui pourrait s’appeler « Le Voyage Hardcore du Père » tant les parallèles avec le film de Paul Schrader sont nombreux. Fernandel y joue ainsi un agriculteur du Jura qui part à Lyon à la recherche de sa fille qu’il n’a pas vue depuis 2 ans et qui découvre alors sa condition. Les dialogues sont vraiment excellents, notamment ceux de Lilli Palmer qui joue la mère et s’avère exceptionnelle. Très bonne découverte in fine !

Je note car je ne connais pas. D'ailleurs il s'agit d'un réalisateur à réévaluer un peu et du coup je te conseille fortement l'excellent Rue des Prairies et le très sympathique Le bateau d'Emile

[Commissaire Juve]

Oui, il est bien, Le Voyage du père. Au début, Lilli Palmer force un peu la note,
mais ça passe. C'est un Fernandel "sobre".

[Rick Blaine]

Le Voyage du Père : découverte de ce Denys de La Patellière auquel le dernier Festival Lumière rendait hommage (j’aurais d’ailleurs voulu voir l’intégralité de la programmation des films que je ne connaissais pas, mais cela s’est avéré impossible vu le planning…). Bref, grosse surprise qui pourrait s’appeler « Le Voyage Hardcore du Père » tant les parallèles avec le film de Paul Schrader sont nombreux. Fernandel y joue ainsi un agriculteur du Jura qui part à Lyon à la recherche de sa fille qu’il n’a pas vue depuis 2 ans et qui découvre alors sa condition. Les dialogues sont vraiment excellents, notamment ceux de Lilli Palmer qui joue la mère et s’avère exceptionnelle. Très bonne découverte in fine !

Je note car je ne connais pas. D'ailleurs il s'agit d'un réalisateur à réévaluer un peu et du coup je te conseille fortement l'excellent Rue des Prairies et le très sympathique Le bateau d'Emile

Et Les Grandes Familles, Un Taxi pour Tobrouk... Je le tiens plutôt en haute estime.
Je ne connais pas Le Voyage du père. Je note.

[zemat]

Le Voyage du Père : découverte de ce Denys de La Patellière auquel le dernier Festival Lumière rendait hommage (j’aurais d’ailleurs voulu voir l’intégralité de la programmation des films que je ne connaissais pas, mais cela s’est avéré impossible vu le planning…). Bref, grosse surprise qui pourrait s’appeler « Le Voyage Hardcore du Père » tant les parallèles avec le film de Paul Schrader sont nombreux. Fernandel y joue ainsi un agriculteur du Jura qui part à Lyon à la recherche de sa fille qu’il n’a pas vue depuis 2 ans et qui découvre alors sa condition. Les dialogues sont vraiment excellents, notamment ceux de Lilli Palmer qui joue la mère et s’avère exceptionnelle. Très bonne découverte in fine !

Je note car je ne connais pas. D'ailleurs il s'agit d'un réalisateur à réévaluer un peu et du coup je te conseille fortement l'excellent Rue des Prairies et le très sympathique Le bateau d'Emile

Rue des Prairies : vu en juillet 2021 sur Arte.
Jolie découverte que ce drame familial dialoguée avec brio par Audiard. L’interprétation est au top et le final réussit à être émouvant. Le film est gavé de seconds rôles / apparition de « comment il s’appelle déjà » !

Le Bateau d'Emile : acheté le BR lors du dernier Festival Lumière, pas encore visionné.

Pour Les Grandes Familles :
En lançant ce film j’ignorais totalement que j’allais découvrir l’ancêtre de Succession !! Tout y est : le patriarche à la tête d’un empire médiatique et industriel, un fils qui veut le mettre à la retraite, une famille riche véritable panier de crabes, des manipulations financières et personnelles instiguées en mode « coup de billard à trois bandes »,… Ceci sans oublier un humour très cynique sur la vie des hautes sphères, porté par les dialogues de Michel Audiard. En un mot, ce fut un régal !!

Par contre, Un Taxi pour Tobrouk j'avais moyennement accroché il y a une dizaine d'années, au point de revendre le BR.

[Arn]

Mon top 15 découvertes naphtas, en m'en tenant à 1 film par réalisateur. Sans ordre, si ce n'est les 5 premiers qui se détachent :





Pauvres humains et ballons de papier (Sadao Yamanaka - 1937)
Guerre et Paix (Sergey Bondarchuk - 1966)
Kuroneko (Kaneto Shindō - 1968)
L'ange rouge (Yasuzō Masumura - 1966)
A Legend or Was It? (Keisuke Kinoshita - 1963)

L'esprit de la ruche (Victor Erice - 1973)
Les fraises sauvages (Ingmar Bergman - 1963)
La bête élégante (Yūzō Kawashima - 1962)
Confession d'un commissaire de police au procureur de la république (Damiano Damiani - 1971)
Tokyo Drifter (Seijun Suzuki - 1966)
Le Château de l'araignée (Akira Kurosawa - 1957)
Place aux jeunes (Leo McCarey - 1937)
Les Sœurs Munakata (Yasujirō Ozu - 1950)
Sous les drapeaux, l'enfer (Kinji Fukasaku - 1972)
Horus, prince du Soleil (Isao Takahata - 1968)

En vrac, les autres très belles découvertes :
Le Pot d’un million de ryo (Sadao Yamanaka - 1935)
Onibaba (Kaneto Shindō - 1964)
Comme une fleur des champs (Keisuke Kinoshita - 1955)
Vingt-quatre prunelles (Keisuke Kinoshita - 1954)
Rafale de neige (Keisuke Kinoshita - 1959)
La bête aveugle (Yasuzō Masumura - 1969)
La Femme de Seisaku (Yasuzō Masumura - 1965)
Jeune fille sous le ciel bleu (Yūzō Masumura - 1957)
Les femmes naissent deux fois (Yūzō Kawashima - 1961)
Confessions d'une épouse (Yūzō Kawashima - 1961)
Une femme dans le vent (Yasujirō Ozu - 1948)
Le cimetière de la morale (Kinji Fukasaku - 1975)
Un vrai crime d'amour (Luigi Comencini - 1974)
Mad Dog Morgan (Philippe Mora - 1976)
Sherlock Junior (Buster Keaton - 1924)

[cinephage]

Voici une liste qui fait bien plaisir.

[Jack Carter]

Yep !

[origan42]

DÉCOUVERTE NAPHTA 2023

JOURNAL D'UN MAÎTRE D'ÉCOLE / DIARIO DI UN MAESTRO (Vittorio De Seta, 1973, mini-série TV) *****

D'autres découvertes, sans ordre particulier :

*****

La condition de l’homme – Il n’y a pas de plus grand amour (Masaki Kobayashi, 1959)
La condition de l’homme – Le chemin vers l’éternité (Masaki Kobayashi, 1959)
La condition de l’homme – La prière du soldat (Masaki Kobayashi, 1961)
Out 1 (Jacques Rivette, 1971)
Le sifflement de Kotan (Mikio Naruse, 1959)



****

Histoire de détective (William Wyler, 1951)
La merveilleuse histoire de Mandy (Alexander Mackendrick, 1952)
Fin de crédit (Michael Cacoyannis, 1958)
Une page de gloire (Léonce Perret, 1915)
L’oiseau bleu (Maurice Tourneur, 1918)
Am-stram-gram / Ole dole doff (Jan Troell, 1968)
La bataille d’Alger (Gillo Pontecorvo, 1966)
Les demoiselles de Wilko (Andrzej Wajda, 1979)
Les belles années / Cuore (Duilio Coletti / Vittorio De Sica, 1948)
Le visage derrière le masque / The face behind the mask (Robert Florey, 1941)
Il faut marier papa (Vincente Minnelli, 1963)
La rivière rouge (Howard Hawks, 1946)
La terre qui flambe (Friedrich Wilhelm Murnau, 1922)
Fin d’automne (Yasujirō Ozu, 1960)
Pique-nique en pyjama (Stanley Donen / George Abbott, 1957)
La station thermale d’Akitsu (Yoshishige ‘Kijū’ Yoshida, 1962)
Lions d'Afrique (James Algar, 1955)
L’amour à la ville (Michelangelo Antonioni / Federico Fellini / Alberto Lattuada / Carlo Lizzani / Francesco Maselli / Dino Risi / Cesare Zavattini, 1953)
Ludwig – La crépuscule des dieux (Luchino Visconti, 1973)
La ballade de Bruno (Werner Herzog, 1977)
Le charlatan (Edmund Goulding, 1947)
Agressions (Lars Lennart Forsberg, 1969)
Johnny, roi des gangsters (Mervyn LeRoy, 1941)
La chute de l’Empire romain (Anthony Mann, 1964)
Main basse sur la ville (Francesco Rosi, 1963)
Le criminel aux abois (Seth Holt / Basil Dearden, 1958)
Tous en scène (Vincent Minnelli, 1953)
Barbe-Bleue (Georges Méliès, 1901, c.m.)
La fille en noir (Michael Cacoyannis, 1956)

[Jeremy Fox]

JOURNAL D'UN MAÎTRE D'ÉCOLE / DIARIO DI UN MAESTRO (Vittorio De Seta, 1973, mini-série TV) *****

Je suis envieux.