lowtek a écrit :Je me permet de copier-coller ce que j'écrivais il y a 4 ans (2007) dans ce topic http://www.dvdclassik.com/forum/viewtopic.php?f=3&t=26603&start=75
Topic que je n'avais pas vu. Merci pour le lien au passage.
Modérateurs : Karras, Rockatansky, cinephage
lowtek a écrit :Je me permet de copier-coller ce que j'écrivais il y a 4 ans (2007) dans ce topic http://www.dvdclassik.com/forum/viewtopic.php?f=3&t=26603&start=75
Ouf, camescope oral a écrit :4) La seule faute du film est, à mon sens, son titre qui tire le spectateur à juger le dernier quart d'heure d'un point de vue moral. Mc Queen l'aurait intitulé "Pain", que ça changeait toute la dimension de cette fin. Et là, c'eût été royal.
Amarcord a écrit :Mais... Comme le dit Banane plus haut, sur le fond, j'ai trouvé le film finalement assez moralisateur : je redoutais une scène gay, parce que j'entrevoyais bien comment ça pourrait être amené et ce que le réalisateur pourrait en faire : McQueen tombe pile poil à pieds joints dans le cliché que je craignais : Brandon, que rien ne désigne, avant ça, comme homo, ni même bi, "descend aux enfers gay", bien évidemment (comment pourrait-il en être autrement ?)... La scène de sexe à trois (qui suit de près celle du bar gay) enfonce le clou de la morale... OK, tout ça ne dure que le temps d'une scène ou deux (à la fin du film), mais au final, ça gâche un peu, à mes yeux, l'ambition réelle du film et de son sujet finalement pas tellement traité au cinéma (ça fout un peu en l'air tout ce qu'on a vu jusque là, pendant 1h30).
Gounou a écrit :L'interprétation est évidemment tentante et McQueen joue en toute conscience avec le feu... mais je la trouve réductrice.
La séquence de la boite n'est pas la finalité d'un voyage, d'une "descente aux enfers" comme tu dis, mais un moyen supplémentaire, une addition,
Gounou a écrit :Peu importe la nature, peu importe le visage
Amarcord a écrit :Fassbender est bien le meilleur acteur de son époque (il porte le film au-delà de tout ce qu'on peut imaginer, c'est rare qu'une si belle gueule arrive à être à ce point aussi si expressive et si émouvante).
Jihl a écrit :On retrouve la maîtrise graphique et sonore de McQueen,
Ca reste évidemment à voir et McQuenn un réalisateur à suivre