Ton pseudo se justifiegehenne666 a écrit :Ne sois pas surpris, il faut du temps pour s'en remettre. A vous dégoûter du cinéma !Blobstellung a écrit :
Notez les films d'aujourd'hui (Décembre 2005)
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2 ou 3 Euros sur Cdiscount...Tuck pendleton a écrit :Le dvd n'est pas très cher il me semble.Major Tom a écrit : La BA est sympa...
Le film repasse apparemment cette nuit sur Cinéxtreme, à 01H35. Je vais essayer de me le choper... (en VF )
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Thirteen (Catherine Hardwicke, 2003). Beaucoup de qualités pour ce non-teen movie. A défaut d'être "vrai" comme l'avait défendu la réalisatrice, le film est souvent juste et sait créer un climat de tension qui replace le spectateur dans l'état de confusion qui caractérise un certain passage de l'existence chez certains adolescents. Pourtant ce film passe à côté de son sujet. Tout d'abord, je ne lui pardonne pas d'avoir inséré les jeunes filles dans un contexte familial totalement destructuré, façon d'expliquer la dérive comportementale uniquement par un manque affectif paternel. Ensuite, je n'apprécie pas l'angle de vue résolument puritain, connotant tout le film avec une notion de péché liée à des transgressions plus ou moins "honteuses", comme celle de l'interracialité des aventures des adolescentes (et qui dit noir, dit drogue...). Enfin, le jeu des acteurs est parfait et la mise en scène efficace, alors pourquoi avoir usé et abusé des effets "réalistes" de caméra sur l'épaule avec cadrage mouvant et jeu de zoom/dézoom souvent putassiers ? D'une bonne fiction, on passe à un mauvais reportage, le tout hésitant entre stylisation à la Soderbergh et clip à la mode.
Bon (mais passe assez loin de l'excellence)
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Trois enterrements de Tommy Lee Jones
C'est l'histoire d'une certaine confrontation entre deux mondes, deux populations. D'un côté, la vision d'un garde-frontière US qui campe une position idéologique, défend son limes nord-américain face à l'intrusion des "étrangers". De l'autre, des migrants mexicains qui transgressent cette "ligne" - en pointillés - pour tenter leur chance dans cette autre partie de l'Amérique.
Y a t-il vraiment une frontière ? Quel sens recouvre t-elle dans un espace où les hommes, les cultures s'interpénètrent, et alors qu'auparavant, ce même espace était organisé par les Mexicains ? Entre ces deux façons de voir le monde, se trouvent un médiateur, un passeur : Tommy Lee Jones. Il représente un trait d'union, celui qui va accompagner cet américain vers l'ouverture aux autres, vers la rédemption. Au fil de ce chemin initiateur, on prend conscience de l'ambiguité de la notion de frontière. D'un mur obstacle qui coupe deux mondes, elle devient humaine, dans laquelle le territoire n'est plus seulement "étatsunien", mais américain, lieu d'échanges, de dialogues et de partage à la manière de ce "lunch" offert au détour d'une vallée.
D'un blocage culturel, d'une crispation sur ces privilèges occidentaux à l'appréhension des autres, Trois enterrements est un film qui initie le spectateur à regarder différemment ceux qu'on appelle "étrangers", à comprendre leurs motivations, leurs griefs. La qualité de l'écriture (Prix du scénario au Festival de Cannes), de la mise en scène et de l'interprétation donne au film de Tommy Lee Jones une dimension originale à un thème - les échanges - pleinement inscrit dans le monde d'aujourd'hui.
C'est l'histoire d'une certaine confrontation entre deux mondes, deux populations. D'un côté, la vision d'un garde-frontière US qui campe une position idéologique, défend son limes nord-américain face à l'intrusion des "étrangers". De l'autre, des migrants mexicains qui transgressent cette "ligne" - en pointillés - pour tenter leur chance dans cette autre partie de l'Amérique.
Y a t-il vraiment une frontière ? Quel sens recouvre t-elle dans un espace où les hommes, les cultures s'interpénètrent, et alors qu'auparavant, ce même espace était organisé par les Mexicains ? Entre ces deux façons de voir le monde, se trouvent un médiateur, un passeur : Tommy Lee Jones. Il représente un trait d'union, celui qui va accompagner cet américain vers l'ouverture aux autres, vers la rédemption. Au fil de ce chemin initiateur, on prend conscience de l'ambiguité de la notion de frontière. D'un mur obstacle qui coupe deux mondes, elle devient humaine, dans laquelle le territoire n'est plus seulement "étatsunien", mais américain, lieu d'échanges, de dialogues et de partage à la manière de ce "lunch" offert au détour d'une vallée.
D'un blocage culturel, d'une crispation sur ces privilèges occidentaux à l'appréhension des autres, Trois enterrements est un film qui initie le spectateur à regarder différemment ceux qu'on appelle "étrangers", à comprendre leurs motivations, leurs griefs. La qualité de l'écriture (Prix du scénario au Festival de Cannes), de la mise en scène et de l'interprétation donne au film de Tommy Lee Jones une dimension originale à un thème - les échanges - pleinement inscrit dans le monde d'aujourd'hui.
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Les Chroniques de Riddick de David Twohy
Déjà culte, le film que tout fan-boy attendait. Après ça a ses incohérences, c 'est lourd et abusif mais on s'en fout c'est trop bon! Tout juste s'il y a une histoire, juste de la bourrinade, des punchlines de fous, un Vin Diesel parfait en héros je-m'en-foutiste façon Snake Plissken, une mise en scène pleine de punch et qui a du répondant. Tapageur, bourrin, méchant, sec, limite nihiliste, j'adore!
Encore un grand film qui n'a pas trouvé son public.
Déjà culte, le film que tout fan-boy attendait. Après ça a ses incohérences, c 'est lourd et abusif mais on s'en fout c'est trop bon! Tout juste s'il y a une histoire, juste de la bourrinade, des punchlines de fous, un Vin Diesel parfait en héros je-m'en-foutiste façon Snake Plissken, une mise en scène pleine de punch et qui a du répondant. Tapageur, bourrin, méchant, sec, limite nihiliste, j'adore!
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Colqhoun a écrit :Tu rejoins donc le cercle très fermé des amateurs de ce grand film incompris. Bienvenue et merci !
On ne peut pas faire dire tout et n'importe quoi à un film. S'il est bon c'est parce qu'il est incompris ou, dans certains cas décomplexé. Du coup, être décomplexé est une marque de qualité dans la bouche de certains et en gros, Les chroniques de Riddick film que j'ai trouvé extrêmement mauvais ( comme tous les Twohy que j'ai vu et je les ai tous vu) est un grand film parce qu'il est incompris ?
Par qui ?
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le site est pas mal aussi : http://www.nonhosonno.itMajor Tom a écrit :La BA est sympa...Major Tom a écrit :Le Sang des Innocents
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Pitof est grand !Major Tom a écrit :Catwoman de Pitof
Oui. J'ai osé. Et pas de surprise: une daube intersidérale. Un hallucinogène. Ou un jeu vidéo sans mannettes... Au choix.
Il a réussi avec ce film à faire moins bien que Vidoq, pourra-t'il avec son prochain faire pire que Catwoman ?
Là ca va etre quand meme plus que dur, un véritable challenge en fait...
- MJ
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C'est vrai que le bide du film n'est pas vraiment étonnant avec le responsable de cette bien belle croûte aux commandes. Non content d'offrir de la merde de la boîte, Pitof nous fait des duo-packs rien que pour les fêtes de Noël!Addis-Abeba a écrit :Pitof est grand !
Il a réussi avec ce film à faire moins bien que Vidoq, pourra-t'il avec son prochain faire pire que Catwoman ?
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