Preston Sturges (1898-1959)
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Preston Sturges (1898-1959)
EDIT DE LA MODERATION:
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Les voyages de Sullivan (1941)
Infidèlement Vôtre (1948) et sa Chronique Classik
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The Palm Beach Story de Preston Sturges avec Claudette Colbert et Joel Mc Crea
Une femme mariée Claudette Colbert) décide un beau matin de divorcer de son mari (Joel MacCrea) et s'en va à Palm Beach. Poursuivie par son mari qui ne veut pas divorcer elle s'embarque dans le train où elle rencontre un milliardaire (Rudy Vallée) qui tombe fou amoureux d'elle.
Sur cet argument simpliste, Preston Sturges règle une très bonne screwball comedy. Ce film est assez méconnu, dommage, car plusieurs scènes sont absolument hilarantes. Dès le début le ton est donné avec le "roi des saucisses" sourd comme un pot, la scène du club de chasse dans le train. La première partie joue sur le comique de situation, Claudette Colbert confirme qu'elle est une comédienne très douée pour le registre comique, tandis que Joel Mc Crea est un mari bonhomme et peut-être un rien fadasse, mais la comédie fonctionne magnifiquement depuis son générique assez spécial pour l'époque à la conclusion. Rudy Vallee est parfait dans le milliardaire naif bonnasse, à la soeur complètement déjantée tout comme Toto, son amoureux du moment.
Bref une bonne petite comédie qui ne décevra certainement pas les amateurs du genre !
Le DVD offre une copie de bonne qualité, par contre les STF sont d'origine canadienne (alors ils vont magasiner, et utilisent des expressions typiques dans leurs "jurons", mais bon je pinaille !)
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Sur cet argument simpliste, Preston Sturges règle une très bonne screwball comedy. Ce film est assez méconnu, dommage, car plusieurs scènes sont absolument hilarantes. Dès le début le ton est donné avec le "roi des saucisses" sourd comme un pot, la scène du club de chasse dans le train. La première partie joue sur le comique de situation, Claudette Colbert confirme qu'elle est une comédienne très douée pour le registre comique, tandis que Joel Mc Crea est un mari bonhomme et peut-être un rien fadasse, mais la comédie fonctionne magnifiquement depuis son générique assez spécial pour l'époque à la conclusion. Rudy Vallee est parfait dans le milliardaire naif bonnasse, à la soeur complètement déjantée tout comme Toto, son amoureux du moment.
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Lol... ca doit etre drole. on a si rarement de STF québecois.Cathy a écrit :The Palm Beach Story de Preston Sturges avec Claudette Colbert et Joel Mc Crea
Une femme mariée Claudette Colbert) décide un beau matin de divorcer de son mari (Joel MacCrea) et s'en va à Palm Beach. Poursuivie par son mari qui ne veut pas divorcer elle s'embarque dans le train où elle rencontre un milliardaire (Rudy Vallée) qui tombe fou amoureux d'elle.
Sur cet argument simpliste, Preston Sturges règle une très bonne screwball comedy. Ce film est assez méconnu, dommage, car plusieurs scènes sont absolument hilarantes. Dès le début le ton est donné avec le "roi des saucisses" sourd comme un pot, la scène du club de chasse dans le train. La première partie joue sur le comique de situation, Claudette Colbert confirme qu'elle est une comédienne très douée pour le registre comique, tandis que Joel Mc Crea est un mari bonhomme et peut-être un rien fadasse, mais la comédie fonctionne magnifiquement depuis son générique assez spécial pour l'époque à la conclusion. Rudy Vallee est parfait dans le milliardaire naif bonnasse, à la soeur complètement déjantée tout comme Toto, son amoureux du moment.
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En fait, je blaguais. Les termes ca marche, mais jurons, je n'aime pas du tout.Cathy a écrit :Attention au générique, il faut le regarder attentivement, il est important pour la fin !
Et les ST Québecois, c'est drôle, mais j'aimerais bien savoir l'équivalent français parfois !
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-oh! quel mercredi... de Preston Sturges.
C'est le premier film que je vois avec Harold LLoyd et pour résumer mon avis sur ce film je vais juste dire que je me suis fendu la gueule durant les 10-15 premières minutes.
En effet, le début du film est en fait un extrait de the Freshman ou Vive le sport film muet de 1925 réalisé par Fred Newmeyer et Sam Taylor où Harold Lloyd pendant un match de Football est à mourir de rire.
Le reste du film est un petit divertissement.
C'est le premier film que je vois avec Harold LLoyd et pour résumer mon avis sur ce film je vais juste dire que je me suis fendu la gueule durant les 10-15 premières minutes.
En effet, le début du film est en fait un extrait de the Freshman ou Vive le sport film muet de 1925 réalisé par Fred Newmeyer et Sam Taylor où Harold Lloyd pendant un match de Football est à mourir de rire.
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- AlexRow
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UN COEUR PRIS AU PIÈGE/THE LADY EVE (Preston Sturges). Une petite friandise bien agréable. Le film n'est pas très bien construit et les personnages sont assez stéréotypés mais quand il s'agit d'Henri Fonda et de Barbara Stanwyck, on est vite sous le charme.
Et puis, un Preston Sturges en VO en première partie de soirée, ça donne la pêche
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Pareil. Je m'attendais quand-même à mieux. Je ne me souviens pas avoir ri plus d'une fois (quand Fonda entre dans la cabine de Stanwyck et se prend une valise sur la tête). Cela dit l'histoire d'amour m'a plutôt ému, chose assez rare pour être notée.AlexRow a écrit :UN COEUR PRIS AU PIÈGE/THE LADY EVE (Preston Sturges). Une petite friandise bien agréable. Le film n'est pas très bien construit et les personnages sont assez stéréotypés mais quand il s'agit d'Henri Fonda et de Barbara Stanwyck, on est vite sous le charme.
Et puis, un Preston Sturges en VO en première partie de soirée, ça donne la pêche
- Cathy
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Un coeur pris au piège/The Lady Eve
Une bonne petite comédie américaine, deux films en un. Henry Fonda et Barbara Stanwyck sont parfaits tout comme Eugene Palette et Charles Coburn habituels seconds rôles. Naturellement, cela pourrait être plus déjanté comme "Unfaithfully yours" ou même "Palm Beach Story", mais bon c'est quand même bien agréable, en plus le voir à 20h45 et en VOST, que demander de plus !
Une bonne petite comédie américaine, deux films en un. Henry Fonda et Barbara Stanwyck sont parfaits tout comme Eugene Palette et Charles Coburn habituels seconds rôles. Naturellement, cela pourrait être plus déjanté comme "Unfaithfully yours" ou même "Palm Beach Story", mais bon c'est quand même bien agréable, en plus le voir à 20h45 et en VOST, que demander de plus !
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Absolument comblé quant à moi. L'attente fut longue mais le film est à la hauteur. Précisément parce qu'il accuse quelques maladresses : Sturges est souvent trop brillant à mon goût et ses films ont toujours un peu l'air d'en savoir plus qu'ils ne le disent. Ici, l'émotion et la surprise l'emportent, sans pour autant sacrifier l'ambiguïté et l'intelligence du style.Spongebob a écrit :Pareil. Je m'attendais quand-même à mieux. Je ne me souviens pas avoir ri plus d'une fois (quand Fonda entre dans la cabine de Stanwyck et se prend une valise sur la tête). Cela dit l'histoire d'amour m'a plutôt ému, chose assez rare pour être notée.AlexRow a écrit :UN COEUR PRIS AU PIÈGE/THE LADY EVE (Preston Sturges). Une petite friandise bien agréable. Le film n'est pas très bien construit et les personnages sont assez stéréotypés mais quand il s'agit d'Henri Fonda et de Barbara Stanwyck, on est vite sous le charme.
Et puis, un Preston Sturges en VO en première partie de soirée, ça donne la pêche
Arte aura établi un beau dialogue entre ce Sturges et le Borzage de dimanche. Femmes manipulatrices prises, sans raison apparente, au piège de l'attendrissement. Cela peut sans doute dérouter (pourquoi succomber à un Gary Cooper ou un Henry Fonda aussi patauds ?) mais, dans l'irréductible arbitraire de ces coups de foudre, c'est tout ce que je considère comme le génie de la comédie américaine qui s'exprime.
I would prefer not to
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+1 ! Très loin d'être un chef-d'oeuvre, mais j'ai quand même passé un bon moment...Spongebob a écrit :Pareil. Je m'attendais quand-même à mieux. Je ne me souviens pas avoir ri plus d'une fois (quand Fonda entre dans la cabine de Stanwyck et se prend une valise sur la tête). Cela dit l'histoire d'amour m'a plutôt ému, chose assez rare pour être notée.AlexRow a écrit :UN COEUR PRIS AU PIÈGE/THE LADY EVE (Preston Sturges). Une petite friandise bien agréable. Le film n'est pas très bien construit et les personnages sont assez stéréotypés mais quand il s'agit d'Henri Fonda et de Barbara Stanwyck, on est vite sous le charme.
Et puis, un Preston Sturges en VO en première partie de soirée, ça donne la pêche
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THE LADY EVE de Preston Sturges (Arte)
Après avoir passé toute ma soirée (jusqu'à tard!) à faire les recherches nécessaires pour les questions du concours Carlotta-Dvdclassik (merci pour les questions super dures au passage ) j'ai pris le temps de terminer le film de Sturges.
J'avais été énormément déçu par les 2 seuls films de lui que j'avais vu, les 2 dvd sortis chez Carlotta, donc c'est moyennement confiant que je me suis attelé à la tâche. Je ne sais pas si c'est mon côté fleur bleue qui me joue des tours mais j'ai quand même bien marché sur une bonne partie du film. Comme pour DESIRE de Borzage diffusé dimanche on a ici le même genre d'intrigue, à savoir une femme hors la loi qui tombe amoureuse de sa victime (comme on l'a déjà précisé sur ce forum). C'est d'ailleurs un détail en rapport avec ça qui me choque le plus. On a beau sourire de temps en temps, Fonda est un gentil innocent, mais Stanwick change de sentiments envers lui un peu trop facilement à mon goût, et par 2 fois en plus... Je trouve que ces 2 revirements sont trop artificiels, on ne les sent pas venir.
Restent quelques jolies répliques, quelques délires parfois (quand on découvre le père de Fonda par exemple, ou quand Fonda reçoit tout le temps quelquechose sur lui...).
C'est pour l'instant le Sturges qui m'a le plus plu.
Après avoir passé toute ma soirée (jusqu'à tard!) à faire les recherches nécessaires pour les questions du concours Carlotta-Dvdclassik (merci pour les questions super dures au passage ) j'ai pris le temps de terminer le film de Sturges.
J'avais été énormément déçu par les 2 seuls films de lui que j'avais vu, les 2 dvd sortis chez Carlotta, donc c'est moyennement confiant que je me suis attelé à la tâche. Je ne sais pas si c'est mon côté fleur bleue qui me joue des tours mais j'ai quand même bien marché sur une bonne partie du film. Comme pour DESIRE de Borzage diffusé dimanche on a ici le même genre d'intrigue, à savoir une femme hors la loi qui tombe amoureuse de sa victime (comme on l'a déjà précisé sur ce forum). C'est d'ailleurs un détail en rapport avec ça qui me choque le plus. On a beau sourire de temps en temps, Fonda est un gentil innocent, mais Stanwick change de sentiments envers lui un peu trop facilement à mon goût, et par 2 fois en plus... Je trouve que ces 2 revirements sont trop artificiels, on ne les sent pas venir.
Restent quelques jolies répliques, quelques délires parfois (quand on découvre le père de Fonda par exemple, ou quand Fonda reçoit tout le temps quelquechose sur lui...).
C'est pour l'instant le Sturges qui m'a le plus plu.
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à part Infidelement votre, je ne vois pas quel est le deuxieme ?Nestor Almendros a écrit :THE LADY EVE de Preston Sturges (Arte)
Après avoir passé toute ma soirée (jusqu'à tard!) à faire les recherches nécessaires pour les questions du concours Carlotta-Dvdclassik (merci pour les questions super dures au passage ) j'ai pris le temps de terminer le film de Sturges.
J'avais été énormément déçu par les 2 seuls films de lui que j'avais vu, les 2 dvd sortis chez Carlotta
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Tu as raison j'ai plutôt confondu avec les 2 films sur 3 (que j'ai vu) parus chez Carlotta...Fatalitas a écrit :à part Infidelement votre, je ne vois pas quel est le deuxieme ?Nestor Almendros a écrit :THE LADY EVE de Preston Sturges (Arte)
Après avoir passé toute ma soirée (jusqu'à tard!) à faire les recherches nécessaires pour les questions du concours Carlotta-Dvdclassik (merci pour les questions super dures au passage ) j'ai pris le temps de terminer le film de Sturges.
J'avais été énormément déçu par les 2 seuls films de lui que j'avais vu, les 2 dvd sortis chez Carlotta
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