Je trouve ça pas drôle du tout, Depardieu j'avais envie de le massacrer, et Dewaere est pathétique (je parle de leurs personnages, pas des acteurs).Spongebob a écrit :Pourquoi ? Je trouve que ce film est à mourir de rire.Alcatel a écrit :J'ai regardé la première heure des Valseuses... Le moins qu'on puisse dire est que j'ai pas beaucoup aimé.
Notons les films (Janvier 2005)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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- fétichiste du collant
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1970-2005: un artiste à la recherche de l'équilibre dans sa Force...
Exactement.George Bailey a écrit :Je me suis fait les 2 films d'affilée il y a quelques temps déjà et je te rejoins, c'est le bonheur.
Je ne sais pas si Tarantino avait pu sortir le film en entier, le montage aurait été le même mais en tout cas voir les 2 films à la suite, cela fonctionne parfaitemant.
C'est vraiment dommage que le film soit coupé en deux, je vois désormais Kill Bill comme un seul film de quatre heures.
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Revenge - Tony Scott
Interminable.
Kagemusha - Akira Kurosawa
La flemme d'en causer longuement. Il ya beaucoup à dire. C'est magnifique très souvent, ça manque de souffle parfois. Reste le pouvoir des images, et leur effet presque hallucinatoire. Elles frappent immediatement comme souvent avec Kurosawa. La scène du messager au début, le visage de Nakadai à la fin, c'est le seul cinéaste qui réussisse à me captiver si vite et si fort en quelques plans. Pas mon préféré, mais grandiose malgré tout.
Le convoyeur - Nicolas Boukhrief
Du beau boulot. C'est carré, maîtrisé avec une très belle mise en place de l'histoire. J'ai quand même l'impression par moment qu'il se regarde un peu en train de filmer : De jolis plans fixe, avec une lumière froide ne suffisent pas toujours à créer une ambiance. Mais les acteurs sont très bons. Dupontel en tête. Un bon moment.
Quand Harry rencontre Sally - Rob Reiner
Ca n'a pas pris une ride. Excellente comédie romantique. Souvent copié, rarement égalé.
Après vous - Pierre Salvadori
Fade, à l'image de la femme pour laquelle ils se chiffonnent.
Qui a tué Bambi ? - Gilles Marchand
Un très beau travail de mise en scène sur ce film. Les décors et les corps immaculés, le blanc qui pète dans les scènes d'intérieur, l'aspect desertique de toutes les scènes d'extérieur créent un climat de malaise ambiant parfaitement entretenu par l'interpretation de Lucas (excellent) et de Sophie Quinton (diaphane à souhait). La tension est permanente alors même que l'on sait très vite de quoi il retourne. J'ai senti un petit flottement sur la fin, une petite baisse de rythme sur la scène du rêve, mais pour le reste, c'est une belle découverte.
Interminable.
Kagemusha - Akira Kurosawa
La flemme d'en causer longuement. Il ya beaucoup à dire. C'est magnifique très souvent, ça manque de souffle parfois. Reste le pouvoir des images, et leur effet presque hallucinatoire. Elles frappent immediatement comme souvent avec Kurosawa. La scène du messager au début, le visage de Nakadai à la fin, c'est le seul cinéaste qui réussisse à me captiver si vite et si fort en quelques plans. Pas mon préféré, mais grandiose malgré tout.
Le convoyeur - Nicolas Boukhrief
Du beau boulot. C'est carré, maîtrisé avec une très belle mise en place de l'histoire. J'ai quand même l'impression par moment qu'il se regarde un peu en train de filmer : De jolis plans fixe, avec une lumière froide ne suffisent pas toujours à créer une ambiance. Mais les acteurs sont très bons. Dupontel en tête. Un bon moment.
Quand Harry rencontre Sally - Rob Reiner
Ca n'a pas pris une ride. Excellente comédie romantique. Souvent copié, rarement égalé.
Après vous - Pierre Salvadori
Fade, à l'image de la femme pour laquelle ils se chiffonnent.
Qui a tué Bambi ? - Gilles Marchand
Un très beau travail de mise en scène sur ce film. Les décors et les corps immaculés, le blanc qui pète dans les scènes d'intérieur, l'aspect desertique de toutes les scènes d'extérieur créent un climat de malaise ambiant parfaitement entretenu par l'interpretation de Lucas (excellent) et de Sophie Quinton (diaphane à souhait). La tension est permanente alors même que l'on sait très vite de quoi il retourne. J'ai senti un petit flottement sur la fin, une petite baisse de rythme sur la scène du rêve, mais pour le reste, c'est une belle découverte.
The gospel was told, some souls it swallowed whole
Mentally they fold, and they eventually sold
Their life and times, deadly like the virus design
But too, minute to dilute, the scientist mind.
Wu.
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Narco
Une première demi-heure explicative plombante entache quelque peu un film "à part". La suite, sans être non plus l'OFNI que l'on a bien voulu vendre, se regarde avec plaisir...
2/6
St Ange
Un final réellement convaincant, bien que l'épilogue par trop d'explication en appauvrit la force, ne parvient pas complètement à sauver une mise en place lourde et convenue.
2/6
Atomic Circus
Alors oui, le film est parmoment mal joué, mal filmé, l'histoire foutraque et bancal peut paraître lourde, oui les frère Poirier font du bis avec du fric, mais j'ai trouvé le tout suffisament fun pour me faire passer cette une heure et demi fort agréablement. Et puis la magnifique Vanessa Paradis illumine chaque plan de sa beauté naïve...
3/6
Au secours, j'ai trente ans
Une comédie aussi lourde qu'innoncente porté par des comédiens pas drôles...
0.5/6
Narco
Une première demi-heure explicative plombante entache quelque peu un film "à part". La suite, sans être non plus l'OFNI que l'on a bien voulu vendre, se regarde avec plaisir...
2/6
St Ange
Un final réellement convaincant, bien que l'épilogue par trop d'explication en appauvrit la force, ne parvient pas complètement à sauver une mise en place lourde et convenue.
2/6
Atomic Circus
Alors oui, le film est parmoment mal joué, mal filmé, l'histoire foutraque et bancal peut paraître lourde, oui les frère Poirier font du bis avec du fric, mais j'ai trouvé le tout suffisament fun pour me faire passer cette une heure et demi fort agréablement. Et puis la magnifique Vanessa Paradis illumine chaque plan de sa beauté naïve...
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Au secours, j'ai trente ans
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Le seigneur des anneaux (VL) : 6/6
Les deux Tours (VL) : 5/6
Alexandre :Je n'ai pas trouvé que c'était la catastrophe annoncé mais il ne faut pas chercher bien loin sur le non-succès du film. J'ai trouvé ça plus digeste que Troie car beaucoup plus intéressant. Hopkins est de trop (Comme si ce film avait besoin d'un narrateur au passage) et la coupe de farrel est décidément très énervante.
3/6
Les deux Tours (VL) : 5/6
Alexandre :Je n'ai pas trouvé que c'était la catastrophe annoncé mais il ne faut pas chercher bien loin sur le non-succès du film. J'ai trouvé ça plus digeste que Troie car beaucoup plus intéressant. Hopkins est de trop (Comme si ce film avait besoin d'un narrateur au passage) et la coupe de farrel est décidément très énervante.
3/6
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Un cri dans l'océan - Stephen Sommers
Redécouvert hier soir avec plaisir. Je ne me souvenais plus qu'il y avait un tel rythme du début à la fin. ça n'arrête pas, ça flingue et ça charcle de gauche à droite sans discontinuer pour notre plus grand plaisir. Et ces divers excès de gore et d'humour sont des plus bienvenus !
Redécouvert hier soir avec plaisir. Je ne me souvenais plus qu'il y avait un tel rythme du début à la fin. ça n'arrête pas, ça flingue et ça charcle de gauche à droite sans discontinuer pour notre plus grand plaisir. Et ces divers excès de gore et d'humour sont des plus bienvenus !
"Give me all the bacon and eggs you have."
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Moi je l'ai découvert, et il est vrai que cette série B est plus qu'honnête, respectant parfaitement certains canons du genre, digérant pas mal d'influences (les deux premiers Alien, The Thing). Treat Williams compose un aventurier tout à fait crédible, la tension monte intelligemment. Sommers use en effet avec intelligence du suspense, ne montrant sa créature que progressivement (d'abord les conséquences, puis ses mouvements invisibles, puis quelques tentacules, puis son fonctionnement, puis... toute sa personne !). Créature au demeurant assez superbe. Malgré des décors très maquettes, les SFX et maquillages sont tout à fait réussis. J'ai eu le temps d'apercevoir le nom de Rob Bottin sur le générique de fin (juste avant que M6 ne le sucre). J'ai cependant quelques réserves sur quelques péripéties pénibles et des punch-lines humoristiques assez déplacées qui font pas mal retomber la tension que le film aurait pu préserver.Colqhoun a écrit :Un cri dans l'océan - Stephen Sommers
Redécouvert hier soir avec plaisir. Je ne me souvenais plus qu'il y avait un tel rythme du début à la fin. ça n'arrête pas, ça flingue et ça charcle de gauche à droite sans discontinuer pour notre plus grand plaisir. Et ces divers excès de gore et d'humour sont des plus bienvenus !
Hero, Zhang Yimou
Seconde vision quelque peu déçue. Je suis resté émerveillé par tout le début du film, la splendeur des décors et costumes, le travail minutieux de composition du cadre, de la photographie, du montage, la poésie du rythme, le combat avec Donnie Yen, le flash-back en rouge. Un certain archaïsme s'en dégage qui me semblait tout à fait approprié pour conter une légende aussi ancienne. Mais dès le second flash-back, j'ai pas mal décroché. Les deux amants interprétés par Maggie Cheung et Tony Leung ne m'ont plus du tout touché, et voir par la suite autant de scènes qui leur sont consacrées m'a un peu lassé. Une très belle conclusion néanmoins.
Du coup, je serai presque tenté de dire que Yimou a poussé sa maîtrise du genre plus loin dans Le Secret des poignards volants.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
Mes films du mois...
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Sans parler de l'énorme référence à Terminator 2, lorsque Williams et Janssen s'enfuie en scooter des mers et tirent au fusil à pompe !Max Schreck a écrit :Colqhoun a écrit :Un cri dans l'océan - Stephen Sommers
[...] digérant pas mal d'influences (les deux premiers Alien, The Thing).
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Tais toi : Moi ça m'a bien fait marrer pendant au moins une heure. Ce qui est déjà pas mal, Depardieu est énorme en teubé congénital. C'est trés con, ça n'a ni queue ni tete mais je me suis marré. Le dernier 1/4 d'heure est pourri, mais bon tant pis. 6/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Bah bof quand même. Ce qui m'a surtout frappé, c'est le fait que cette histoire stagne à un point !!Rockatansky a écrit :Tais toi : Moi ça m'a bien fait marrer pendant au moins une heure.
Pendant environ 45mn, nos 2 compères tournent en voiture dans Paris, se font poursuivre, piquent une autre voiture, le tout entrecoupé de gags pas drôles (c'est moi ou Francis Veber a du mal avec sa représentation du jeune Français ? ).
Là je suis d'accord, par contre : Depardieu est excellent. Heureusement qu'il est là, parce que Reno et son éternel air de chien battu (j'appelle aussi ça du "non-jeu") est soulant.Rocka a écrit :Depardieu est énorme en teubé congénital.
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Pareil.Rockatansky a écrit :Tais toi : Moi ça m'a bien fait marrer pendant au moins une heure. Ce qui est déjà pas mal, Depardieu est énorme en teubé congénital. C'est trés con, ça n'a ni queue ni tete mais je me suis marré. Le dernier 1/4 d'heure est pourri, mais bon tant pis. 6/10
Ca m'a bien diverti dans l'avion. Pas inoubliable, mais de bonnes choses. Mieux que le placard.