New, restored high-definition digital transfer (with uncompressed monaural soundtrack on the Blu-ray edition)
New audio commentary by film scholar James Naremore
Mackendrick: The Man Who Walked Away, a 1986 documentary featuring interviews with director Alexander Mackendrick, actor Burt Lancaster, producer James Hill, and more
James Wong Howe: Cinematographer, a 1973 documentary about the Oscar-winning director of photography, featuring lighting tutorials with Howe
New video interview with film critic and historian Neil Gabler (Winchell: Gossip, Power and the Culture of Celebrity) about legendary columnist Walter Winchell, inspiration for the character J. J. Hunsecker
New video interview with filmmaker James Mangold about Mackendrick, his instructor and mentor
Original theatrical trailer
PLUS: A booklet featuring an essay by critic Gary Giddins, two short stories by Ernest Lehman featuring the characters from the film, notes about the film by Lehman, and an excerpt from Mackendrick’s book On Film-making
Boubakar a écrit :Tiens, je ne connaissais pas ce film, que vaut-il ? argument du prix rejeté
J'avais bien aimé cette douloureuse dénonciation des dérives d'une certaine presse. Il y a certains films comme celui-ci qui sont encore plus actuels aujourd'hui qu'à l'époque. J'ai le souvenir d'une belle réalisation et d'un noir et blanc des plus réussis. En BR, ça doit taper
Boubakar a écrit :Tiens, je ne connaissais pas ce film, que vaut-il ? argument du prix rejeté
C'est très, très bon pour moi (parmi les meilleurs dialogues que j'ai jamais entendus dans un film). Tu trouveras plus d'avis sur le fil de Mackendrick. Content de la sortie chez Critérion, même si le zone 1 était déjà pas mal du tout.
Souhaits : Alphabétiques - Par éditeurs - « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
juste une precision : il y a une erreur, le transfert du dvd zone 2 (je ne sais pas pour le zone 1) n'est pas anamorphique, c'est du 1.66 4/3 et pas 16/9eme comme indiqué
bref, j'encourage les possesseurs de platine zone A à vous jeter sur le Criterion, le film en vaut la chandelle
Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
Jack Carter a écrit :juste une precision : il y a une erreur, le transfert du dvd zone 2 (je ne sais pas pour le zone 1) n'est pas anamorphique, c'est du 1.66 4/3 et pas 16/9eme comme indiqué
Pareil avec le zone 1.
Indiqué "Widescreen 1.66 Theatrical release format", mais pas "Anamorphic".
Litigieux, comme toujours...
Vive le BR
Souhaits : Alphabétiques - Par éditeurs - « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
Jack Carter a écrit :juste une precision : il y a une erreur, le transfert du dvd zone 2 (je ne sais pas pour le zone 1) n'est pas anamorphique, c'est du 1.66 4/3 et pas 16/9eme comme indiqué
bref, j'encourage les possesseurs de platine zone A à vous jeter sur le Criterion, le film en vaut la chandelle
Houlà, mais je me souviens de cette chronique !
Merci pour la précision, c'est corrigé.
Nestor Almendros a écrit :test dvdbeaver de SWEET SMELL OF SUCCESS
a magnificent transfer
Une des plus belles réalisations de Criterion, bonus passionnants, et le film est une tuerie, les dialogues complètement électriques,c 'est haletant, physique, violent (sans un seul coup de feu), et la photo de James Wong Howe est à tomber par terre : c'est sans doute le plus grand directeur photo avec Stanley Cortez, pour le noir et blanc en tout cas : Wong Howe est derrière des tas de films en couleurs des années 60 qu'on attendra sans doute longtemps de voir en BR: le Propriété INterdite de Pollack (avec les rues de Memphis en couleurs) et le HOMBRE de Martin Ritt avec Paul Newman, mais il a été aussi sur Shangaï Express de von Sternberg et surtout sur Pursued/La Vallée de la peur de Raoul Walsh (Jacques Lourcelles en a décrit l'impact : "Les ciels noirs, les rochers, les intérieurs à peine éclairés de James Wong Howe sont des eaux-fortes à côté desquelles, par instants, l'art plastique d'un Dreyer ressemble à une esquisse de débutant."!!!!!