Dvdclassik : cinéma et DVD

Old / M. Night Shyamalan _ 5

Titane: 5/10
Ah oui quand même...

Benedetta de Paul Verhoeven 5/10
Titane de Julia Ducournau 3/10

Les sentiers de l'oubli : 7/10
Dream Horse : 6,5/10
Nadia, Butterfly : 6/10
Pour l'éternité : 6/10
Le soupir des vagues : 5,5/10

Ma contribution tardive :

La Mission (Greengrass - 10/02/21) 6,5/10

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Le film travaille habilement la mythologie du western à travers cette exigence de la "narration", fût-elle biaisée. Agréablement surpris, également, de recroiser Helena Zengel, fascinante interprète de Benni.

Palm Springs (Barbakow - 12/02/21) 5/10

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L'aspect comédie, pop et coloré, est sympa, surtout porté par Cristin Milioti. Après, on commence à avoir fait un peu le tour des histoires de boucles temporelles, non ?

Petite maman (Sciamma - 02/06/21) 6,5/10

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Etonnant de voir Sciamma, après la jeune fille en feu, s'orienter vers un si petit projet, aussi minimal, aussi anodin presque. En tout cas, j'ai trouvé ça joli dans sa photo automnale, assez délicat dans son traitement et j'aime assez cette irruption en douce du fantastique, presque sans le dire. Toutes proportions gardées (notamment au niveau des acteurs ou la résonance politique), j'ai pensé à Cria Cuervos.

Nomadland (Zhao - 09/06/21) 7/10

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Un film qui bénéficie parfaitement de sa belle hauteur du point de vue, jamais misérabiliste ni prosélyte, et de l'ahurissante présence de Frances McDormand.

Gagarine (Liatard & Trouilh - 23/06/21) 6,5/10

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Je surnote peut-être un peu, mais la manière dont les réalisateurs de ce premier long-métrage tiennent leur parti-pris (fort) de mise en scène qui consiste à filmer l'immeuble comme un vaisseau spatial m'a vraiment impressionné. Dommage, finalement, que dans un film qui parvient si bien à donner chair à son cadre ou à peindre des silhouettes furtivement émouvantes, la caractérisation des personnages principaux (le personnage de Finnegan Oldfield m'a agacé, je ne crois à pas à l'idylle, des personnages essentiels sont un peu oubliés en cours de route...) manque de consistance.

Annette (Carax - 07/07/21) 6,5/10

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Je ne partais certes pas convaincu - Holy Motors m'avait été assez pénible - et j'ai plutôt marché. Déjà, cette fois, le film me raconte quelque chose (notamment en tant que jeune père). Ensuite, je trouve la radicalité du style moderne expressionniste de la mise en scène de Carax bien mieux tenue. Après, désolé pour les fans, mais il y a certains moments de comédie musicale (par exemple le moment où Henry accueille l'accompagnateur et lui chante "tiens, suis-moi, on va à l'étage, je vais te montrer quelque chose, attention à la marche") qui m'ont fait penser à ça

Benedetta (Verhoeven - 09/07/21) 7/10

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Moi qui suis assez peu client de Verhoeven par ailleurs, j'ai plutôt été (modestement) séduit. Le film tient, dans sa première partie, moins du drame historique que de la comédie satirique, avec une approche sans ambages (d'aucuns diraient sans subtilité) qui ne refuse pas le grotesque, que ce soit dans l'approche très ironique des "visions" de Benedetta ou dans le regard cynique et moderne porté sur les agissements des autorités religieuses. Les séquences sexuelles, elles aussi, procèdent d'une forme de distance ironique qui tue un peu l'érotisme. Après une scène (la nuit de la comète) qui ne craint pas le ridicule (mais qui m'a quand même collé quelques frissons), le film dérive vers le "film d'inquisition" à travers le personnage du nonce joué par Lambert Wilson. D'ailleurs, l'interprétation a contribué à mon plaisir (je ne connaissais pas Daphné Patakia ou Louise Chevillotte, je retiens leurs noms), Charlotte Rampling en particulier n'ayant rien perdu de son magnétisme fascinant.

Titane (Ducournau- 14/07/21) 7,5/10

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Je trouve que la réalisatrice franchit encore un palier, tout en restant cohérente avec son univers. Le film démarre tambour battant, rutilant, excessif, violent, sanglant, mais révèle son vrai coeur bien plus tard, avec l'arrivée du personnage de Vincent Lindon, un homme qui a avant tout besoin de croire, d'être dupe, même s'il sait que c'est faux. Et là, Julia Ducournau parle d'elle et de sa conception du cinéma : zéro cynisme ou zéro ambition méta chez elle. Elle croit profondément, viscéralement, à ce qu'elle raconte, quand bien même il s'agit d'une fille qui fait l'amour avec une Cadillac. A mon sens, le film est donc assez drôle, mais le rire ne va jamais en opposition avec le malaise. Ils s'accompagnent, s'étreignent, et donnent finalement quelque chose de très imparfait, parfois exagéré ou maladroit, mais finalement de très touchant.

Onoda (Harari - 21/07/21) 5,5/10

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L'histoire est folle, l'image très classe, l'interprétation impeccable, mais le film a deux défauts importants pour moi. Premièrement, je ne trouve pas sa narration à la hauteur de cette histoire tellement incroyable : on oscille entre un point de vue qui colle pleinement aux protagonistes (on ignore que la guerre est finie, il faut continuer), et dans ce cas, c'est trop anecdotique, et un point de vue détaché (nous spectateurs savons que la guerre est finie) et le sentiment d'absurdité de la situation ressort insuffisamment. Deuxièmement, je crois que c'est la première fois depuis vingt ans que je vais voir un film sans avoir préalablement regardé sa durée, et j'ai regretté, surtout sur la dernière heure. Etait-ce vraiment utile de tant délayer ?

A l'abordage (Brac - 21/07/21) 7/10

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Un joli film estival, qui aime ses personnages même dans leurs conneries, leurs contradictions, leurs petites lâchetés, et qui m'a plongé dans une modeste mais douce euphorie.

Pas encore sortis

Drive my car (Ryusuke Hamaguchi - 18 août) 8/10

France (Bruno Dumont - 25 août) 4/10

Blue Bayou (Justin Chon - 15 septembre) 5,5/10

Tout s'est bien passé (François Ozon - 22 septembre) 5/10

Les Olympiades (Jacques Audiard - 3 novembre) 6/10

Compartiment 6 (Juho Kuosmanen - 3 novembre) 6,5/10

Haut et fort (Nabil Ayouch - 10 novembre) 5,5/10

Tre piani (Nanni Moretti - 10 novembre) 5,5/10

La fièvre de Petrov (Kirill Serebrennikov - 1er décembre) 7/10

Un héros (Asghar Farhadi - 22 décembre) 8/10

Tromperie (Arnaud Despleschin - 29 décembre) 6,5/10

Profession du père : 5/10
Les voleurs de chevaux : 7/10

Le Dernier Mercenaire (Netflix) 4/10

Mise à jour du classement :

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Ils leur manquent une note:

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Braquage Final (The Vault)
Demon Slayer - Kimetsu no Yaiba - Le film : Le train de l'infini
L'étreinte
Le Dernier voyage
Balloon
Hospitalité
Billie Holiday, une affaire d'état
Les séminaristes
Suzanna Andler
Il n'y aura plus de nuit
Sous le ciel d'Alice
La Fille au Ventre Rond (Kuessipan)
Journal de Tûoa
A Classic Horror Story
Space Jam - Nouvelle ère
Milla

Bonne mère : 7/10

Bien plus convaincant que son précédent (et 1er) film. Une épatante actrice principale, un rendu très réussi des discussions familiales (souvent improvisées). Mais peut-être quelques détails d'écriture un peu faciles ou un peu appuyés, quelques exagérations ou des à côtés presque trop longs (les scènes autour du business des call girls). Vivement la suite!

Fast and furious 9 : 2,5/10

Bloody milkshake : 2/10
Le dernier mercenaire : 1/10

Fear Street 94 : 0,5/10 (pour l'encre et le papier comme on disait à l'école)

Ah ah et moi qui croyais avoir été trop sévère.

J'ai essayé celui qui se passe en 78. Ça m'est tombé des yeux au bout de 20 minutes.
J'ai juste noté qu'il y avait un chien qui s'appelle Major Tom.