Taxi Driver (Martin Scorsese - 1976)
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Taxi Driver (Martin Scorsese - 1976)
Il existe peu d'oeuvres cinématographiques dont la simple évocation rappelle instantanément en mémoire l'image de De Niro parcourant en taxi les rues de New York.
Taxi Driver a cette puissance d'évocation phénoménale parce qu'il est rentré dans la catégorie des films qui ont marqué leur époque d'une empreinte indélibile ( le rôle de De Niro dans ce film étant aussi connu que son rôle dans Raging Bull où il interprète Jake La Motta).
Sombre, pessimiste, violent, mais aussi humaniste, bouleversant et virtuose dans sa mise en scène, le film gamberge, murmure, avant d'exploser littéralement pendant les dix dernières minutes qui représentent ce que Scorsese a pu faire de plus spectaculaire sur le plan visuel.
De Niro génial de bout en bout, Harvey Keitel dément en proxénète, Cybill Sheperd et la toute jeune Jodie Foster dont c'est l'un des premiers films portent le long-métrage sur leurs épaules et font des compositions remarquables.
Palme d'Or à Cannes en 1976.
Taxi Driver a cette puissance d'évocation phénoménale parce qu'il est rentré dans la catégorie des films qui ont marqué leur époque d'une empreinte indélibile ( le rôle de De Niro dans ce film étant aussi connu que son rôle dans Raging Bull où il interprète Jake La Motta).
Sombre, pessimiste, violent, mais aussi humaniste, bouleversant et virtuose dans sa mise en scène, le film gamberge, murmure, avant d'exploser littéralement pendant les dix dernières minutes qui représentent ce que Scorsese a pu faire de plus spectaculaire sur le plan visuel.
De Niro génial de bout en bout, Harvey Keitel dément en proxénète, Cybill Sheperd et la toute jeune Jodie Foster dont c'est l'un des premiers films portent le long-métrage sur leurs épaules et font des compositions remarquables.
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Re: Taxi Driver
Je suis entièrement d'accord avec toi si ce n'est que je ne vois pas le propos "humaniste" du film... Pourrais tu éclairer ma lanterne ?Jordan White a écrit :Il existe peu d'oeuvres cinématographiques dont la simple évocation rappelle instantanément en mémoire l'image de De Niro parcourant en taxi les rues de New York.
Taxi Driver a cette puissance d'évocation phénoménale parce qu'il est rentré dans la catégorie des films qui ont marqué leur époque d'une empreinte indélibile ( le rôle de De Niro dans ce film étant aussi connu que son rôle dans Raging Bull où il interprète Jake La Motta).
Sombre, pessimiste, violent, mais aussi humaniste, bouleversant et virtuose dans sa mise en scène, le film gamberge, murmure, avant d'exploser littéralement pendant les dix dernières minutes qui représentent ce que Scorsese a pu faire de plus spectaculaire sur le plan visuel.
De Niro génial de bout en bout, Harvey Keitel dément en proxénète, Cybill Sheperd et la toute jeune Jodie Foster dont c'est l'un des premiers films portent le long-métrage sur leurs épaules et font des compositions remarquables.
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Re: Taxi Driver
De Niro cherche une lueur d'humanité dans un déluge de soucis et de problèmes quotidiens qui lui font petit à petit pété les plombs. Il aspire à être aimé par une femme aimante et compréhensible, dans laquelle il pourrait se reconnaître. Cette femme interprétée par Cybill Sheperd ne le comprends pas trop, et lorsqu'ils décident d'aller ensemble au cinéma, celui-ci commet une bourde en ayant le mauvais goût de l'emmener au cinéma porno. La frontière entre l'intime et l'exhibitionnisme éclate en éclats et c'est la rupture brutale entre deux êtres qui auraient pu être ensemble. De même qu'en cherchant à protéger la jeune lolita du proxénète, le personnage est traversée d'idées humanistes qui se retournent contre lui. D'où le final.Harry Dawes a écrit :Je suis entièrement d'accord avec toi si ce n'est que je ne vois pas le propos "humaniste" du film... Pourrais tu éclairer ma lanterne ?Jordan White a écrit :Il existe peu d'oeuvres cinématographiques dont la simple évocation rappelle instantanément en mémoire l'image de De Niro parcourant en taxi les rues de New York.
Taxi Driver a cette puissance d'évocation phénoménale parce qu'il est rentré dans la catégorie des films qui ont marqué leur époque d'une empreinte indélibile ( le rôle de De Niro dans ce film étant aussi connu que son rôle dans Raging Bull où il interprète Jake La Motta).
Sombre, pessimiste, violent, mais aussi humaniste, bouleversant et virtuose dans sa mise en scène, le film gamberge, murmure, avant d'exploser littéralement pendant les dix dernières minutes qui représentent ce que Scorsese a pu faire de plus spectaculaire sur le plan visuel.
De Niro génial de bout en bout, Harvey Keitel dément en proxénète, Cybill Sheperd et la toute jeune Jodie Foster dont c'est l'un des premiers films portent le long-métrage sur leurs épaules et font des compositions remarquables.
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Re: Taxi Driver
Pour qu'on puisse qualifier le film d'humaniste il aurait fallu que l'espoir, la solution, vienne de l'homme or on ne peut pas dire que ce soit le cas, Travis est traversé d'aspiration humanistes oui, mais je ne crois que le film lui le soit..Jordan White a écrit :De Niro cherche une lueur d'humanité dans un déluge de soucis et de problèmes quotidiens qui lui font petit à petit pété les plombs. Il aspire à être aimé par une femme aimante et compréhensible, dans laquelle il pourrait se reconnaître. Cette femme interprétée par Cybill Sheperd ne le comprends pas trop, et lorsqu'ils décident d'aller ensemble au cinéma, celui-ci commet une bourde en ayant le mauvais goût de l'emmener au cinéma porno. La frontière entre l'intime et l'exhibitionnisme éclate en éclats et c'est la rupture brutale entre deux êtres qui auraient pu être ensemble. De même qu'en cherchant à protéger la jeune lolita du proxénète, le personnage est traversée d'idées humanistes qui se retournent contre lui. D'où le final.Harry Dawes a écrit : Je suis entièrement d'accord avec toi si ce n'est que je ne vois pas le propos "humaniste" du film... Pourrais tu éclairer ma lanterne ?
Mais bon, ça se défend, merci en tous cas de ta réponse
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Non, c'est bien, ça te laisse au moins un chef d'oeuvre à découvrir.M@DELINE a écrit :Je viens juste pour dire que (allez-y faites: houuuuu!) j'ai toujours pas vu Taxi Driver , je vais prévoir de le regarder cette semaine...
Concernant la scène du "talkin' to me", j'avais revu le film il y a quelques années en plein air à la Villette, et je m'attendais à ce que la scène passe moins bien à cause des multiples parodies qui l'ont suivi. A mon grand étonnement, et malgré Vincent Cassel et José Garcia , le public a été scotché par cette scène glacante - on l'oublie trop souvent, mais De Niro ne se met pas en colère dans cette scène, rendant la folie encore plus palpable.
Swan, qui a une affiche de Taxi Driver au-dessus de son lit.
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moi personnellement je l'ai vu a 14 ans c'est a dire il y a un an ,j'etais vraiment fasciné par le personnage j'avoue que le film m'a laissé une impression tres forte et si elle s'embellit avec l'age je ne demande que ca!gally a écrit :Bonjour,
Je n'ai pas trop aimé le film lorsque je l'ai vu, c'est un film assez difficile, j'étais peut être trop jeune.
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