Le Fils (Dardenne): si vous aimez leur cinéma... Un cinéma proche des gens, tant dans le théme que dans la façon de filmer. Un homme (Olivier Gourmet, toujours à l'aise dans dans son art) se retrouve confronté au jeune qui a tué son fils. Une belle histoire sur le pardon, la souffrance et la rédemption. La cam"ra épaule peut peut-être en gêner certains mais tout est fait pour renforcer la proximité. Très fort, sans misérabilisme et d'une grande sobriété.
Jay and Bob Strike back (VO, Vf, Commenté par Mewes, Mosier et Smith): du bonheur mais pas à la portée de tout le monde. Mon film de chevêt avec
Baraka, dans un style comment dire... Juste un peu différent

Seule critique que je ferais c'est que les personnages n'évoluent pas beaucoup, (mais le peuvent-ils? Là est la question) mais c'est toujours un plaisir pour moi de les retrouver, eux et bien sûr toute la fine équipe qui va de Jason Lee à Holloran en passant par Gus Van Sant, Craven, Damon/Affleck, Rock et j'en oublie. Du premier au douzième degrès, l'important n'est pas là, sauf si vous n'avez pas d'humour. Mais ça, c'est un autre problème. POur âme
sensible uniquement (attention, y'a plusieurs degrés là...). J'envie les détenteurs du Z1. (heu... JCD, tu m'invites chez toi... Si je reste silencieux?...

)
Lost Highway: toujours la même claque, toujours cette impression bizarre de me faire mener en bâteau vers le vide. De plus en plus étrange à chaque vision. Ce film est vraiment une expérience. Rien de plus que celà.