murphy a écrit : ↑8 oct. 23, 10:33
La scène dont je me souviens : deux hommes dans l'appartement d'un des deux. L'hôte a la collection complète des livres de poche dans sa bibliothèque et il prétend connaitre par cœur les numéros de la collection et les titres correspondant. L'autre veut vérifier, tire un bouquin au hasard de la bibliothèque, lui dit le numéro et l'autre lui sort l'auteur et le titre.
Histoire d'être précis, ce n'est pas l'autre mec qui veut vérifier, c'est Carole Laure qui est dans la piaule et à qui Patrick Dewaere demande de dire un chiffre.
Sinon, je ne trouve pas ton documentaire mais ça me parle..
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
J'aurais peut être pu trouver le Blier si j'avais tapé des mots clé avec les acteurs mais mes souvenirs étaient assez flous et je ne pensais pas à un couple pour cette scène. Je ne suis même pas sur de l'avoir vraiment vu car j'ai regardé de quoi il s'agissait et ce film ne me parle pas. Il n'est pas impossible que je n'ai vu que cette scène là à la télé lors de sa diffusion. Je me suis souvenu de cette bibliothèque car j'ai acheté récemment à Emmaus tout un lot de livres de poche avec des anciennes couvertures.
Pour le documentaire sur le restaurant, là aussi ma mémoire flanche, j'ai pas beaucoup plus d'éléments. Et lorsque je cherche sur Google, je tombe automatiquement sur Cauchemar en Cuisine.
murphy a écrit : ↑8 oct. 23, 17:42
J'aurais peut être pu trouver le Blier si j'avais tapé des mots clé avec les acteurs mais mes souvenirs étaient assez flous et je ne pensais pas à un couple pour cette scène. Je ne suis même pas sur de l'avoir vraiment vu car j'ai regardé de quoi il s'agissait et ce film ne me parle pas. Il n'est pas impossible que je n'ai vu que cette scène là à la télé lors de sa diffusion. Je me suis souvenu de cette bibliothèque car j'ai acheté récemment à Emmaus tout un lot de livres de poche avec des anciennes couvertures.
Pour le documentaire sur le restaurant, là aussi ma mémoire flanche, j'ai pas beaucoup plus d'éléments. Et lorsque je cherche sur Google, je tombe automatiquement sur Cauchemar en Cuisine.
Je pense que si tu avais vu ce film, comme moi, c'est à dire à un (trop) jeune âge, tu n'aurais sûrement pas pu l'oublier !
"Quand les types de cent trente kilos disent certaines choses, les types de soixante kilos les écoutent."
murphy a écrit : ↑8 oct. 23, 10:33
La scène dont je me souviens : deux hommes dans l'appartement d'un des deux. L'hôte a la collection complète des livres de poche dans sa bibliothèque et il prétend connaitre par cœur les numéros de la collection et les titres correspondant. L'autre veut vérifier, tire un bouquin au hasard de la bibliothèque, lui dit le numéro et l'autre lui sort l'auteur et le titre.
Histoire d'être précis, ce n'est pas l'autre mec qui veut vérifier, c'est Carole Laure qui est dans la piaule et à qui Patrick Dewaere demande de dire un chiffre.
Allons bon ! Carole Laure était donc un mec ?!?
Quelle époque !
Si on passe AC/DC, je quitte la pièce (J. Jarmusch) Et Amazon, c'est toujours le mal (et l'internet haut débit, et Google...)
Alexandre Angel a écrit : ↑8 oct. 23, 16:39
Sinon, je ne trouve pas ton documentaire mais ça me parle..
J'ai retrouvé. C'est "Coute que coute" de Claire Simon
Mais en fait, ce n'était pas un restaurant comme je croyais mais une entreprise qui faisait des plats cuisinés pour livrer dans des hypermarchés.
Et bien tu sais que j'y ai pensé!
Au titre précisément non, ni à la réalisatrice, car j'étais incapable de m'en souvenir mais le sujet flottait dans ma tête. Je me souvenais d'une effluve mais je ne sais plus du tout si je l'ai vu ou pas.
De plus, Claire Simon est à l'affiche avec son film sur l'hôpital.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
On me pose une colle : un film dans lequel le méchant dispose d'une armée de jeunes en uniforme (probablement de collège, pas militaires, avec des casquettes à l'anglaise) ... ça se passe dans le sud de la France ou au bord de la mer, et il y a une ambiance musicale jazzy psychédélique, ils ont des guitares, mais l'ambiance n'est pas tant que ça a la rigolade. bref le souvenir est très flou, bon courage
Brody a écrit : ↑11 nov. 23, 20:23
On me pose une colle : un film dans lequel le méchant dispose d'une armée de jeunes en uniforme (probablement de collège, pas militaires, avec des casquettes à l'anglaise) ... ça se passe dans le sud de la France ou au bord de la mer, et il y a une ambiance musicale jazzy psychédélique, ils ont des guitares, mais l'ambiance n'est pas tant que ça a la rigolade. bref le souvenir est très flou, bon courage
La question est posée dans le topic du cinéma iranien de la partie non-naphta du forum. Pas certain qu'elle a de grandes chances d'y trouver une réponse, alors par bonté d'âme je copie/colle ici :
Mama Grande! a écrit : ↑13 nov. 23, 00:04
Il y a une quinzaine d’années, à bord d’un vol Emirates, dont la sélection de films à bord était d’origines incroyablement diverses, j’avais sélectionné un film iranien. Loin des films d’auteur internationaux de Panahi ou Kiarostami, il s’agissait d’un film de genre un peu fauché qui, si je me souviens bien, suivait une trame de rape & revenge sur deux femmes parcourant l’Iran après le viol de l’une d’elles. Ce n’était pas forcément un grand film, mais je me souviens qu’il dégageait une grande noirceur, une certaine mélancolie, et une violence brute bien que peu visible à l’écran (probablement à cause des contraintes de censure).
J’aimerais bien retrouver ce film, si quelqu’un a une idée de ce que ça peut être
(et à part ça, concernant le film lui-même, j'en ai aucune idée )
Je recherche le titre d'u film argentin (aucune indication sur le réalisateur ou l'année de production) où chaque matin, un homme regarde une femme qui est à sa fenêtre. Chaque jour, elle est présente et le regarde. Cet homme se prend de passion pour cette belle femme. Un jour, il décide se rendre à son étage pour partir à sa rencontre et comprend qu'il est chez une modiste ...
L'une ou l'un d'entre vous serait-il susceptible de m'aider à identifier ce long métrage ?
Merci par avance.
two lovers a écrit : ↑18 nov. 23, 09:05
Je recherche le titre d'u film argentin (aucune indication sur le réalisateur ou l'année de production) où chaque matin, un homme regarde une femme qui est à sa fenêtre. Chaque jour, elle est présente et le regarde. Cet homme se prend de passion pour cette belle femme. Un jour, il décide se rendre à son étage pour partir à sa rencontre et comprend qu'il est chez une modiste ...
L'une ou l'un d'entre vous serait-il susceptible de m'aider à identifier ce long métrage ?
Merci par avance.
Je n'ai pas le titre, mais il est évoqué dans un entretien de Michel Ciment avec Manoel de Oliveira dans son livre Petite planète cinématographique (2003) https://books.google.fr/books?id=KvxfXx ... te&f=false
Probablement, film argentin à sketch antérieur à 2003.