Bonjour,
je ne suis pas un robot, je déterre le topic uniquement pour le plaisir de poster cette photo de Peter Walsh tenant l'album Scott 3 dans ses mains.
Spanish speakers, friends in Spain! Laurent Berger interviewed me for Spanish music magazine, Rock the Best Music.
I spilled the beans on the future—the next Apartments album. And the past—the vanished world that shaped the music I love and the songs I’ve written. That world had a kitchen radio, Satie on TV, greatest hits records and compilations. And of course goddesses and gods like Dusty and Sinatra, Betty Comden, Johnny Mercer and Jimmy Webb too. (Source : Facebook)
Et en bonus, version live d'une chanson rigolote du dernier album :
Hein ? Mon ex ? Pff, j'y pense plus du tout, tss...
Je n'ai pas eu besoin d'en faire la promo parce que le concert est de toute façon largement complet mais il jouera en solo à Paris le 11 novembre.
Et le 4 à Volvic aux Vinzelles.
Je ne savais pas que Laurent Berger était fan de rock indé australien.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Alibabass a écrit : ↑12 oct. 23, 15:19
J'avais écouté A Life Full Of Farewells via sa réédition chez Talitres ... et là, en 2023, j'en est aucun souvenir.
Pas mon album préféré, mais All the time in the world le concluait en beauté.
Une chanson sur la retraite
Essaie de donner une chance à No Song No Spell No Madrigal, l'album du retour après quinze ans de (quasi) silence. On rappellera les raisons de cette longue éclipse : pendant que son label de l'époque assurait la vente de son dernier album (le bien-nommé Apart, assez à part dans sa discographie), Peter Walsh était à l'hôpital au chevet de son jeune fils qui finira par décéder. Quand son label lui a expliqué que même si le disque ne s'était pas trop mal vendu, entre la promo et les frais il ne lui restait pas grand chose, il a tiré un trait qu'il pensait définitif sur ce métier et sur ce milieu.
On connaît la suite, de l'acharnement patient des fans (français, surtout) à un retour sur scène jusqu'au financement participatif de l'album, on a pu découvrir No Song... en 2015, essentiellement habité par cette disparition, par ce deuil impossible à faire et par cette déchirure qui ne se refermera jamais (avec des paroles du genre "je t'ai porté sur mes genoux, je t'ai porté sur mes épaules, je t'ai porté dans ton cercueil", ambiance).
AtCloseRange a posté en page précédente le titre Twenty One qui annonce la couleur. C'est une chanson sur la promesse faite à son fils de l'emmener un jour voir la neige à New York, une promesse qui ne sera jamais tenue, pas plus que Peter Walsh ne le verra grandir, pas plus qu'il n'y aura d'anniversaires à fêter, etc. Si j'ajoute que ça dure six minutes, normalement à la fin tu devrais avoir envie de te tirer une balle dans la tête (à côté, L'aigle noir de Barbara c'est La danse des canards). Pourtant, à mi-parcours, à coups de batterie et de trompettes contre-intuitives, la chanson trouve la force de se relever parce que Peter Walsh ne sait rien faire d'autre de sa vie que d'écrire des chansons déchirantes... et elle me colle des frissons à chaque fois.
Bref, les albums des Apartments font partie de ce que j'ai de plus précieux dans ma discothèque, pour résumer.
I've been stuck in the same quicksand since 1999
Stuck in the same quicksand
The snow was falling on broadway and I promised you that one day
I'd take you away to New York
Whatever happened to the promise?
Whatever happened to the time?
It ran out
But I thought I'd see you at 21
Bring the baby for it's due wetting
Look at all that's been and gone since then
Some are for remembering and some are for forgetting
Either way, it's gone
Either way, it's gone.
Take back all the days
The days that I was given
Instead.
I remember all the birthday parties
Children carrying balloons
Streamers tied to a wooden fence
Some of them let go too soon.
Let go - too soon
I carried you on my hip at first
I carried you on my shoulders
Carried you to a long black car
You will never get any older
Any older
Where are the parties that were never held and
Where are the snows that never fell and
Where are the parties that were never held and
Where are the snows that never fell and
Where are the parties that were never held and
Where are the snows that never fell and
Where are the parties that were never held and
Where are the snows that never fell and
Where are the parties that were never held and
Where are the snows that never fell and
And where are you my love?
And where and where and where and where
Are the parties that were never held
And where are all the snows that never fell
Where are you my love?
Where you are you?
There'll be no twenty one
There'll be no twenty one
There'll be no parties
No parties
No parties
There'll be no twenty one
