De retour de vacances, Jeremy Fox enchaîne avec le premier film du grand Elia Kazan.
Une curiosité à découvrir (on en dira pas autant du packaging spongieux d'Opening...)
Le Lys de Brooklyn
Le Lys de Brooklyn (Elia Kazan, 1945)
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Quand j'ai découvert Le Lys de Brooklyn, je ne savais pas qu'Elia Kazan en était le réalisateur.... car j'avais pris le film en cours de route. Je pense qu'il serait vain d'aller chercher la substantifique moelle de l'oeuvre de Kazan dans ce premier essai ou de partir dans des analyses thématiques sans objet. Le regard d'un artiste qui connaît bien les gens de cette classe sociale est bel et bien présent. En dehors de ça, il s'agit avant tout d'un très bon film, qui bénéficie d'une mise en scène belle et parfois ample (même en huis clos) comme pouvait l'être les productions de haut standing des grands studios de l'époque - avec en effet le concours de ce grand directeur de la photo que fut Leon Shamroy (Ambre, Le Cardinal, La Colline de l'adieu, Cléopâtre, La Planète des Singes, Le Cygne noir, Péché mortel, Le Roi et moi) -, et avec ce soucis pour les petites gens mais sans misérabilisme ni sensiblerie. Le portrait de cette adolescente à la fois trop mature et perdue dans des rêves d'enfant est magnifique et témoigne d'une très grande sensibilité du cinéaste pour ce personnage. D'ailleurs tous les personnages de ce film sont superbement croqués, même dans leur dureté.
- Zelda Zonk
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Je remonte ce topic, car une copine, enchantée, m'a dit avoir découvert le film lundi soir. Et hier (mardi), elle n'a cessé de m'en parler pendant toute la journée, éveillant du coup ma curiosité.
Ce matin, en me connectant sur Classik, je vérifie et là bingo !, le film est chroniqué par Jeremy ! Du coup, j'ai lu la chronique et l'ai imprimé pour mon amie. Quant à moi, cela m'a donné envie de découvrir ce premier film de Kazan.
Ce matin, en me connectant sur Classik, je vérifie et là bingo !, le film est chroniqué par Jeremy ! Du coup, j'ai lu la chronique et l'ai imprimé pour mon amie. Quant à moi, cela m'a donné envie de découvrir ce premier film de Kazan.