Le cinéma japonais
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dans le sens, photo, cadrage, mise en scene
côté violence ca charcle bien, mais y a pas les exces graphiques de baby cart, à part la mare de sang dans le bain
à part ca the NEWS (source hkmania) pour les fans de Shinoda (y en a au moins 2 sur le forum)
Shonen jidai / Takeshi: Childhood Days (1990)
Chinmoku / Silence (1971)
Shokei no shima / Captive's Island (1966)
et dans 1 mois :
Hanre Goze Orin / Ballad of Orin (1977)
Sakura no mori no mankai no shita / Under the Blossoming Cherry Trees (1975)
Kaseki no mori / The Petrified Forest (1973)
Buraikan (1970) ------> scenarisé par Terayama
Sous titré anglais bien entendu
côté violence ca charcle bien, mais y a pas les exces graphiques de baby cart, à part la mare de sang dans le bain
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Chinmoku / Silence (1971)
Shokei no shima / Captive's Island (1966)
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Hanre Goze Orin / Ballad of Orin (1977)
Sakura no mori no mankai no shita / Under the Blossoming Cherry Trees (1975)
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J'imagine que j'étais compté dans les fans de Shinoda.
J'ai évidemment hâte de découvrir ces films.
Mater le premier épisode du Passage du Grand Bouddha version Uchida. C'est franchement mortel, l'acteur principal est très très bon, parfait pour le rôle, les scènes d'action très dynamiques. Plus de détails quand j'aurais vu les autres.

J'ai évidemment hâte de découvrir ces films.
Mater le premier épisode du Passage du Grand Bouddha version Uchida. C'est franchement mortel, l'acteur principal est très très bon, parfait pour le rôle, les scènes d'action très dynamiques. Plus de détails quand j'aurais vu les autres.

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Entre le ciel et l'enfer.
Encore un immense film de Kurosawa.
On assiste à une première partie très prenante, un huit clos étouffant.
Toshiro Mifune est partagé entre un cruel dilemne, sauver le fils de son chauffeur enlevé en payant une très forte rançon, où investir cet argent afin de devenir l'actionnaire majoritaire de son entreprise.
Ensuite viens la très longue partie de l'enquète policière que l'on suit dans ses moindres détails. Des scènes toutes formidables, où les 2h20 du film passe sans aucun ennui.
Akira Kurosawa est là à son sommet. Avec Barberousse réalisé 2 ans après, voila certainement mes 2 films préférés de ce réalisateur.
Encore un immense film de Kurosawa.
On assiste à une première partie très prenante, un huit clos étouffant.
Toshiro Mifune est partagé entre un cruel dilemne, sauver le fils de son chauffeur enlevé en payant une très forte rançon, où investir cet argent afin de devenir l'actionnaire majoritaire de son entreprise.
Ensuite viens la très longue partie de l'enquète policière que l'on suit dans ses moindres détails. Des scènes toutes formidables, où les 2h20 du film passe sans aucun ennui.
Akira Kurosawa est là à son sommet. Avec Barberousse réalisé 2 ans après, voila certainement mes 2 films préférés de ce réalisateur.
- Jack Griffin
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Puisqu'on est dans les Zatoichi : Zatoichi 6, mort au vif de Kazuo Ikehiro.
J'avais fait part il y a quelque temps de mon apréhension à aborder un Zatoichi non dirigé par Misumi, et ben, cet appréhension n'avait pas raison d'être.
Cet épisode est excellent. Faut dire que l'ouverture place la barre trés haut avec un générique sublime. Le reste est à l'avenant : des combats trés dynamique, des personnages jamais sacrifiés sur l'action ( le parrain de Zatoichi est tout simplement boulversant ), la mise en scène fluide et précise ( de longs plans séquences pour les scènes de dialogue ), l'humour toujours placé avec intelligence, final westernien, etc...
De plus il m'a semblé que la BO était l'une des mieux de la série.
Il y a certes quelque points négatifs ( le rôle de l'enfant qui sert pas à grand chose, méchant mauquant d'épaisseur ) mais ca n'entache pas le plaisir.
Bon, cette semaine, je devrais me faire encore le shogun de l'ombre
J'avais fait part il y a quelque temps de mon apréhension à aborder un Zatoichi non dirigé par Misumi, et ben, cet appréhension n'avait pas raison d'être.
Cet épisode est excellent. Faut dire que l'ouverture place la barre trés haut avec un générique sublime. Le reste est à l'avenant : des combats trés dynamique, des personnages jamais sacrifiés sur l'action ( le parrain de Zatoichi est tout simplement boulversant ), la mise en scène fluide et précise ( de longs plans séquences pour les scènes de dialogue ), l'humour toujours placé avec intelligence, final westernien, etc...
De plus il m'a semblé que la BO était l'une des mieux de la série.
Il y a certes quelque points négatifs ( le rôle de l'enfant qui sert pas à grand chose, méchant mauquant d'épaisseur ) mais ca n'entache pas le plaisir.
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Tu devrais te régaler. Nakadaï fantomatique et halluciné en impose un max à chacune de ses apparitions (comme d'hab'), Katsu est en pleine forme, très bons seconds rôles et encore une très belle réalisation de Misumi (la scène de la cérémonie, superbe).bruce randylan a écrit : Bon, cette semaine, je devrais me faire encore le shogun de l'ombre
The gospel was told, some souls it swallowed whole
Mentally they fold, and they eventually sold
Their life and times, deadly like the virus design
But too, minute to dilute, the scientist mind.
Wu.
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Dogura Magura (Toshio Matsumoto, 1988) : 4ème et dernier film du réalisateur. Tout aussi étonnant et original que Shura et Les Funérailles des Roses, même si je me suis moins senti impliqué émotionnellment. Matsumoto aborde cette fois de front la psychanalyse et le fantastique. Comme dans ces premiers films, la force d'évocation repose avant tout sur les compositions intenses des acteurs et sur une mise en scène complexe et très maitrisée. Le montage, les mouvements de caméra mais surtout le recours constant à la mise en abyme produit un effet kaléidoscopique parfois déconcertant mais toujours au service d'une histoire très forte.

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J'ai l'occasion de le voir sur grand écran demain. Dois-je y aller ou pas?Philip Marlowe a écrit :Tatouage
Pas un très grand film, mais quand même un film plus qu'intéressant. Comme l'a souligné Max, l'atmosphère du film est assez irréaliste, et les décors de studio, le scope, ainsi que l'outrance des situations, font pour moi que le film est très théatral...mais sans jamais tomber dans le piège du théatre filmé! Et puis les cadrages milimétrés ainsi que la simplicité du schéma font du film une sorte de diamant brut...En tout cas ça me donne envie de découvrir les autres Masumura(La Femme de Seisaku est-il prévu en DVD?)
EDIT: je croyais que le film était en N&B, mais sur allociné la BA est en couleurs. Qu'en est-il exactement?
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