Les films de la Hammer
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Re: Les films de la Hammer
Pour ma part, je dois avouer avoir eu beaucoup plus de plaisir devant ce Baiser du vampire (que je juge excellent) que devant Les trois visages de la peur qui est un Bava devant lequel je baille à m'en décrocher la mâchoire. C'est ennuyant, long, et franchement très mauvais la plupart du temps... Je sais que je serais certainement seul sur ce coup-là.
A l'inverse, le Hammer a été pour moi une très jolie surprise.
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- gnome
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Re: Les films de la Hammer
- Les horreurs de Frankenstein (Jimmy Sangster) 6/10
David Prowse dans le rôle du monstre (plus ridicule qu'effrayant), un Ralph Bates au jeu volontairement détaché... De bons comédiens, de jolies comédiennes n'arrivent pas à vraiment faire décoller cette adaptation de Shelley. Un Hammer mineur.
- magobei
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Re: Les films de la Hammer
J'ai cru que je l'avais vu, mais non. Faut dire, avec leurs titres qui se ressemblent tous... Je vais éviter donc. Dommage, parce que je trouve le "cycle" Frankenstein beaucoup plus consistant que celui de Dracula à la Hammer. Ce qui s'explique peut-être aussi par qui se trouve derrière la caméra, vu que Fisher en a réalisé 5.gnome a écrit :
- Les horreurs de Frankenstein (Jimmy Sangster) 6/10
David Prowse dans le rôle du monstre (plus ridicule qu'effrayant), un Ralph Bates au jeu volontairement détaché... De bons comédiens, de jolies comédiennes n'arrivent pas à vraiment faire décoller cette adaptation de Shelley. Un Hammer mineur.
"In a sense, making movies is itself a quest. A quest for an alternative world, a world that is more satisfactory than the one we live in. That's what first appealed to me about making films. It seemed to me a wonderful idea that you could remake the world, hopefully a bit better, braver, and more beautiful than it was presented to us." John Boorman
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Re: Les films de la Hammer
Tous avec Cushing, ceci explique sans doute cela. Le seul dans lequel Cushing a joué sans Fisher, c'est "Evil Of Frankenstein" de Freddie Francis.magobei a écrit :Faut dire que Fisher en a réalisé 5.
on faisait queue devant la porte des WC comme au ciné lors du passage de l'Atlantide à l'écran. Jean Ray, Hôtel de Famille, 1922
- magobei
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Re: Les films de la Hammer
C'est clair, Cushing EST Frankenstein. Quant à Evil of Frankenstein, j'en garde un souvenir assez plaisant, même s'il est un peu en deçà de ceux de Fisher.Bugsy Siegel a écrit :Tous avec Cushing, ceci explique sans doute cela. Le seul dans lequel Cushing a joué sans Fisher, c'est "Evil Of Frankenstein" de Freddie Francis.magobei a écrit :Faut dire que Fisher en a réalisé 5.
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Re: Les films de la Hammer
Il tourne régulièrement sur la grille de TCM et il faut bien dire que c'est le maillon faible du cycle.Bugsy Siegel a écrit : Le seul dans lequel Cushing a joué sans Fisher, c'est "Evil Of Frankenstein" de Freddie Francis.
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Re: Les films de la Hammer
Hurler de peur / taste of fear (Seth Holt - 1961)
Une jeune femme paralysée retourne dans la maison de son père récemment décédé. Accueillie par sa belle-mère qu'elle ne connaissait pas encore, elle ne tarde pas à avoir apparaître le cadavre de son père dans différentes pièces de la demeure.
Un production Hammer qui s'écarte du fantastique pour se diriger vers le thriller façon Psychose/les diaboliques.
Le scénariste Jimmy Sangster est l'un des spécialistes du genre pour avoir signé des titres comme Paranoiac et surtout le génial Nightmare de Freddie Francis. On retrouve ce même genre d'histoires à rebondissements avec manipulations psychologiques bien tordues et secrets de familles.
Le rythme est plutôt pépère durant la première heure avec tout de même une jolie photo en noir et blanc signée Douglas Slocombe, une réalisation par moment solide (la chute dans la piscine, les apparitions du cadavre) mais voilà, la sauce ne prend pas forcément manquant un peu de gout.
En revanche le dernier tiers/quart devient vraiment délirant quand le film passe enfin la deuxième vitesse et enchaîne les twists improbables, les (fausses/vraies)morts, les fausses pistes ou les situations assez ironiques. 20-30 minutes réjouissantes au possible dont le rythme enlevé permet une mise en scène plus dynamique qui ne laisse pas au spectateur le temps de se poser des questions pour mieux profiter du spectacle assez jouissif qui se pare d'un léger soupçon d'auto-parodie bienvenue.
Plutôt fun donc
Une jeune femme paralysée retourne dans la maison de son père récemment décédé. Accueillie par sa belle-mère qu'elle ne connaissait pas encore, elle ne tarde pas à avoir apparaître le cadavre de son père dans différentes pièces de la demeure.
Un production Hammer qui s'écarte du fantastique pour se diriger vers le thriller façon Psychose/les diaboliques.
Le scénariste Jimmy Sangster est l'un des spécialistes du genre pour avoir signé des titres comme Paranoiac et surtout le génial Nightmare de Freddie Francis. On retrouve ce même genre d'histoires à rebondissements avec manipulations psychologiques bien tordues et secrets de familles.
Le rythme est plutôt pépère durant la première heure avec tout de même une jolie photo en noir et blanc signée Douglas Slocombe, une réalisation par moment solide (la chute dans la piscine, les apparitions du cadavre) mais voilà, la sauce ne prend pas forcément manquant un peu de gout.
En revanche le dernier tiers/quart devient vraiment délirant quand le film passe enfin la deuxième vitesse et enchaîne les twists improbables, les (fausses/vraies)morts, les fausses pistes ou les situations assez ironiques. 20-30 minutes réjouissantes au possible dont le rythme enlevé permet une mise en scène plus dynamique qui ne laisse pas au spectateur le temps de se poser des questions pour mieux profiter du spectacle assez jouissif qui se pare d'un léger soupçon d'auto-parodie bienvenue.
Plutôt fun donc
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Re: Les films de la Hammer
Très belle analyse d'un film que j'aime beaucoup. C'est en effet une variation très originale, qui , par moments, se rapproche davantage d'une version fantastique de l'histoire de Jack l''Eventreur (le personnage assassine et mutile des prostituées à Whitechapel) que du thème de Frankenstein (même si on y retrouve des interrogations sur la vie , sa recréation, sa prolongation). Et (période de tournage aidant ?), le film abandonne la lutte entre le bien et le mal pour une réflexion sur l'identité sexuelle (un point très bien développé dans l'analyse).
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Re: Les films de la Hammer
C'est une variation sur Jeckyll et Hyde, pas sur Frankenstein...riqueuniee a écrit :par moments, se rapproche davantage d'une version fantastique de l'histoire de Jack l''Eventreur (le personnage assassine et mutile des prostituées à Whitechapel) que du thème de Frankenstein (même si on y retrouve des interrogations sur la vie , sa recréation, sa prolongation)
Donc, normal de se rapprocher plus de Jack L'éventreur que de Frankenstein...
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Re: Les films de la Hammer
Evidemement. Mais l'analyse figurant dans le lien fait une allusion à Frankenstein (sans dire évidemment que le film est une variation sur ce mythe), rapprochement que je ne trouve pas vraiment évident.
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Re: Les films de la Hammer
J'ai passé un très bon moment, faut dire que je suis assez client des "psycho thrillers" de la Hammer (comme ceux réalisés par Francis par exemple) qui annoncent largement le giallo machination de la fin des sixties.bruce randylan a écrit :Hurler de peur / taste of fear (Seth Holt - 1961)
Un production Hammer qui s'écarte du fantastique pour se diriger vers le thriller façon Psychose/les diaboliques.
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Re: Les films de la Hammer
A Taste of Fear (1961)
Paralysée des jambes à la suite d’un accident d’équitation, Penny (Susan Strasberg) débarque à l’aéroport de Nice afin de renouer avec son père au bout de dix ans d’éloignement. Celui-ci s’étant absenté, elle est accueillie par sa nouvelle épouse (Ann Todd) dans leur demeure juchée au sommet d’une falaise. En dépit des attentions de sa belle-mère, des conseils du docteur Gerrard (Christopher Lee) et de la prévenance du chauffeur de la maison (Ronald Lewis), la jeune fille acquiert la conviction que l’on s’emploie en réalité à lui dissimuler un terrible évènement.
Fear in The Night (1972)
A peine remise d’une dépression nerveuse, Peggy (Judy Geeson) épouse un enseignant Robert (Ralph Bates). Peu avant qu’ils ne s’installent dans son logement de fonction, elle est attaquée par un individu muni d’un bras artificiel, qui disparaît sans laisser de traces. Une fois sur place, elle découvre un établissement sans élèves et un principal (Peter Cushing) au comportement étrange. Peu après, elle fait l’objet d’une seconde agression, mais son passé psychiatrique favorise l’incrédulité de son mari.
Deux illustrations de ces thrillers horrifiques qui constituèrent la seconde carrière du scénariste Jimmy Sangster à la Hammer, à partir des années soixante. S’ils furent produits dans le sillage du succès de Psychose, le cinéphile un tant soit peu averti ne manquera pas d’y déceler en vérité l’influence des Diaboliques d’Henri-Georges Clouzot.
Grand rénovateur du cinéma fantastique à la fin des années cinquante, Sangster n’a pas eu la main aussi heureuse dans ce nouvel exercice. De film en film, il remâche pour l’essentiel la même trame et les mêmes ressorts, élaborant des intrigues à la virtuosité séduisante mais terriblement vaines. Qui plus est, ces mécaniques de précisions s’accommodent trop facilement des coïncidences ; dénuées d’âme, elles réduisent les personnages à de simples rouages sans vérité humaine.
Film inaugural de cette série, A Taste of Fear en pose les principes, mais cette fois-ci le réalisateur Seth Holt fait la différence – comme il la fera quelques années plus tard avec The Nanny. Un usage parcimonieux des effets, réduits à leur stricte utilité narrative, lui permet de dérouler une mise en image fluide, attentive aux personnages.
Car ici, l’efficacité du récit repose sur l’authenticité des protagonistes, la crédibilité de leurs réactions, la justesse de leurs échanges. Ainsi, les acteurs, remarquablement dirigés, évitent toutes les chausse-trappes auxquels le genre aurait pu les inviter.
Elégamment photographié par Douglas Slocombe, le film bénéficie en outre du beau décor de Bernard Robinson, privilégiant le détail significatif à la surcharge ornementale.
Par comparaison, Fear in the Night, succombe à tous les travers dont Seth Holt avait su avec intelligence se garder.
Projet plusieurs fois différé, il devait conclure la carrière de réalisateur de Jimmy Sangster (trois film). A la maladresse des débuts succède un savoir-faire étriqué – il est loin le cynisme roboratif de The Horror of Frankenstein.
L’enchaînement programmé des circonstances ne laisse guère leurs chances aux personnages, pas plus qu’aux acteurs. Judy Geeson en victime expiatoire de la première à la dernière image met la patience du spectateur à rude épreuve ; quant à Peter Cushing et Joan Collins qui interprètent un couple, ils n’apparaissent pas une seule fois à l’écran ensemble.
Maladroit à force de se croire trop habile – l’insertion parfaitement inutile des séances de psychanalyse – Fear in The Night ne fait illusion que le temps d’un générique particulièrement réussi.
Paralysée des jambes à la suite d’un accident d’équitation, Penny (Susan Strasberg) débarque à l’aéroport de Nice afin de renouer avec son père au bout de dix ans d’éloignement. Celui-ci s’étant absenté, elle est accueillie par sa nouvelle épouse (Ann Todd) dans leur demeure juchée au sommet d’une falaise. En dépit des attentions de sa belle-mère, des conseils du docteur Gerrard (Christopher Lee) et de la prévenance du chauffeur de la maison (Ronald Lewis), la jeune fille acquiert la conviction que l’on s’emploie en réalité à lui dissimuler un terrible évènement.
Fear in The Night (1972)
A peine remise d’une dépression nerveuse, Peggy (Judy Geeson) épouse un enseignant Robert (Ralph Bates). Peu avant qu’ils ne s’installent dans son logement de fonction, elle est attaquée par un individu muni d’un bras artificiel, qui disparaît sans laisser de traces. Une fois sur place, elle découvre un établissement sans élèves et un principal (Peter Cushing) au comportement étrange. Peu après, elle fait l’objet d’une seconde agression, mais son passé psychiatrique favorise l’incrédulité de son mari.
Deux illustrations de ces thrillers horrifiques qui constituèrent la seconde carrière du scénariste Jimmy Sangster à la Hammer, à partir des années soixante. S’ils furent produits dans le sillage du succès de Psychose, le cinéphile un tant soit peu averti ne manquera pas d’y déceler en vérité l’influence des Diaboliques d’Henri-Georges Clouzot.
Grand rénovateur du cinéma fantastique à la fin des années cinquante, Sangster n’a pas eu la main aussi heureuse dans ce nouvel exercice. De film en film, il remâche pour l’essentiel la même trame et les mêmes ressorts, élaborant des intrigues à la virtuosité séduisante mais terriblement vaines. Qui plus est, ces mécaniques de précisions s’accommodent trop facilement des coïncidences ; dénuées d’âme, elles réduisent les personnages à de simples rouages sans vérité humaine.
Film inaugural de cette série, A Taste of Fear en pose les principes, mais cette fois-ci le réalisateur Seth Holt fait la différence – comme il la fera quelques années plus tard avec The Nanny. Un usage parcimonieux des effets, réduits à leur stricte utilité narrative, lui permet de dérouler une mise en image fluide, attentive aux personnages.
Car ici, l’efficacité du récit repose sur l’authenticité des protagonistes, la crédibilité de leurs réactions, la justesse de leurs échanges. Ainsi, les acteurs, remarquablement dirigés, évitent toutes les chausse-trappes auxquels le genre aurait pu les inviter.
Elégamment photographié par Douglas Slocombe, le film bénéficie en outre du beau décor de Bernard Robinson, privilégiant le détail significatif à la surcharge ornementale.
Par comparaison, Fear in the Night, succombe à tous les travers dont Seth Holt avait su avec intelligence se garder.
Projet plusieurs fois différé, il devait conclure la carrière de réalisateur de Jimmy Sangster (trois film). A la maladresse des débuts succède un savoir-faire étriqué – il est loin le cynisme roboratif de The Horror of Frankenstein.
L’enchaînement programmé des circonstances ne laisse guère leurs chances aux personnages, pas plus qu’aux acteurs. Judy Geeson en victime expiatoire de la première à la dernière image met la patience du spectateur à rude épreuve ; quant à Peter Cushing et Joan Collins qui interprètent un couple, ils n’apparaissent pas une seule fois à l’écran ensemble.
Maladroit à force de se croire trop habile – l’insertion parfaitement inutile des séances de psychanalyse – Fear in The Night ne fait illusion que le temps d’un générique particulièrement réussi.
Dernière modification par Lord Henry le 30 nov. 12, 23:43, modifié 1 fois.
- hellrick
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Re: Les films de la Hammer
Chouette texte! Je suis assez client de ces "psycho thrillers" de la Hammer écrits par Sangster, en particulier ceux réalisés par mon chouchou Freddie Francis. J'aime beaucoup NIGHTMARE et PARANOIAC par exemple. Néanmoins, le A TASTE OF FEAR que tu cites est surement le meilleur, sans doute parce qu'il s'agit du premier.
J'ai vu hier un film du même style, aussi signé Francis, POUPEES DE CENDRES, cette fois produit par la Amicus et écrit par Bloch, un chouette thriller avec meurtres en série emballé en 78 minutes et qui annonce, comme les films de la Hammer, les futurs giallo
J'ai vu hier un film du même style, aussi signé Francis, POUPEES DE CENDRES, cette fois produit par la Amicus et écrit par Bloch, un chouette thriller avec meurtres en série emballé en 78 minutes et qui annonce, comme les films de la Hammer, les futurs giallo
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- Oustachi partout
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Re: Les films de la Hammer
Du même scénariste, il y a aussi Paranoïac qui a un bon petit scénario mais c'est un peu mou au niveau de la réalisation j'ai trouvé ; même si c'est quand même préférable à ce Fear in The Night, pas terrible en effet, mais l'actrice était assez crédible dans le rôle. Freddie Francis, il avait fait la photo aussi de Never Take Sweets from a Stranger, un autre psycho thriller de la hammer. Scénario assez lourdingue et réalisation pataude, mais je me souviens d'une photo noir et blanc vraiment très belle, surtout dans les extérieurs. Pas vu ce Poupées de Cendres mais j'aimerais bien. Toujours pas édité en france je crois.
"Toutes les raisons évoquées qui t'ont paru peu convaincantes sont, pour ma part, les parties d'une remarquable richesse." Watki.