Y a quelque chose, oui. Le regard peut-être. Et le nez.Alexandre Angel a écrit : ↑31 juil. 23, 14:44 Est-ce moi ou il ressemble de plus en plus à Pete Postlewaite ?
Dennis Quaid
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Re: Dennis Quaid
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Re: Dennis Quaid
Oui voilà.
Bon là sur cette photo, on a du mal à se rendre compte à cause de sa longue chevelure rousse..
Bon là sur cette photo, on a du mal à se rendre compte à cause de sa longue chevelure rousse..
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Dennis Quaid
Ne l'encourage pas!Supfiction a écrit : ↑31 juil. 23, 14:56Y a quelque chose, oui. Le regard peut-être. Et le nez.Alexandre Angel a écrit : ↑31 juil. 23, 14:44 Est-ce moi ou il ressemble de plus en plus à Pete Postlewaite ?
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Re: Dennis Quaid
L'info Quaid du jour, postée le 30 juillet dernier et passée presque inaperçue (mais que font ACR et Manolito en mon absence ) :
Confimation s'il en fallait du caractère incroyablement fédérateur de la star d'In the name of the father sur le forum. Flavia, soit le bienvenue : ce topic est désormais le tiens.Dans le topic commentaires sur mon film du mois, Flavia a écrit : ↑30 juil. 23, 17:48
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Re: Dennis Quaid
" À quelle célébrité ressemble Dennis Quaid ? "
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Re: Dennis Quaid
L'annonce pourra sembler opportuniste, mais, pour ceux qui souhaiteraient rendre un hommage indirect à son oeuvre, il se trouve que Steven Soderbergh revendiquait justement l'influence de William Friedkin sur sa toute récente mini-série Full circle, marquant par ailleurs ses retrouvailles avec l'inoxidable star au caleçon à rayures.
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Re: Dennis Quaid
GORP (1980)
Ecrit et produit par Jeffrey Konvitz, précédemment scénariste et producteur, dans un tout autre genre, du The Sentinel de Michael Winner, Gorp marque la seconde collaboration de Dennis Quaid avec Joseph Ruben, cinéaste qu'il retrouvera 4 ans plus tard sur le suspense fantastique Dreamscape. L'intrigue se déroule dans un camp de vacances juif pour pré-ados, théâtre, en coulisses, d'"inoffensifs" affrontements et amourettes entre moniteurs / monitrices et autres membres du staff de la colonie. Lorgnant ouvertement du côté de l'American college de Landis et du Meatballs d'Ivan Reitman, voilà un titre que même un Die hard fan de la star de A dog’s journey comme Tchi-Tcha préfèrera sans doute passer sous silence, ne pouvant guère que timidement le qualifier de récréatif dans sa carrière (d’autant que Quaid n’y tient finalement qu’un rôle annexe).
L’ensemble provoque ainsi davantage la gêne, avec ses viols pour s'amuser et son insistance à humilier certains de ses personnages secondaires, voire une pointe de dégout dans ses séquences les plus crades, qu’un rire décomplexé, se jouant de la bienséance, ambition sans doute visée par ses auteurs. Bref, douteux dans le fond, paresseux dans sa réalisation - on sent tout de même bien passer les 90 minutes ici - Gorp est un produit eighties sans envergure, qui n'a pas franchement bien vieilli et, accessoirement, fait presque tâche au sein de ce passionnant fil consacré à Dennis Quaid, vanté jusqu’à présent pour son chic et son sérieux et semblant bien parti, aux dernières rumeurs, pour être élu topic préféré des classikiens de l’année 2023.
Un peu de remplissage maintenant, afin de muscler cette traînassant 11eme page et parce que je ne me suis pas taper cette lamentable croute pour rien :
La bande annonce (avec quelques désopilantes séquences auxquels j'ai apparemment échappé) :
Et un seul avis disponible sur le site ami Allociné, pas des plus enthousiaste lui-aussi :
Ecrit et produit par Jeffrey Konvitz, précédemment scénariste et producteur, dans un tout autre genre, du The Sentinel de Michael Winner, Gorp marque la seconde collaboration de Dennis Quaid avec Joseph Ruben, cinéaste qu'il retrouvera 4 ans plus tard sur le suspense fantastique Dreamscape. L'intrigue se déroule dans un camp de vacances juif pour pré-ados, théâtre, en coulisses, d'"inoffensifs" affrontements et amourettes entre moniteurs / monitrices et autres membres du staff de la colonie. Lorgnant ouvertement du côté de l'American college de Landis et du Meatballs d'Ivan Reitman, voilà un titre que même un Die hard fan de la star de A dog’s journey comme Tchi-Tcha préfèrera sans doute passer sous silence, ne pouvant guère que timidement le qualifier de récréatif dans sa carrière (d’autant que Quaid n’y tient finalement qu’un rôle annexe).
L’ensemble provoque ainsi davantage la gêne, avec ses viols pour s'amuser et son insistance à humilier certains de ses personnages secondaires, voire une pointe de dégout dans ses séquences les plus crades, qu’un rire décomplexé, se jouant de la bienséance, ambition sans doute visée par ses auteurs. Bref, douteux dans le fond, paresseux dans sa réalisation - on sent tout de même bien passer les 90 minutes ici - Gorp est un produit eighties sans envergure, qui n'a pas franchement bien vieilli et, accessoirement, fait presque tâche au sein de ce passionnant fil consacré à Dennis Quaid, vanté jusqu’à présent pour son chic et son sérieux et semblant bien parti, aux dernières rumeurs, pour être élu topic préféré des classikiens de l’année 2023.
Un peu de remplissage maintenant, afin de muscler cette traînassant 11eme page et parce que je ne me suis pas taper cette lamentable croute pour rien :
La bande annonce (avec quelques désopilantes séquences auxquels j'ai apparemment échappé) :
Et un seul avis disponible sur le site ami Allociné, pas des plus enthousiaste lui-aussi :
A propos de cette purge de Gorp, A visitor, le 29 septembre 2006, a écrit : ↑9 août 23, 10:37 Plaisanteries grossières. Mise en scène primaire. Interprétation nulle.
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Re: Dennis Quaid
Pour m’excuser d’avoir posté un message dans le topic de Gerard Butler, je tiens à dire que j’ai découvert cette semaine Big Easy : Le Flic de mon cœur et c’était très sympa. Dennis Quaid a un beau sourire et Ellen Barkin porte bien le drap bleu.
- manuma
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Re: Dennis Quaid
A ben, c’est sûr que c'est autre chose que le Butterfly on wheel à Gégé, ce The Big easy…
Sinon, mon Dennis Quaid du jour :
SEPTEMBER 30, 1955 (1977)
Troisième film du scénariste et réalisateur James Bridges, qui adapte ici sa propre pièce « How many times have you seen East of Eden ? ». Sans doute pas ce qu’a fait de mieux cet intéressant auteur - Bon souvenir d’Urban cow-boy et Bright lights, Big city pour ma part, ainsi que petit faible pour son étrange et mal-aimé Mike’s murder - mais certainement plus qu’une simple chronique fifties provinciale surfant sur le succès de The Last picture show. Le jeu de miroir qu’entretient le récit avec East of Eden et Rebel without a cause donne en effet une saveur particulière à ce drame adolescent s’interrogeant également avec justesse sur le culte de la jeunesse pour les stars au destin tragique (ici donc James Dean). Un ensemble attachant, que l’on devine assez personnel (le protagoniste principal doit avoir à peu près le même âge que Bridges en 1955) mais un peu trop sage, et qui manque quand même légèrement d’éclat du côté de l’interprétation pour convaincre totalement.
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Re: Dennis Quaid
...que tu n'as même pas vu puisque tu es infichu de programmer correctement un enregistrement sur TFX
Ha ça, pour télécharger des trucs pas terribles avec Dennis Quaid dedans, c'est plus facile
Le mieux serait d'atteindre la page 12 le plus vite possible et d'oublier cette page 11. Faire comme si elle n'avait jamais existé, à la manière de ces hôtels qui n'ont pas de chambre 13 ou 237.
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- manuma
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Re: Dennis Quaid
Après mûre réflexion, moi, je ne la trouve pas si mal que ça, cette 11eme page ! On y trouve tout de même une pertinente comparaison physique entre Pete Postlewaite et Dennis, signée Alexandre et validée par Stupfiction :
Mais également une excellente boutade du même Alexandre :Un peu plus haut sur cette même page 11, Supfiction a écrit : ↑31 juil. 23, 14:56Y a quelque chose, oui. Le regard peut-être. Et le nez.Alexandre Angel a écrit : ↑31 juil. 23, 14:44 Est-ce moi ou il ressemble de plus en plus à Pete Postlewaite ?
Ainsi qu'un bel hommage indirect au grand Friedkin :Un peu moins haut, toujour sur cette page, Alexandre Angel a écrit : ↑31 juil. 23, 15:06 Oui voilà.
Bon là sur cette photo, on a du mal à se rendre compte à cause de sa longue chevelure rousse..
Et pas moins de 3 passionnants comptes rendus de film, par Magik et votre serviteur, témoignant de l'extraordinaire diversité de la carrière de l'iconique star hollywoodienne.Plus près de nous encore, manuma a écrit : ↑9 août 23, 10:37 L'annonce pourra sembler opportuniste, mais, pour ceux qui souhaiteraient rendre un hommage indirect à son oeuvre, il se trouve que Steven Soderbergh revendiquait justement l'influence de William Friedkin sur sa toute récente mini-série Full circle, marquant par ailleurs ses retrouvailles avec l'inoxidable star au caleçon à rayures.
Juste au dessus, manuma a écrit : ↑12 août 23, 12:52 GORP (1980)
Ecrit et produit par Jeffrey Konvitz, précédemment scénariste et producteur, dans un tout autre genre, du The Sentinel de Michael Winner, Gorp marque la seconde collaboration de Dennis Quaid avec Joseph Ruben, cinéaste qu'il retrouvera 4 ans plus tard sur le suspense fantastique Dreamscape. L'intrigue se déroule dans un camp de vacances juif pour pré-ados, théâtre, en coulisses, d'"inoffensifs" affrontements et amourettes entre moniteurs / monitrices et autres membres du staff de la colonie. Lorgnant ouvertement du côté de l'American college de Landis et du Meatballs d'Ivan Reitman, voilà un titre que même un Die hard fan de la star de A dog’s journey comme Tchi-Tcha préfèrera sans doute passer sous silence, ne pouvant guère que timidement le qualifier de récréatif dans sa carrière (d’autant que Quaid n’y tient finalement qu’un rôle annexe).
L’ensemble provoque ainsi davantage la gêne, avec ses viols pour s'amuser et son insistance à humilier certains de ses personnages secondaires, voire une pointe de dégout dans ses séquences les plus crades, qu’un rire décomplexé, se jouant de la bienséance, ambition sans doute visée par ses auteurs. Bref, douteux dans le fond, paresseux dans sa réalisation - on sent tout de même bien passer les 90 minutes ici - Gorp est un produit eighties sans envergure, qui n'a pas franchement bien vieilli et, accessoirement, fait presque tâche au sein de ce passionnant fil consacré à Dennis Quaid, vanté jusqu’à présent pour son chic et son sérieux et semblant bien parti, aux dernières rumeurs, pour être élu topic préféré des classikiens de l’année 2023.
-Hier, magik- a écrit : ↑13 août 23, 08:34 THE BIG EASY (1986)
Pour m’excuser d’avoir posté un message dans le topic de Gerard Butler, je tiens à dire que j’ai découvert cette semaine Big Easy : Le Flic de mon cœur et c’était très sympa. Dennis Quaid a un beau sourire et Ellen Barkin porte bien le drap bleu.
Loin de moi l'intention de jeter de l'huile sur le feu, mais il me semble tout de même que peu de pages du topic Gérard Butler peuvent s’enorgueillir d'un tel bilan2 messages plus haut, manuma a écrit : ↑13 août 23, 23:24 SEPTEMBER 30, 1955 (1977)
Troisième film du scénariste et réalisateur James Bridges, qui adapte ici sa propre pièce « How many times have you seen East of Eden ? ». Sans doute pas ce qu’a fait de mieux cet intéressant auteur - Bon souvenir d’Urban cow-boy et Bright lights, Big city pour ma part, ainsi que petit faible pour son étrange et mal-aimé Mike’s murder - mais certainement plus qu’une simple chronique fifties provinciale surfant sur le succès de The Last picture show. Le jeu de miroir qu’entretient le récit avec East of Eden et Rebel without a cause donne en effet une saveur particulière à ce drame adolescent s’interrogeant également avec justesse sur le culte de la jeunesse pour les stars au destin tragique (ici donc James Dean). Un ensemble attachant, que l’on devine assez personnel (le protagoniste principal doit avoir à peu près le même âge que Bridges en 1955) mais un peu trop sage, et qui manque quand même légèrement d’éclat du côté de l’interprétation pour convaincre totalement.
Coming soon : Dennis Quaid dans un suspense glaçant rendant hommage aux thrillers domestiques des années 90...
- manuma
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Re: Dennis Quaid
Curieusement, ma boite à MP n'a pas sauté suite à cette annonce. Je devine néanmoins Tchi-Tcha dans l'attente hébétée de ce titre mystère depuis hier. Aussi, sans plus attendre, rapide présentation de :
THE INTRUDER (2019)
La mini rétrospective personnelle que je consacre actuellement à cette légende vivante du 7eme art qu'est Dennis Quaid me pousse à reconnaitre quelques petits égarements sur sa récente filmo. Dit autrement, Dennis se cherche un peu en ce moment, et, entre 2 biopics catho, tente ici, sans grand succès, le contre-emploi du pervers harceleur / manipulateur, retrouvant au passage David Loughery, le scénariste de son Dreamscape (et de 2 récents thrillers à fuir, Lakeview terrace et Obsessed). Une diversification qui aurait pu s’avérer payante si Deon Taylor, le réalisateur, et ce même Loughery avaient invité Quaid à se lâcher un peu plus face leur couple vedette complétement tarte, avaient également injecté un brin d’humour noir à leur suspense ou enrobé l’ensemble de quelques considérations sociétales, à la Unlawful entry. Ici, malheureusement, on est prié d’y croire à fond sans discuter ni rigoler, quand bien même tout est rance et téléphoné. Bref, tout ça juste pour dire qu'entre Gorp et cette insulte au thriller domestique nineties, je l'aurai bien mérité, cette page 12...
Dernière modification par manuma le 15 août 23, 09:42, modifié 1 fois.
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Re: Dennis Quaid
Oops... Tellement occupé à fêter l'entrée imminente de Kandahar dans le peloton de tête du tableau des sorties 2023, j'avais complètement zappé
(me doutais un peu que ce serait encore un truc nul)
Mine de rien, avec Mayday et Kandahar, Gerard Butler aligne deux titres au classement des sorties 2023 de Classik. Il en a combien Dennis Quaid, déjà
Et hop, une réponse outrée à mon sarcasme et on en aura - presque- fini avec cette pénible page 11. Tiens bon, on va y arriver !
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- manuma
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Re: Dennis Quaid
L'année n'est pas finie, et c'est oublier l'arrivée imminente de ça sur les écrans :
Par le réalisateur des 3 ninjas se déchaînent, avec, entourant Quaid - assois-toi, Tchi-Tcha - Jon Voight, Penelope Ann Miller, C. Thomas Howell, Lesley Anne Down, Kevin Sorbo et Robert Davi... on se croirait presque revenu à la grande époque du Nixon de Stone, et là, je me dis que le Kandahar de Gégé et sa 140eme place au top sorties Dvd Classik 2023 peuvent commencer à trembler.
Sinon, pour en revenir à The intruder, je laisse la parole à Ykarpathakis157 qui, sur le site Allociné, vient nuancer mon avis négatif :
Je jette l'éponge pour la journée, mais merci quand même Tchi-TchaLe 05 aout 2020, Ykarpathakis157 a écrit : ↑15 août 23, 09:31 (...) j'ai été agréablement surpris. Dennis Quaid est terrifiant et il est un amalgame effrayant de Jack Nicholson dans Shining, Christian Bale dans American Psycho et Robert De Niro dans Taxi Driver. Et il y avait beaucoup de clins d'œil à The Shining dans ce film. Meagan Good, Michael Ealy et Joseph Sikora étaient tous très bons dans leurs rôles. Mais Dennis Quaid a volé le film parce que quand il était à l'écran vous ne pouviez pas le quitter des yeux. Son personnage pourrait devenir l'un des meilleurs et des plus mémorables psychos de cinéma que nous ayons vus depuis des années. The Intruder est excellent...
- tchi-tcha
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Re: Dennis Quaid
Il est toujours en vie, Jon Voight ????
Ah ben oui, 84 ans, au temps pour moi
Par contre, ce n'est pas raisonnable à son âge de tourner avec Dennis Quaid...
Cette fois c'est bon, au prochain message la page 12 t'ouvre ses bras. Sois-en digne.
Dernière modification par tchi-tcha le 15 août 23, 18:25, modifié 1 fois.
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