Dvdclassik : cinéma et DVD

Ratatouille a écrit :Le suivant est l'un des meilleurs blockbusters des 10 dernières années.
Tu vas détester.

Les meilleurs sfx de ses dernières années en tout cas. Bon souvenir également même s'il ne m'en reste pas grand chose

La Bataille de la planète des inges (Battle for the Planet of the Apes) : Jack Lee Thompson 1973

Effectivement ce n'est pas bien fameux non plus, c'est extrêmement simpliste, la mise en scène ne casse pas des briques et le scénario est un véritable gruyère. Mais le film est un peu moins étouffant que le précédent, les décors extérieurs ne sont pas désagréables, certains images post-apocalyptiques possèdent un certain charme et Roddy McDowall est toujours aussi touchant. Mais bon, je vais vite passer à autre chose et ne plus revenir sur cette saga.

4ème partie du gros dossier concoté par Elias Fares : La Conquête de la planète des singes avec le test du coffret Blu-ray mis à jour.

Jeremy Fox a écrit :4ème partie du gros dossier concoté par Elias Fares : La Conquête de la planète des singes avec le test du coffret Blu-ray mis à jour.

Merci pour ce dossier étoffé et coloré !
J'en reviens pas qu'ils aient pu réaliser ce film pour "seulement" 1,7 millions $ !!! (Equivalent à 9 millions $ en 2017).

Je n'ose pas imaginer les salaires de
Roddy McDowall, Don Murray et Ricardo Montalban.

Jeremy Fox a écrit :Toujours Elias Fares accompagné de Ronny Chester à technique pour le 3ème épisode de la saga.

Escape from the Planet of the Apes est incontestablement un grand film d'anticipation...

Bien d'accord. Le 1 et le 3... et basta.

SONDAGE MIS A JOUR POUR INCLURE LES DERNIERS FILMS DE LA SAGA

Compteurs réinitialisés du coup. Vous pouvez donc revoter (pour le premier opus )


J'en profite pour dire que j'ai découvert La planète des singes, les origines, l'autre jour à la télé, et que j'ai tenu une demi-heure. Un supplice (notamment les effets spéciaux CGI)...

Jeremy Fox a écrit :Suite de la saga avec aujourd'hui la série.

Merci pour ce dossier.
On sait ce qu'a rapporté la ressortie des 5 films ?

La Planète des singes : Tim Burton 2001

Beaucoup moins déshonorant que sa calamiteuse réputation à laquelle j'avais modestement participé en son temps (Mea Culpa). Aidé par un score efficace -et un morceau absolument génial, celui du générique de début-, un Tim Roth effrayant, pas mal d'humour, un scénario pas moins 'crédible' que les précédents et un visuel assez recherché, un blockbuster généreux en action, aux maquillages stupéfiants et aux excellents effets spéciaux. C'est bougrement plaisant à suivre mais, en plus d'un ventre mou au 2/3 de sa durée, le film de Burton a oublié quand même quelque chose d'essentiel : il lui manque singulièrement d'âme !

Jeremy Fox a écrit :le film de Burton a oublié quand même quelque chose d'essentiel : il lui manque singulièrement d'âme !

Tu m'étonnes.

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Mais je suis bien d'accord qu'en soi c'est un film d'action plus qu'honorable et visuellement bien classieux. Et ce n'est pas rien de considérer que ses effets spéciaux ont passé l'épreuve du temps.

Max Schreck a écrit :

Jeremy Fox a écrit :le film de Burton a oublié quand même quelque chose d'essentiel : il lui manque singulièrement d'âme !

Tu m'étonnes.

Spoiler (cliquez pour afficher)

Mais je suis bien d'accord qu'en soi c'est un film d'action plus qu'honorable et visuellement bien classieux. Et ce n'est pas rien de considérer que ses effets spéciaux ont passé l'épreuve du temps.

vu ce qu'on a subi depuis 15 ans, je veux bien croire qu'il apparaisse presque honnête (même si Estella Warren, c'est non!)

Le problème principal de ce film, c'est qu'on a le sentiment que Burton a le cul entre 2 chaises et que ça se ressent à chaque instant. Le traitement des singes est excellent, tandis que celui des humains est catastrophique (le duo Walhberg/Warren, c'est pas possible).
C'est d'ailleurs intéressant de constater qu'à la fin, Walhberg embrasse volontairement la femelle singe (ce qui la choque), alors que Estella Warren attrape Walhberg pour l'embrasser goulûment aussi (ce qui LE choque !).
Pour moi, c'est à ce moment précis que la personnalité de Burton est enfin clairement visible à travers le personnage de Davidson, bien plus attiré par le singe que par l'humain.

J'ai pas mal de souvenirs du film de Burton et pas que des mauvais loin de là, mais j'avais complètement zappé le personnage d'Estelle Warren jusqu'à ce que relise son nom dans le post de Ratatouille.
Et l'Oscar de l'actrice la plus transparente dans personnage qui ne sert à rien revient à .... (Non pas "Lalaland" Faye!)

La sage de Elias Farès se poursuit avec la Série animée.