Pour Prosper le Roi du Pain d'Epice, je compatis sincèrement
J'ai eu le Still Loving You de Scorpions en tête pendant trois jours à cause d'un message subliminal en français caché dedans, ces chansons dont on n'arrive pas à se défaire sont une plaie.
Un truc joyeux pour s'en remettre, avec un très jolie version live de Here Comes the Future par Frankie Sparo, accompagné de membres de A Silver Mt Zion pour l'occasion, youpi :
(le nombre de spam que je reçois depuis deux jours de cette prétendue "amicale" pour me faire payer leur cotisation à la c*n alors que j'ai rien signé, c'est hallucinant, y'en a qui ne doutent de rien)
tchi-tcha a écrit : ↑16 nov. 22, 21:25
Messieurs les Modérateurs,
Topic absolument pas clôturable. Merci.
Lambchop Soaky in the Pooper
(le nombre de spam que je reçois depuis deux jours de cette prétendue "amicale" pour me faire payer leur cotisation à la c*n alors que j'ai rien signé, c'est hallucinant, y'en a qui ne doutent de rien)
C'est le premier album celui-là je crois ?
Oui, il est bien mais un peu touffu : je préfère How I quit smoking.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
tchi-tcha a écrit : ↑16 nov. 22, 21:25
Messieurs les Modérateurs,
Topic absolument pas clôturable. Merci.
Lambchop Soaky in the Pooper
(le nombre de spam que je reçois depuis deux jours de cette prétendue "amicale" pour me faire payer leur cotisation à la c*n alors que j'ai rien signé, c'est hallucinant, y'en a qui ne doutent de rien)
C'est le premier album celui-là je crois ?
Oui, il est bien mais un peu touffu : je préfère How I quit smoking.
d'où est extrait la plus belle chanson du monde...
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
Je crois que c'est l'album de Lambchop que je préfère, tout simplement. Dans l'absolu, je trouve bien ce qu'il fait, Kurt Wagner, mais en même temps je m'emmerde un peu
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain