Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
C'est vrai que c'est un film qui donne envie.
J'en ai entendu parler pour la première fois en 1985 quand était sorti Razorbak de Mulcahy (qui lui s'avère bien loin du chef d'oeuvre!).Tavernier donne envie également quand il le mentionne.
Avec Naked prey de Cornel Wilde , Savage dawn de Kaufman ou encore Sorcerer de Friedkin, il fait partie de ces attentes fantasmées à la puissance 100 à force d'être différées snirf!!!
Mais qu'attend Wild side?
J'en ai entendu parler pour la première fois en 1985 quand était sorti Razorbak de Mulcahy (qui lui s'avère bien loin du chef d'oeuvre!).Tavernier donne envie également quand il le mentionne.
Avec Naked prey de Cornel Wilde , Savage dawn de Kaufman ou encore Sorcerer de Friedkin, il fait partie de ces attentes fantasmées à la puissance 100 à force d'être différées snirf!!!
Mais qu'attend Wild side?
- G.T.O
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Découvert en entier hier soir.
Wake in fright est une charge d'une incroyable violence contre la culture -dégénérée- australienne à travers le parcours initiatique d'un prof confronté accidentellement à l'Australie profonde et à ses pulsions. Voyage malsain et hypnotique, le film réussit le pari de parvenir à susciter le malaise en procédant par accumulation de détails dérangeants et sordides ( la succesion de bierre que l'on vide, crache, projette, les rires, l'ennui qui conduit à la chasse aux kangourous ), où tous les personnages rivalisent de bestialité. Dans sa diatribe contre l'Australie rurale, Ted Kotcheff ne nous épargne rien : les paysages respirent l'inhospitalité et l'ennui faisant écho aux moeurs -barbares- australiennes. Imbéciles, acculturés, meurtriers, violeurs en puissance, les australiens sont ainsi présentés comme un peuple dégénéré, sale, à la courtoisie et hospitalité intrusives, s'offusquant davantage d'un refus à une invitation à boire que d'un comportement violent. Cette misanthropie, ce portrait sans nuance, est à la fois, la force et limite du film. Néanmoins, un voyage marquant.
Wake in fright est une charge d'une incroyable violence contre la culture -dégénérée- australienne à travers le parcours initiatique d'un prof confronté accidentellement à l'Australie profonde et à ses pulsions. Voyage malsain et hypnotique, le film réussit le pari de parvenir à susciter le malaise en procédant par accumulation de détails dérangeants et sordides ( la succesion de bierre que l'on vide, crache, projette, les rires, l'ennui qui conduit à la chasse aux kangourous ), où tous les personnages rivalisent de bestialité. Dans sa diatribe contre l'Australie rurale, Ted Kotcheff ne nous épargne rien : les paysages respirent l'inhospitalité et l'ennui faisant écho aux moeurs -barbares- australiennes. Imbéciles, acculturés, meurtriers, violeurs en puissance, les australiens sont ainsi présentés comme un peuple dégénéré, sale, à la courtoisie et hospitalité intrusives, s'offusquant davantage d'un refus à une invitation à boire que d'un comportement violent. Cette misanthropie, ce portrait sans nuance, est à la fois, la force et limite du film. Néanmoins, un voyage marquant.
- El Dadal
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
C'est intéressant cette perception que tu as pu avoir du film. De mon côté, je n'y ai jamais vu de discours anti-aussie. Il y a certes un clivage régional, mais guère plus. Et je n'ai pas vraiment ressenti de jugement sur ses personnages de fiction de la part de Kotcheff. A quelques variations près, ça aurait pu se passer dans son Canada natal (certes, on y trouve moins de Kangourous).
- Alphonse Tram
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
C'est ce que je pense aussi.El Dadal a écrit :C'est intéressant cette perception que tu as pu avoir du film. De mon côté, je n'y ai jamais vu de discours anti-aussie. Il y a certes un clivage régional, mais guère plus. Et je n'ai pas vraiment ressenti de jugement sur ses personnages de fiction de la part de Kotcheff. A quelques variations près, ça aurait pu se passer dans son Canada natal (certes, on y trouve moins de Kangourous).
C'est l'intrusion d'une personne dans un monde qu'elle ne connait pas, avec des us et coutumes différentes, mais à aucun moment je n'ai senti de haine ou de violence à son encontre. le coté intrusif des autochtones est, il est vrai, assez dérangeant. L'alcool libérant les pulsions, on en arrive à l'orgie nocturne, mais là encore je n'ai jamais senti de menaces. La preuve, le fusil offert vers la fin. C'est la finesse de cette réalisation de ne pas porter de jugement envers les pedzouilles je trouve. C'est juste la réalité d'une vie dans un trou perdu, comment peut-il en être autrement ?, et je crois aussi que de ce point de vue les scènes d'explications avec doc Pleasance sont importantes.
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- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Alphonse Tram a écrit :C'est ce que je pense aussi.El Dadal a écrit :C'est intéressant cette perception que tu as pu avoir du film. De mon côté, je n'y ai jamais vu de discours anti-aussie. Il y a certes un clivage régional, mais guère plus. Et je n'ai pas vraiment ressenti de jugement sur ses personnages de fiction de la part de Kotcheff. A quelques variations près, ça aurait pu se passer dans son Canada natal (certes, on y trouve moins de Kangourous).
C'est l'intrusion d'une personne dans un monde qu'elle ne connait pas, avec des us et coutumes différentes, mais à aucun moment je n'ai senti de haine ou de violence à son encontre. le coté intrusif des autochtones est, il est vrai, assez dérangeant. L'alcool libérant les pulsions, on en arrive à l'orgie nocturne, mais là encore je n'ai jamais senti de menaces. La preuve, le fusil offert vers la fin. C'est la finesse de cette réalisation de ne pas porter de jugement envers les pedzouilles je trouve. C'est juste la réalité d'une vie dans un trou perdu, comment peut-il en être autrement ?, et je crois aussi que de ce point de vue les scènes d'explications avec doc Pleasance sont importantes.
Je me suis mal exprimé. Ce n'est pas une critique globale de l'Australie, mais bel et bien une charge contre l'Australie rurale, profonde, celle des bouseux. La force du film est de nous la faire découvrir en même temps que le personnage principal. A travers ses yeux de naif. J'ignore si le film juge ou pas ces péquenots, mais il est me parait difficile d'ignorer la violence et l'unilatéralité de la critique.
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Honnetement, je ne peux dire si c'est une charge contre l'Australie profonde. Ça a certainement été interprété ainsi par beaucoup de personne vu la carrière du film. Je pense que chacun peut s'en faire une idée propre selon ses convictions ou son expérience, car tout de même, le prof n'est pas non plus très netG.T.O a écrit :Je me suis mal exprimé. Ce n'est pas une critique globale de l'Australie, mais bel et bien une charge contre l'Australie rurale, profonde, celle des bouseux. La force du film est de nous la faire découvrir en même temps que le personnage principal. A travers ses yeux de naif. J'ignore si le film juge ou pas ces péquenots, mais il est me parait difficile d'ignorer la violence et l'unilatéralité de la critique.
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Entièrement d'accord.AtCloseRange a écrit :Outback, c'est le parcours d'un professeur coincé dans une petite ville de l'Outback et qui y perd progressivement ses repères. On retrouve ici un thème cher au cinéma australien et plus généralement au cinéma 70s avec cette opposition civilisation-nature (Delivrance, le Peckinpah des Chiens de Paille ou The Walkabout). On peut même dire que film préfigure ce mouvement puisqu'il les précède.
Donald Pleasance y est extraordinaire en médecin "défroqué", alcoolique et jouisseur dans un second rôle dont il a le secret.
Pour revenir sur les raisons de l'invisbilité du film, il y a semble-t-il 2 raisons: le portrait peu flatteur de l'Autsralie (peu apprécié par les autorités à l'époque) et surtout, la représentation de vraies scènes de chasse au kangourou. Même si elles sont là pour dénoncer ce comportement, elles laissent vraiment un goût amer dans la bouche.
Un film aux enjeux ténus mais dont la sensitivité fascine. L'impression que la chaleur nous colle à la peau et que le soleil nous tape sur le crâne. Le glissement vers l'aliénation est très prenant et rappelle d'autres films australiens aux frontières du bizarre où les espaces naturels jouent aussi un rôle déterminant (Pique-nique à Hanging Rock ou Long weekend). Donald Pleasance est fidèle à lui-même.
Quant au portrait de l'Australie reculée, je le trouve étonnamment nuancé. Certes les rednecks chasseurs sont montrés comme des alcoolos arriérés, les tripots sont infestés de parieurs, et les rares femmes du film semblent de petite vertu, mais d'un autre côté l'hospitalité et le désintéressement des personnages rencontrés par John sont là aussi et renvoient l'image d'une communauté de gens simples mais pas simplets. Une "philosophie" de vie qu'a bien du mal à comprendre le personnage principal, d'ailleurs. Quant aux chasses aux kangourous, c'est effectivement aussi délicat à appréhender que les séquences de Cannibal Holocaust. Disons que la "justification" de l'injustifiable chez Kotcheff me semble moins évidente que chez Deodato, mais là encore c'est l'éternel débat.
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Avec la sortie imminente du film chez Eureka fin mars, je me demandais si un éditeur français (au hasard Carlotta ) a acheté les droits pour le sortir chez nous?
Merci pour la réponse les Classikiens
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Wild Side de mémoire.
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
La chronique d'Olivier Bitoun à l'occasion de la sortie du film en bluray chez La Rabbia/Wild Side.
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Vu ce soir. Grand film malade à déconseiler aux amis des zanimos et aux misandres. J'ai lu la chronique d'Olivier Bitoun à l'instant, une fois encore, raccord
Voir ça un soir de canicule rajoute à l'immersion. Une histoire qui me rappelle combien je dégueule moi aussi ces réunions de mâles qui se la mesurent continuellement. Très belle découverte.
Voir ça un soir de canicule rajoute à l'immersion. Une histoire qui me rappelle combien je dégueule moi aussi ces réunions de mâles qui se la mesurent continuellement. Très belle découverte.
N'avoir rien accompli et mourir en surmené.
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
"Wake In Fright" est un excellent constat de la dégénérescence de notre civilisation dite "civilisée", à travers toutes ses dérives anti-physiologiques (alimentaires, de stimulations diverses comme le jeu ou la tuerie animale, etc). Le film de Kotcheff n'a pas pris une ride tout en complétant idéalement le tableau apporté par ce cinéma brut de décoffrage que nous a offert le début des 70's ("Déliverance", "Orange Mécanique", etc).
8,5/10
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
L'histoire d'un instituteur australien qui enseigne en plein désert. Il décide de revenir à Sydney pour les vacances de Noel, afin d'y rejoindre sa petite amie. Sa dernière halte dans une petite ville perdue en plein Outback, va rapidement tourner au cauchemar sans fin.
Découverte totale de ce film dont je ne connaissais absolument pas l'existence. C'est son réalisateur Ted Kotcheff qui m'y a attiré, l'envie de découvrir un autre film que Rambo (que j'adore!).
Véritable choc dont le temps ne semble pas avoir eu d'emprise. Le film ressemble parfois à un documentaire, avec une photo très réaliste qui laisse le spectateur s'immerger dans une moiteur et une chaleur étouffante. L'envie de boire aussi une bière , cette ville qui s'ennivre ferait presque passée n'importe quelle fête de la bière pour un goûter d'anniversaire. L'envie d'arrêter de boire arrive vite quand même
Le regard mi-amusé mi dédaigneux du personnage central au début du film c'est le même que j'ai eu au début, ne sachant pas vers quoi le film allait basculer. Puis c'est le cauchemar sans fin (attention ce n'est pas un slasher), on veut en sortir comme le personnage mais comme tout cauchemar cela semble impossible. La tres bonne mise en scène participe bien à l'angoisse, du montage (les ellipses ou trou liés à l'instituer, la chasse, cette scene....) au son (parfois les cris) ou l'absence de son (étonnante scène, dans la voiture, dénuée des dialogues des personnages et dont seul le son de la voiture dévalant sur la route persiste), des dialogues qui peuvent être réduits au bruit des coups donnés, aux rires qui ressemblent à des cris de terreurs, de détresse. Malaise assuré. Le film ose, et sans aller jusqu'à l'horreur facile qu'on peut désormais connaître dans n'importe quel slasher .
La musique de John Scott (Greystocke) participe bien également à la déroute du personnage, j'ai souvent penser que le score de Goldsmith pour la Planete des singes aurait également été parfait.
Belle découverte. À voir!
Découverte totale de ce film dont je ne connaissais absolument pas l'existence. C'est son réalisateur Ted Kotcheff qui m'y a attiré, l'envie de découvrir un autre film que Rambo (que j'adore!).
Véritable choc dont le temps ne semble pas avoir eu d'emprise. Le film ressemble parfois à un documentaire, avec une photo très réaliste qui laisse le spectateur s'immerger dans une moiteur et une chaleur étouffante. L'envie de boire aussi une bière , cette ville qui s'ennivre ferait presque passée n'importe quelle fête de la bière pour un goûter d'anniversaire. L'envie d'arrêter de boire arrive vite quand même
Le regard mi-amusé mi dédaigneux du personnage central au début du film c'est le même que j'ai eu au début, ne sachant pas vers quoi le film allait basculer. Puis c'est le cauchemar sans fin (attention ce n'est pas un slasher), on veut en sortir comme le personnage mais comme tout cauchemar cela semble impossible. La tres bonne mise en scène participe bien à l'angoisse, du montage (les ellipses ou trou liés à l'instituer, la chasse, cette scene....) au son (parfois les cris) ou l'absence de son (étonnante scène, dans la voiture, dénuée des dialogues des personnages et dont seul le son de la voiture dévalant sur la route persiste), des dialogues qui peuvent être réduits au bruit des coups donnés, aux rires qui ressemblent à des cris de terreurs, de détresse. Malaise assuré. Le film ose, et sans aller jusqu'à l'horreur facile qu'on peut désormais connaître dans n'importe quel slasher .
La musique de John Scott (Greystocke) participe bien également à la déroute du personnage, j'ai souvent penser que le score de Goldsmith pour la Planete des singes aurait également été parfait.
Belle découverte. À voir!
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Salut à tous,
Je possède le Blu-ray du film et je souhaite l’échanger contre le DVD du même film.
Je précise qu'il est sous son blister d’origine.
Faites-moi signe si vous êtes intéressés.
Je possède le Blu-ray du film et je souhaite l’échanger contre le DVD du même film.
Je précise qu'il est sous son blister d’origine.
Faites-moi signe si vous êtes intéressés.
- harry
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Re: Outback - Wake in Fright (Ted Kotcheff - 1971)
Decouvert recemment et peu etre que a force d'en entendre les louanges ca m'a influence mais au final ca m'a soutire qu'un "Mwe bof..." .
Scenaristiquement c'est tres leger, on voit assez vite ou ca va et comment ca va se terminer et puis suivre les pochtrons de l'outback pendant 2h devient vite lassant et repetitif: c'est des australiens quoi!
J'en attendais beaucoup plus.
Ou fallait moins le survendre.
Scenaristiquement c'est tres leger, on voit assez vite ou ca va et comment ca va se terminer et puis suivre les pochtrons de l'outback pendant 2h devient vite lassant et repetitif: c'est des australiens quoi!
J'en attendais beaucoup plus.
Ou fallait moins le survendre.