tchi-tcha a écrit : ↑26 mars 23, 17:52
Si ce n'est pas celle-ci, la plus belle chanson du monde se planque forcément quelque part dans la discographie de l'immense Richard Thompson :
Oui ça ressemble à un continent que je méconnais en ressentant aussi que des pépites patentées doivent y pousser généreusement.
J'aimerais bien me dégotter une compilation réalisée avec amour, bien foutue (pas forcément un coffret).
En attendant, j'aime bien ça aussi (et c'est récent!) :
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
murphy a écrit : ↑29 mars 23, 20:40Youn Sun Nah - My Favorite Things (2019)
Dans quelques jours, je la vois en concert pour la 5eme fois
J'emmène ma petite fille de 9 ans qui souhaite la voir. On sera à 2 mètres de la scène. Ca va être une nouvelle fois exceptionnelle et intimiste comme à chaque fois.
L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense, donc tu suis. » Pierre Desproges Ma Collection - Mon Planning Achats
tchi-tcha a écrit : ↑26 mars 23, 17:52
Si ce n'est pas celle-ci, la plus belle chanson du monde se planque forcément quelque part dans la discographie de l'immense Richard Thompson :
Oui ça ressemble à un continent que je méconnais en ressentant aussi que des pépites patentées doivent y pousser généreusement.
J'aimerais bien me dégotter une compilation réalisée avec amour, bien foutue (pas forcément un coffret).
En attendant, j'aime bien ça aussi (et c'est récent!) :
Oh des fans de Richard Thompson. on est au moins 3 alors.
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Allez, jolie redécouverte et belle chanson du monde..
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Et qu'on ne me parle pas de la version de Harry Nilson ou de celle de Maraiah Carey, la seule version c'est celle-ci, de Badfinger
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »