Macadam Cowboy (John Schlesinger - 1969)
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Macadam Cowboy (John Schlesinger - 1969)
J'aimerais connaître vos avis sur ce film avec Dustin Hoffman et John Voight.
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- Laspalès
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vu il y a très longtemps mais j'en garde un très bon souvenir...Voight et Hoffman sont formidables,la musique de john Barry cultissime et la fin est terriblement émouvante...l'envers du rêve américain!
un film que je reverrais avec grand plaisir(j'aime assez john Schlesinger en général,notamment MARATHON MAN).
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je l'ai vu il y a quelque temps quand il est passé sur arte...
la perf des acteurs n'est pas trop mal quoique Dustin hoffmann j'avais trouvé que c'etait un peu surjoué surtout dans les intonations de voix...
enfin bref, je serai mauvais de critiquer ce film (bon mais un peu daté) par le role et la qualité des acteurs qui ont apporté a ce film...
la perf des acteurs n'est pas trop mal quoique Dustin hoffmann j'avais trouvé que c'etait un peu surjoué surtout dans les intonations de voix...
enfin bref, je serai mauvais de critiquer ce film (bon mais un peu daté) par le role et la qualité des acteurs qui ont apporté a ce film...
- Joshua Baskin
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Un film magnifique et douloureux qui montre l'envers du rêve américain. Un film qui commence dans une bonne humeur et une ironie jouissive pour se terminer dans la plus terrible des désillusions.
Le spectateur suit le parcours de cet apprenti gigolo naif joué par l'excellent Jon Voigt, grand blond un peu béta nourri aux céréales, qui va vite déchanter dans l'enfer urbain impitoyable représenté par le malingre et malin Dustin Hoffman, petit bonhomme aux cheveux noirs et crasseux écrasé par sa maladie.
Le spectateur suit le parcours de cet apprenti gigolo naif joué par l'excellent Jon Voigt, grand blond un peu béta nourri aux céréales, qui va vite déchanter dans l'enfer urbain impitoyable représenté par le malingre et malin Dustin Hoffman, petit bonhomme aux cheveux noirs et crasseux écrasé par sa maladie.
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Dustin
M'enfin... C'est pas un clodo, c'est la Dame aux camélias. Dustin Hoffman, ou l'art de passer six mois a préparer un rôle et 90 minutes à le surjouer. Enervant a la longue de voir les mêmes tics d'acteur (' studio?) dans tous les films du meussieur, en nonoche (k sport c'est kk), en indien authentique (hi hi hi), etc ... John Voight est bien plus credible en benêt, mais il est complètement bouffé par Hoffman... Pas un mauvais film pour autant, plutôt bon même, mais faut supporter Dustin-je-fais-toutSuper Seb le Bat Coco a écrit : la perf des acteurs n'est pas trop mal quoique Dustin hoffmann j'avais trouvé que c'etait un peu surjoué surtout dans les intonations de voix...
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Midnight Cowboy
Encore un duo de paumés légendaire. Le réalisation de Schlesinger est très crue mais en même temps aérienne et très touchante. Les flash-back de Joe, les souvenirs de Rizzo sont autant d'instants suspendus dans le temps, qui semblent étouffés par l'immensité d'une ville qui vient petit à petit à bout des personnages.
Les interprétations de Voight et Hoffman sont époustouflantes, je vois mal ce que je pourrais dire d'autre.
Une oeuvre qui a montré le chemin à beaucoup d'autres (je pense à l'Epouventail de Schatzberg) et qui n'a rien perdu de sa force.
Encore un duo de paumés légendaire. Le réalisation de Schlesinger est très crue mais en même temps aérienne et très touchante. Les flash-back de Joe, les souvenirs de Rizzo sont autant d'instants suspendus dans le temps, qui semblent étouffés par l'immensité d'une ville qui vient petit à petit à bout des personnages.
Les interprétations de Voight et Hoffman sont époustouflantes, je vois mal ce que je pourrais dire d'autre.
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- Joshua Baskin
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Et quelle jolie musique de Donovan !Jack Torrance a écrit :Midnight Cowboy
Encore un duo de paumés légendaire. Le réalisation de Schlesinger est très crue mais en même temps aérienne et très touchante. Les flash-back de Joe, les souvenirs de Rizzo sont autant d'instants suspendus dans le temps, qui semblent étouffés par l'immensité d'une ville qui vient petit à petit à bout des personnages.
Les interprétations de Voight et Hoffman sont époustouflantes, je vois mal ce que je pourrais dire d'autre.
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John Schlesinger est un cinéaste passionnant, qui réalise des films très forts, souvent violents dans leur forme. J'ai pas encore vu Midnight Cowboy, ni Fenêtre sur Pacifique, mais tous ses autres films m'ont toujours bien impressionné, jamais laissé indifférent. Il y a toujours un côté apocalyptique dans sa mise en scène et les mondes qu'il choisit de décrire. Day of the Locust, adapté du roman de Nathanael West, est à ce titre vraiment un sommet, une espece de film ovni dont on se remet difficilement. Marathon Man est aussi terrifiant que jouissif par la force de son intrigue et l'excellence de son interprétation, Yanks, porté par des acteurs magnifiques (Richard Gere, Vannessa Redgrave, William Devane) est un film sublime, très émouvant, qu'il faut absolument (re)découvrir, The Falcon and the snowman n'est rien de moins qu'un des meilleurs films d'espionnage jamais tourné, volontairement non-spectaculaire, trivialement réaliste et fort, The Innocent, enfin, mélange romance et espionnage sur fond de guerre froide à Berlin, un peu moins convaincant mais toujours aussi neuf.
Malheureusement ses deux derniers films sont vraiment plus que moyens : Eye for an eye, un vulgaire film de vengeance/légitime défense, qui certes contient une très belle scène (l'assassinat de la fille), mais reste un peu trop convenu. Et puis The Next best thing (Un couple presque parfait, comédie avec Madonna avec laquelle il n'avait rien à gagner.
... en consultant sa filmo sur l'imdb, je me rends compte qu'il est décédé il y a presque un an jour pour jour... et je le savais pas !
Malheureusement ses deux derniers films sont vraiment plus que moyens : Eye for an eye, un vulgaire film de vengeance/légitime défense, qui certes contient une très belle scène (l'assassinat de la fille), mais reste un peu trop convenu. Et puis The Next best thing (Un couple presque parfait, comédie avec Madonna avec laquelle il n'avait rien à gagner.
... en consultant sa filmo sur l'imdb, je me rends compte qu'il est décédé il y a presque un an jour pour jour... et je le savais pas !
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Mes films du mois...
Mes extrospections...
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Pas mieux, une oeuvre intense portée par deux acteurs d'exception. Et quelle chanson...Roy Neary a écrit :Un film magnifique et douloureux qui montre l'envers du rêve américain. Un film qui commence dans une bonne humeur et une ironie jouissive pour se terminer dans la plus terrible des désillusions.
Le spectateur suit le parcours de cet apprenti gigolo naif joué par l'excellent Jon Voigt, grand blond un peu béta nourri aux céréales, qui va vite déchanter dans l'enfer urbain impitoyable représenté par le malingre et malin Dustin Hoffman, petit bonhomme aux cheveux noirs et crasseux écrasé par sa maladie.
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