Phnom&Penh a écrit :Je ne crois pas que le placement était une pratique courante à l'époque.
Si si, ça commençait. Souviens-toi de Diva et ses paquets de Gitanes!!
Je ne me souviens même pas de ça, et j'adore ce film. J'aurais plus parié sur de la pub pour des enregistreurs et lecteurs stéréos, avec de gros plans de bandes qui tournent.
Quelques années auparavant, le Locataire du titre n'arrivait pas à s'acheter ses fameuses Gauloises et devait se contenter des Malboros de mademoiselle Choule, qui "fumait toujours des Malboros. Vous en voulez un paquet ?"
Major Tom a écrit :Je ne me souviens même pas de ça, et j'adore ce film.
Après c'était peut-être pas des Gitanes mais j'ai le souvenir de Bohringer qui végète devant une montagne de paquet de clopes artistement montée. Tout le film me laisse le souvenir d'une pub.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Il ne manque que l'odeur de vomi du McDo ! (bon, cela dit, je m'en suis fait un la semaine dernière... ça faisait très longtemps que je n'y avais pas mis les pieds... ça m'a pris comme une envie de me gratter)
Cela dit, que LCJ se fasse du pognon en vendant un naveton label rouge, c'est fort ! Si ça continue, il vont sortir Vercingétorix et le film de BHL.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
tenia a écrit :
L'exemple typique, c'est le flashback en début de film, où Huster et Detmers sont devant leurs 6 bourgueurs chacun. Ils rigolent avec leurs sodas et leur montagne de bourgueurs, puis Huster et Detmers s'enlacent. Plan classique, on passe du côté de Detmers... qui chope alors un bourgueur et commence à le bouffer en se fendant la poire (genre ha ha, je bouffe un bourgueur dans son dos).
Ca n'a proprement aucun sens ni aucune utilité, c'est absolument débile, et donc, forcément, hilarant.
Trouvé dans les poubelles (il n'y a pas d'autre mot) de Yahoo actu :
En 1912, Mathis Cwajbaum et Ruchla Grossman, les parents de sa mère, se retrouvent en France après avoir quitté l'Europe de l'Est. Ils souhaitaient rallier les Etats-Unis grâce à une traversée en paquebot. « Sur le bateau pour partir, ma grand-mère commence à vomir. On lui demande ce qui se passe, et elle répond “Je suis enceinte” », explique l'interprète des Uns et des autres.
Inquiet, le futur grand-père décide de quitter le navire avant qu'il ne soit trop tard. « En fait, avec le recul, ce bateau qui s'éloignait… c'était le Titanic », raconte Francis Huster avant de conclure cette parenthèse familiale avec élégance. « Je suis là grâce au vomi de ma grand-mère ! »
L'anecdote est quand même jolie !
J'ai connu un dirlo d'école qui avait loupé son avion : c'était le vol Flash Airlines de Charm-el-Cheikh (2004). Le gars me raconte ça alors que je m'apprêtais à prendre l'avion quelques semaines plus tard avec une classe !
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Dans l'interview présente sur le bonus du blu-ray du Faucon, Francis Huster parle de ce film comme d'un succès commercial. Est-ce que vous avez des chiffres sur le box-office qu'il a pu faire (ou alors c'est par rapport à son budget) ?
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
63e score de l'année, je pense que ça reste un bon score pour le film
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky