Nos visionnages : vite fait (index P.1)
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Downrange, de Ryûhey Kitamura (2017)
Je l'avais raté l'année dernière lorsqu'il est passé en séance interdite au PIFFF et j'en avais lu plutôt des bons retours.
On y suit un groupe de jeune qui font du covoiturage ensemble et crève au milieu de nul part où ils vont être pris pour cible par un sniper.
C'est simple, mais ça a le mérite d'être assez efficace, en tout cas me concernant, j'ai bien ressenti la tension de certaines scènes.
Le film est gore, très gore, c'est pas un truc qui me dérange, mais je le montrerais pas à tout le monde.
Dommage j'ai trouvé le dernier quart d'heure en dessous et le final un peu facile.
Hôtel Transylvanie, de Genndy Tartakovsky (2012)
Dracula est à la tête d'un hotel réservé au monstre, très réputé pour son absence d'humain, considéré comme dangereux et méchant par les monstres. Au centre de l'histoire il y a sa relation avec sa fille qu'il tente de protéger de notre civilisation.
Un pote adore ce film d'animation, et j'avoue que par son thème j'en attendais pas mal.
J'ai été assez déçu : pas d'ambiance gothique, des blagues parfois assez potache, et oh mon Dieu c'est quoi cette musique horrible ? Alors que j'espérais (surement naïvement) à des influences goth/cold wave que dalle, on a de la pur soupe 2010s à base de vocoder/autotune. Alors tout n'est pas a jeté et j'ai aussi souvent ri, mais oui clairement j'attendais mieux.
Koyaanisqatsi, de Godfrey Reggio (1982)
Lui je voulais le voir depuis un paquet d'années. Récupéré lors du BF FNAC avec sa suite j'ai enfin pu le visionner.
J'avoue que je m'attendais pas exactement à ça, je sais pas pourquoi mais je pensais qu'il serait bien plus centrer sur des images de la planète. Alors que bien les 2 tiers du films montre des images des villes, de la civilisation humaine.
Pour autant il n'en est pas moins captivant, avec beaucoup d'images qui passent en ralenti, ou en accéléré. Pour la beauté des images mais pas uniquement, ça sert généralement très bien le propos du film, ça permet de souligner des aspects que Reggio veut appuyer par ce film sans paroles.
La BO signé Philipp Glass (qui jusque là avait toujours refusé de faire des musiques de films) ne fait qu'un avec les images, c'est juste superbe, envoûtant.
Je l'avais raté l'année dernière lorsqu'il est passé en séance interdite au PIFFF et j'en avais lu plutôt des bons retours.
On y suit un groupe de jeune qui font du covoiturage ensemble et crève au milieu de nul part où ils vont être pris pour cible par un sniper.
C'est simple, mais ça a le mérite d'être assez efficace, en tout cas me concernant, j'ai bien ressenti la tension de certaines scènes.
Le film est gore, très gore, c'est pas un truc qui me dérange, mais je le montrerais pas à tout le monde.
Dommage j'ai trouvé le dernier quart d'heure en dessous et le final un peu facile.
Hôtel Transylvanie, de Genndy Tartakovsky (2012)
Dracula est à la tête d'un hotel réservé au monstre, très réputé pour son absence d'humain, considéré comme dangereux et méchant par les monstres. Au centre de l'histoire il y a sa relation avec sa fille qu'il tente de protéger de notre civilisation.
Un pote adore ce film d'animation, et j'avoue que par son thème j'en attendais pas mal.
J'ai été assez déçu : pas d'ambiance gothique, des blagues parfois assez potache, et oh mon Dieu c'est quoi cette musique horrible ? Alors que j'espérais (surement naïvement) à des influences goth/cold wave que dalle, on a de la pur soupe 2010s à base de vocoder/autotune. Alors tout n'est pas a jeté et j'ai aussi souvent ri, mais oui clairement j'attendais mieux.
Koyaanisqatsi, de Godfrey Reggio (1982)
Lui je voulais le voir depuis un paquet d'années. Récupéré lors du BF FNAC avec sa suite j'ai enfin pu le visionner.
J'avoue que je m'attendais pas exactement à ça, je sais pas pourquoi mais je pensais qu'il serait bien plus centrer sur des images de la planète. Alors que bien les 2 tiers du films montre des images des villes, de la civilisation humaine.
Pour autant il n'en est pas moins captivant, avec beaucoup d'images qui passent en ralenti, ou en accéléré. Pour la beauté des images mais pas uniquement, ça sert généralement très bien le propos du film, ça permet de souligner des aspects que Reggio veut appuyer par ce film sans paroles.
La BO signé Philipp Glass (qui jusque là avait toujours refusé de faire des musiques de films) ne fait qu'un avec les images, c'est juste superbe, envoûtant.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Hotel Transylvanie, c'est mignon 2 minutes, mais c'est du fast food de l'animation. Le 2e, j'ai pioncé lâchement devant. Le 3e, je fais l'impasse.
Koyaanisqatsi, c'est splendide pas seulement dans ses images mais dans le propos déroulé en toile de fond, depuis les vastes paysages désertiques qui semblent fermement ancrés de façon immobile dans le temps jusqu'à l'accélération humaine, insoutenable et claustrophobe, que seule une implosion pourra stopper net en plein vol.
J'avais eu la chance de voir le film au festival d'Edinburgh avec la musique jouée en live par un petit orchestre dirigé par Glass lui-même. C'était magique. Quand la fusée retombe en tourbillonant, j'avais chialé. C'est beau et triste et hypnotisant à la fois. Et tellement, tellement tristement contemporain.
On a vu Powaqqatsi la semaine passée, justement. C'est joli, mais un cran en dessous. Le déroulé est moins construit, pas aussi intéressant dans ce qu'il avance.
Naqoyqatsi est affreux. On a tenu 10 minutes.
Koyaanisqatsi, c'est splendide pas seulement dans ses images mais dans le propos déroulé en toile de fond, depuis les vastes paysages désertiques qui semblent fermement ancrés de façon immobile dans le temps jusqu'à l'accélération humaine, insoutenable et claustrophobe, que seule une implosion pourra stopper net en plein vol.
J'avais eu la chance de voir le film au festival d'Edinburgh avec la musique jouée en live par un petit orchestre dirigé par Glass lui-même. C'était magique. Quand la fusée retombe en tourbillonant, j'avais chialé. C'est beau et triste et hypnotisant à la fois. Et tellement, tellement tristement contemporain.
On a vu Powaqqatsi la semaine passée, justement. C'est joli, mais un cran en dessous. Le déroulé est moins construit, pas aussi intéressant dans ce qu'il avance.
Naqoyqatsi est affreux. On a tenu 10 minutes.
- Arn
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Oui Koyaanisqatsi reste un film "choc" dans son propos, même 36 ans. Peut être encore plus aujourd'hui d'ailleurs. Y'a une vrai mélancolie qui s'en dégage, en plus d'une certaine rage.
Avec la musique live ce devait être dingue
Dans le coffret que j'ai pris il y a donc Powaqqatsi mais aussi Baraka (de Ron Fricke).
Avec la musique live ce devait être dingue
Dans le coffret que j'ai pris il y a donc Powaqqatsi mais aussi Baraka (de Ron Fricke).
Ouais c'est exactement l'effet que ça m'a fait. Dommage.Hotel Transylvanie, c'est mignon 2 minutes, mais c'est du fast food de l'animation.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Baraka comme Samsara sont encore plus neutres dans leur propos, et pour moi, on se rapproche déjà nettement du livre d'images, là où Powaq et Koyaa viennent avec une construction socio-politique autour de la société humaine.
Mais remplacer Naqoy par Baraka, c'est probablement mieux comme ça, cinématographiquement parlant.
Mais remplacer Naqoy par Baraka, c'est probablement mieux comme ça, cinématographiquement parlant.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
J'allais indexer quand je me suis aperçu qu'il n'y avait aucune info "technique" sur la qualité des BLU !Arn a écrit :Downrange, de Ryûhey Kitamura (2017)
Hôtel Transylvanie, de Genndy Tartakovsky (2012)
Koyaanisqatsi, de Godfrey Reggio (1982)
En fait, cher Arn, ce topic ne sert pas à parler des films, mais à donner des avis sur les disques, les transferts... Points forts, points faibles, tout ça. - - -
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Oups, au temps pour moi
Je ne me sent pas (encore) de donner des avis sur la qualité des éditions, je commenterais donc les films dans mon top mensuel. Merci de la précision
Je ne me sent pas (encore) de donner des avis sur la qualité des éditions, je commenterais donc les films dans mon top mensuel. Merci de la précision
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Bon, je mets ça là.
Spongebob a écrit :
Visionné hier soir. C'est du très beau boulot de restauration. L'apport du HDR est indéniable même si assez discret. Le plus important reste le contraste magnifiquement renforcé. Il y a juste deux moments où le noir est un peu flottant sur des scènes très sombres. Je me demande si c'est normal ou si c'est encore un souci d'authoring comme sur l'UHD de Fog.
Pour les bonus c'est un peu léger. Juste un docu de 30mn plutôt intéressant et une petite vidéo d'un mec qui retourne sur les lieux de tournage. Et on retrouve l' "analyse" d'une scène par Big John qui regarde une pauvre copie VHS 4/3 à deux centimètres de l'écran. Bonus déjà présent sur l'édition DVD et déjà moqué à l'époque. Le commentaire audio n'est pas disponible sur le disque 4K, ce qui veut dire que pour voir le film en 4K et les bonus il faut se farcir les trois disques. On a vu plus pratique.
Pour une édition à 25 balles je m'attendais à un peu plus de matière.
Ah oui et le steelbook est bien entendu arrivé cabossé
- Spoiler (cliquez pour afficher)
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
C'est vu aussi en UHD, et des 4 sorties Carpenter c'est celui qui pose le plus de problèmes.Commissaire Juve a écrit :Bon, je mets ça là.
Spongebob a écrit :
Visionné hier soir. C'est du très beau boulot de restauration. L'apport du HDR est indéniable même si assez discret. Le plus important reste le contraste magnifiquement renforcé. Il y a juste deux moments où le noir est un peu flottant sur des scènes très sombres. Je me demande si c'est normal ou si c'est encore un souci d'authoring comme sur l'UHD de Fog.
Pour les bonus c'est un peu léger. Juste un docu de 30mn plutôt intéressant et une petite vidéo d'un mec qui retourne sur les lieux de tournage. Et on retrouve l' "analyse" d'une scène par Big John qui regarde une pauvre copie VHS 4/3 à deux centimètres de l'écran. Bonus déjà présent sur l'édition DVD et déjà moqué à l'époque. Le commentaire audio n'est pas disponible sur le disque 4K, ce qui veut dire que pour voir le film en 4K et les bonus il faut se farcir les trois disques. On a vu plus pratique.
Pour une édition à 25 balles je m'attendais à un peu plus de matière.
Ah oui et le steelbook est bien entendu arrivé cabossé
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3 moments / passages où la qualité dégringole complètement :
1 • La première fois que Pleasence et Wong descendent dans le sous-sol de l'église et se trouvent face au réceptacle.
2 • La scène du corps qui parle, bouffé par les insectes, sur le parking
3 • Quelques plans lorsque Pleasance est caché derrière la chaufferie à la fin.
Alors qu'entre ces 3 moments le grain est parfaitement géré, présent mais fin, tout d'un coup l'écran est envahit d'un gros grain qui tache entre points noirs et points blancs. La définition part dans une sorte de bouillie amenant avec elle le même soucis que sur certaines scènes de FOG avec ce clignotement au niveau des bords haut et bas de l'image.
Sur la 1ere scène on se dit d'abord que ça doit venir des conditions de tournage, mais comme aucune autre scène de déroulant dans ce sous sol ne montre une telle baisse de qualité ça serait étonnant.
Sur la 3eme scène la qualité varie carrément d'un plan coupe à l'autre. Pleasence derrière la cuve, plan sur la fille devant le miroir, retour sur Pleasence et l'image devient du grumeau.
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Fog, Prince et They Live ont tous les 3 des problèmes. Nick Wrigley a noté de nombreuses occurences sur The Fog, 15 je crois. Prince me semble donc assez loin "devant".
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Je mets ça là... désolé de vous faire perdre votre temps.
Ces dernières heures, je me suis enfin décidé à visionner :
- Rob Roy (acheté en décembre 2010) ! ... très satisfait de l'image.
- Le Nouveau Monde (T.Malick... acheté en décembre 2010 également).
Il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Huit ans. Non mais, allô, quoi !
Ces dernières heures, je me suis enfin décidé à visionner :
- Rob Roy (acheté en décembre 2010) ! ... très satisfait de l'image.
- Le Nouveau Monde (T.Malick... acheté en décembre 2010 également).
Il n'est jamais trop tard pour bien faire.
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
DukeOfPrunes a écrit :
Patrick Bokanowski - L'ange
On m'avait déjà parlé de ce film expérimental, j'étais curieux de le voir - j'avais vu quelques courts de Bokanowski sur le web.
Le film a été restauré en 2K, il est proposé par l'éditeur re:voir (avec tout le reste de sa filmographie, en trois packs Blu-ray/DVD !).
Pour un film où l'image a subi un énorme travail de montage, d'animation et d'effets spéciaux, le résultat est très propre.
Bien sûr, il ne faut pas s'attendre à un piqué exceptionnel, mais le rendu est "filmique" et c'est bien là l'essentiel.
La haute définition est largement appréciable, mais le plus plaisant, c'est la puissance du contraste ombre et lumière.
L'ange n'est pas pour tout le monde, je le recommande vivement aux fans des frères Quay.
Les bonus ne sont pas très exhaustifs, cela ne les empêche pas d'être très précieux.
Trois programmes courts qui éclairent bien le travail de Patrick et Michèle Bokanowski.
Il y a aussi un livret.
A noter que le film bénéficie d'une piste d'audiodescription.
Le prix est un peu prohibitif (lire "à la Coin de Mire") : 29,90€.
Mais en achetant les 3 éditions Bokanowski, ça les baisse à 22€ environ chacun il me semble.
Film : 8/10
Vidéo : 8/10
Audio : 8/10
Bonus : 7,5/10
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Merci Juve ! J'en profite pour mettre la suite.
DukeOfPrunes a écrit :Au passage : je viens de visionner le Blu-ray des courts-métrages de Bokanowski. Je suis déçu... et je trouve ça limite de la part de l'éditeur Seuls 4 films sur 10 sont en 1080p, dont 2 restaurés (les 2 autres sont des upscales) - les deux films restaurés sont ses deux premiers, 1972-1974. Le court Flammes de 1998 vaut à peine mieux qu'une VHS. Le film de 2008 aurait vraiment mérité un vrai master HD car c'est un de ses plus réussis. Et les 2 films de 2018 "HD" sont en 1080i.
Bref, retenez que les deux films naphta valent le coup, à la rigueur les deux suivants, mais 60% du programme aurait pu se contenter d'un DVD. J'imagine qu'ils ont fait avec ce qu'ils avaient, mais j'aurais préféré avoir les restaurations avec L'ange et le reste en DVD only. Vu le prix de vente, je trouve ça très, très limite....
Vivement en HD (STA/STF)
Joseph L. Mankiewicz - Sleuth / Jan Švankmajer - The Complete Short Films / Ladislas Starewitch - The Tale of the Fox & Other Fantastic Tales /Abel Gance - Napoléon / Koji Wakamatsu - Endless Waltz / Jiří Barta - Krysař / Raymond Bernard - Le miracle des loups / Luis García Berlanga - Plácido / Oldřich Lipský - Happy End / Masaki Kobayashi - Samurai Rebellion / Akira Kurosawa - Dersou Ouzala... etc.!
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Cliffhanger réalisé par Renny Harlin en 4KUHD peut rejoindre la catégorie déception / gros ratage des sorties de StudioCanal à coté de Fog et Le Prince des ténèbres.
Ca fait quand même beaucoup de leur part dans un laps de temps réduit.
Beaucoup de scènes affichent un fort scintillement ainsi que l'apparition d'un gros grain fourmillant excessif. La plupart du temps dans les ciels, et ce dès l'introduction lorsque Gabe (Sylvester Stallone) se trouve au sommet du pic, aidant la pauvre Sarah à s'harnacher au filin.
On retrouve le scintillement dans les arrières plans lors du passage dans les bureaux Fédéraux où Travers (Rex Linn) ferme les valises contenant les billets de 1000$ et se voit demander par son supérieur d'accueillir un passager supplémentaire.
Et voilà donc le film lancer et ce scintillement et ce gros grain qui vont venir pointer leurs nez à plusieurs occasions, le grain surtout dans les arrières plans de ciel bleu, de pluie et de neige tombantes.
La palme revenant à la scène où Travers et Kynette (Leon Robinson) s'engueulent à propos de la 2ème valise à trouver. Un halo blanc scintillant apparait et entoure les 2 acteurs. et la définition lâche complètement.
Des défauts particulièrement visibles car tout n'est pas à jeter durant les 2 heures du film et que ceux ci apparaissent et disparaissent de façon aléatoire.
" Accélère minouche !" - Michel Poiccard /// “When you have to shoot shoot don't talk” - Tuco Benedicto Pacifico Juan Maria Ramirez /// "Alors tu vois où elles nous ont menées tes ondes négatives, tu devrais avoir honte.” - Oddball dit Le Cinglé /// "Wake up !... Time to die" - Leon Kowalski /// "C'est quoi minouche ?" - Patricia Franchini
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Alors peut-être vaut-il mieux se tourner vers le disque US distribué par Sony ?
- tenia
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Re: Nos visionnages : vite fait (index P.1)
Même restauration mais encodage différent, donc peut être. Les encodages de leurs UHDs sont quand même top.