Mise à mort des auteurs ? (Cahiers du Cinéma inside...)
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Mise à mort des auteurs ? (Cahiers du Cinéma inside...)
Dans le bloc-notes de Thierry Jousse qui ouvre Les Cahiers du Cinéma ce mois ci, le journaliste se fend d'une opposition Dogville/Matrix Reloaded. Louant les mérites du blockbuster d'un côté et descendant le côté "super auteur" du dernier Von Trier...
Quoi que l'on pense des deux films (je n'ai d'ailleurs pas vu Matrix...), cette attitude critique semble être le point culminant d'une pose qui me semble de plus en plus dangereuse...
En effet, une partie de "l'intelligentsia" cinéphile semble prendre un malin plaisir à vouloir rejouer ce qui s'est passé du temps de la Nouvelle Vague : opposer les la culture populaire à une certaine idée de l'Art afin de féderer une politique des auteurs qui trouverait sa raison d'être non pas dans les soit disant "grands films" mais au contraire dans les produits à priori "impurs" (grosses machines hollywoodiennes, séries b...).
Loin de moi l'idée de remettre ceci an cause... Cette politique ayant depuis belle lurette fait ses preuves : qui oserait aujourd'hui affirmer que Hitchcock n'était qu'un vulgaire amuseur public ?
MAIS VOILA ! Ce qui se joue aujourd'hui me semble beaucoup plus pernicieux... Il ne s'agit plus - à mon humble avis - de découvrir des auteurs (comme ce fut le cas encore récemment avec Carpenter ou Eastwood...) mais au contraire de détruire cette notion.
Ainsi lorsque Jousse attribue à Von Trier le statut de "super auteur" (que l'on peut aussi attribuer à Almodovar, Lynch... Bref tous les cinéastes stars de Cannes) , on voit bien ce que cela a de péjoratif.
Le critique des Cahiers, de Libé voire des Inrocks (il y a bien entendu des exceptions) ne supporte plus cet auteur démiurge - dont le modèle absolu pourrait être Kubrick - qui impose son univers et en régie les lois propres !
Pourquoi ? Parce-que le critique est bien souvent un être sans imagination...
Désormais il préfère porter au nu ces "auteurs" en plastique à base de théories fumeuses du genre : "mise en scène ouverte à l'accident", "cinéma karaoké" (????)... Ainsi on a vu dernièrement apparaître la pire chose qui soit : l'académisme d'auteur. Il s'agit de proposer une non histoire soutenue par une non mise en scène...
Par ailleurs les seuls cinéastes trouvant grâce à leurs yeux en dehors de cette nouvelle forme sont des types tellement mainstream qu'ils en deviennent "fascinants" à force de s'éclipser sous les lois de la convention hollywoodienne !
J'ai la forte impression qu'il s'agit là de mettre à mort l'auteur. Afin d'accorder le cinéma à leur regard médiocre, sans fantaisie, sans véritables prises de risque et sans imagination...
Peut-être je me trompe... J'ai tout de même l'impression que la critique cinéma traverse une véritable crise et peine à se forger une véritable identité fédératrice.
Une preuve ? Il ya deux mois Les Cahiers faisaient la une avec Dogville et proposait une interview fleuve de Von Trier...
Qui a dit ridicule ?
Quoi que l'on pense des deux films (je n'ai d'ailleurs pas vu Matrix...), cette attitude critique semble être le point culminant d'une pose qui me semble de plus en plus dangereuse...
En effet, une partie de "l'intelligentsia" cinéphile semble prendre un malin plaisir à vouloir rejouer ce qui s'est passé du temps de la Nouvelle Vague : opposer les la culture populaire à une certaine idée de l'Art afin de féderer une politique des auteurs qui trouverait sa raison d'être non pas dans les soit disant "grands films" mais au contraire dans les produits à priori "impurs" (grosses machines hollywoodiennes, séries b...).
Loin de moi l'idée de remettre ceci an cause... Cette politique ayant depuis belle lurette fait ses preuves : qui oserait aujourd'hui affirmer que Hitchcock n'était qu'un vulgaire amuseur public ?
MAIS VOILA ! Ce qui se joue aujourd'hui me semble beaucoup plus pernicieux... Il ne s'agit plus - à mon humble avis - de découvrir des auteurs (comme ce fut le cas encore récemment avec Carpenter ou Eastwood...) mais au contraire de détruire cette notion.
Ainsi lorsque Jousse attribue à Von Trier le statut de "super auteur" (que l'on peut aussi attribuer à Almodovar, Lynch... Bref tous les cinéastes stars de Cannes) , on voit bien ce que cela a de péjoratif.
Le critique des Cahiers, de Libé voire des Inrocks (il y a bien entendu des exceptions) ne supporte plus cet auteur démiurge - dont le modèle absolu pourrait être Kubrick - qui impose son univers et en régie les lois propres !
Pourquoi ? Parce-que le critique est bien souvent un être sans imagination...
Désormais il préfère porter au nu ces "auteurs" en plastique à base de théories fumeuses du genre : "mise en scène ouverte à l'accident", "cinéma karaoké" (????)... Ainsi on a vu dernièrement apparaître la pire chose qui soit : l'académisme d'auteur. Il s'agit de proposer une non histoire soutenue par une non mise en scène...
Par ailleurs les seuls cinéastes trouvant grâce à leurs yeux en dehors de cette nouvelle forme sont des types tellement mainstream qu'ils en deviennent "fascinants" à force de s'éclipser sous les lois de la convention hollywoodienne !
J'ai la forte impression qu'il s'agit là de mettre à mort l'auteur. Afin d'accorder le cinéma à leur regard médiocre, sans fantaisie, sans véritables prises de risque et sans imagination...
Peut-être je me trompe... J'ai tout de même l'impression que la critique cinéma traverse une véritable crise et peine à se forger une véritable identité fédératrice.
Une preuve ? Il ya deux mois Les Cahiers faisaient la une avec Dogville et proposait une interview fleuve de Von Trier...
Qui a dit ridicule ?
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Je trouve que cette attitude des cahiers est risible.Il y a quelques mois ils mettaient Popstars dans leur top 10 des meilleurs films de l'année.Je pense que cela doit faire "hype" de faire l'éloge des blockbuster et de la télé réalité et détruire les films d'auteurs (je n'ai pas lu l'article que tu cites). Une certaine façon de se "faire" une image de marque, une fausse réputation anti-conformiste, pour se démarquer des autres.

“See what you have to ask yourself is what kind of person are you? Are you the kind that sees signs, sees miracles?"
(ex JarJar)
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A travers Popstars, ils font l'éloge de la "perte de l'auteur" ou de la "mise en scène ouverte à l'accident"...JarJar a écrit :Je trouve que cette attitude des cahiers est risible.Il y a quelques mois ils mettaient Popstars dans leur top 10 des meilleurs films de l'année.Je pense que cela doit faire "hype" de faire l'éloge des blockbuster et de la télé réalité et détruire les films d'auteurs (je n'ai pas lu l'article que tu cites). Une certaine façon de se "faire" une image de marque, une fausse réputation anti-conformiste, pour se démarquer des autres.
En fait, ce qui devient grave avec les Cahiers c'est qu'un objet qui se prête à la théorie est forcément bon ! C'est idiot !
Si l'on suit jusqu'au bout cette démarche : Star Academy est un phénomène plus important que Rio Bravo...
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Oui mais le plus grave avec ce petit jeu, c'est que le critique nouveau aura tendance a préférer la bouteille vide à la pleine. Tout simplement parce que la vide, il pourra la remplir avec tout et n'importe quoi !Cosmo Vitelli a écrit :De plus n'importe quelle oeuvre se prête à la théorie, d'où l'impasse analytique dans laquelle ils se complaisent.
On arrive donc forcément à un discours totalement dépassionné : plutôt que de boire les oeuvres riches jusqu'à la lie le critique nouveau préfère s'en fabriquer de nouvelles et inexistantes.
Avec Loft Story, le critique peut enfin réaliser son fantasme : faire sa propre mise en scène et le cul sur une chaise !
A noter que des films tels Dogville ou Irreversible ne trouveront jamais grace à leurs yeux, tout simplement parce que ces derniers sont à prendre ou à laisser.
Ils préfèrent laisser parce que s'ils les prennent, c'est en pleine gueule !
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- Machino
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- Machino
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Je viens de lire cet article ecrit par Thierry Jousse et je le trouve vraiment pas terrible.
Je trouve meme que l'article se révèle un dernier cri de desespoir pathetique. En gros: les autres critiques(ceux qui font couler les cahier ) sont completement a la ramasse et completement en arriere sur leur temps par rapport aux superieurs intellectuellements que sont les critiques des Cahiers.
Dans ce bel article on nous montre une analyse de l' "(h)auteur" en plusieurs partis qui peuvent etre resumés comme ca:
1.Mr Jousse s'est enmerdé profondement durant Dogville("un pur exercice de style ennuyeux") et en deduit donc que Lars Von Trier est pretentieux parcequ'il s'amuse avec les comediens et joue le boss(allez savoir où il va chercher ça) et à presenter une vision cynique du monde, donc "pseudo-scandaleuse"(le vilain!). Des choses que les autres n'ont pu comprendre.
2.les cahiers sont en avance et comprennent tout mieux que tout le monde Matrix Reloaded. En gros Reloaded c'est genial(et personne n'a compris cela) parceque:
-il ya deux personnages sophistiqués ,donc parodiques , le film est donc une denonciation de l'adoration de l'"elu". Franchement comment trouver un argument aussi débile?
-le récit est mal foutu, donc le fait qu'il soit composé de petits evenements est forcément passionnant car les auteurs ont volontairement bousillés leur film et "remis" en cause leur univers.
-les Wachovski ont fait du pompage et que ceux qui naiment pas ils ont qu'a aller se faire voir.
-le film est "contemporain" Argumentation??
-le film met en oeuvre un mix d'action, de cyber-univers et de reference religieuses.
-parcequ'il a été mal recu ailleurs, au contraire de Dogville que les cahiers ont "osés" dédaigner(les rebelles!)
En GROS: Reloaded est genial parceque les realisateurs ont plombés leur univers ce qui est contradictoire avec le systeme hollywoodien(ils n'ont rien decouvert en l'occurence car ce sont des argument ressassés et ressassés) et que le film est ultra-ludique. Franchement je ne trouve pas que ces arguments montrent un quelconque genie de ce film, mais si quelqu'un etait pret a me corriger pour mieux m'expliquer la critique
3. Une mise en valeur de Paul Shrader(que je ne connais pas en tant que cineaste donc je ne juge pas) et le reproche du Scorsese actuel qui est encensé par tous les critiques(LE point sur lequel je suis tout a fait d'accord).
4. La presentation d'un realisateur inconnu comme modèle d'auteur. Lui qui utilisait le (h) de pretentieux n'est-ce pas le comble qu'il finisse avec la presentation d'un obscur realisateur que personne ne connait a part les "cinéphiles historiques". Belle conclusion
Je trouve franchement que cet article montre a quel point le critique sait facilement broder a partir de rien pour sortir des critiques sans argument: accuser si betemetent Lars Von Trier parcequ'il a "osé"(vade retro satanas ) engager de grands acteurs.
Bon je sais que je vais me faire dechirer mais c'est pas grave
A noter que ct la deuxieme fois que j'achetais les cahiers. J'avais deja trouvé l'article sur les nouveaux realisateurs americains douteux:
-Fincher ininteressant car uniquement negatif(on n'a pas du voir les memes films de lui)
-Amenabar bon realisateur mais pas très interessant intellectuellement parcequ'il aurait pu ouvrir un dialogue USA-Europe: Quelle debilité
-Les freres Farrelly font preuve d'un vrai genie. C'est vrai que je me marre avec leurs films mais faut pas deconner
-Mendes bcp trop surestimé. Je ne suis pas un fan de Mendes mais je trouve qu'il a fait deux très bon films.
Mais quand meme de bonnes critiques sur Aronovsk, Bay(bah oui je m'attendais a tout) ou Michael Moore...
J epense que je continuerais de lire ce magazine car c'est le seul que j'ai trouvé qui dispose de vrais articles. Parceque quand on lit d'autres "specialistes" on a bcp tro l'impression d'immense pub.
Je pense comme toi Simone que cet artice vaut pas grand chose
Je trouve meme que l'article se révèle un dernier cri de desespoir pathetique. En gros: les autres critiques(ceux qui font couler les cahier ) sont completement a la ramasse et completement en arriere sur leur temps par rapport aux superieurs intellectuellements que sont les critiques des Cahiers.
Dans ce bel article on nous montre une analyse de l' "(h)auteur" en plusieurs partis qui peuvent etre resumés comme ca:
1.Mr Jousse s'est enmerdé profondement durant Dogville("un pur exercice de style ennuyeux") et en deduit donc que Lars Von Trier est pretentieux parcequ'il s'amuse avec les comediens et joue le boss(allez savoir où il va chercher ça) et à presenter une vision cynique du monde, donc "pseudo-scandaleuse"(le vilain!). Des choses que les autres n'ont pu comprendre.
2.les cahiers sont en avance et comprennent tout mieux que tout le monde Matrix Reloaded. En gros Reloaded c'est genial(et personne n'a compris cela) parceque:
-il ya deux personnages sophistiqués ,donc parodiques , le film est donc une denonciation de l'adoration de l'"elu". Franchement comment trouver un argument aussi débile?
-le récit est mal foutu, donc le fait qu'il soit composé de petits evenements est forcément passionnant car les auteurs ont volontairement bousillés leur film et "remis" en cause leur univers.
-les Wachovski ont fait du pompage et que ceux qui naiment pas ils ont qu'a aller se faire voir.
-le film est "contemporain" Argumentation??
-le film met en oeuvre un mix d'action, de cyber-univers et de reference religieuses.
-parcequ'il a été mal recu ailleurs, au contraire de Dogville que les cahiers ont "osés" dédaigner(les rebelles!)
En GROS: Reloaded est genial parceque les realisateurs ont plombés leur univers ce qui est contradictoire avec le systeme hollywoodien(ils n'ont rien decouvert en l'occurence car ce sont des argument ressassés et ressassés) et que le film est ultra-ludique. Franchement je ne trouve pas que ces arguments montrent un quelconque genie de ce film, mais si quelqu'un etait pret a me corriger pour mieux m'expliquer la critique
3. Une mise en valeur de Paul Shrader(que je ne connais pas en tant que cineaste donc je ne juge pas) et le reproche du Scorsese actuel qui est encensé par tous les critiques(LE point sur lequel je suis tout a fait d'accord).
4. La presentation d'un realisateur inconnu comme modèle d'auteur. Lui qui utilisait le (h) de pretentieux n'est-ce pas le comble qu'il finisse avec la presentation d'un obscur realisateur que personne ne connait a part les "cinéphiles historiques". Belle conclusion
Je trouve franchement que cet article montre a quel point le critique sait facilement broder a partir de rien pour sortir des critiques sans argument: accuser si betemetent Lars Von Trier parcequ'il a "osé"(vade retro satanas ) engager de grands acteurs.
Bon je sais que je vais me faire dechirer mais c'est pas grave
A noter que ct la deuxieme fois que j'achetais les cahiers. J'avais deja trouvé l'article sur les nouveaux realisateurs americains douteux:
-Fincher ininteressant car uniquement negatif(on n'a pas du voir les memes films de lui)
-Amenabar bon realisateur mais pas très interessant intellectuellement parcequ'il aurait pu ouvrir un dialogue USA-Europe: Quelle debilité
-Les freres Farrelly font preuve d'un vrai genie. C'est vrai que je me marre avec leurs films mais faut pas deconner
-Mendes bcp trop surestimé. Je ne suis pas un fan de Mendes mais je trouve qu'il a fait deux très bon films.
Mais quand meme de bonnes critiques sur Aronovsk, Bay(bah oui je m'attendais a tout) ou Michael Moore...
J epense que je continuerais de lire ce magazine car c'est le seul que j'ai trouvé qui dispose de vrais articles. Parceque quand on lit d'autres "specialistes" on a bcp tro l'impression d'immense pub.
Je pense comme toi Simone que cet artice vaut pas grand chose
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- antépiphoromaniaque
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Dantonku :Simone Choule a écrit :Il est où le post de Bill ?
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtopic.php?t=2826
(désolé, j'en dis du bien, mais c'est juste parce qu'il a défendu "Matrix Reloaded"


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- Mogul
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Il y avait un précédent à cet article de thierry jousse qui lui était beaucoup plus explicite. Leur vision du cinéma américain à travers 100 cinéastes montraient qu'ils étaient plus interressé par les yes-man qu'un réal qui se revendiquerait comme "auteur".
Brett Ratner, Campbell, verbinski alors qu'il ne le mérite pas vraiment ont de bons article. Il essaye peut être d'affronter ce cinéma là à celui d'un mec comme Mendes.
Brett Ratner, Campbell, verbinski alors qu'il ne le mérite pas vraiment ont de bons article. Il essaye peut être d'affronter ce cinéma là à celui d'un mec comme Mendes.
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- antépiphoromaniaque
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"Leur vision du cinéma américain à travers 100 cinéastes montraient qu'ils étaient plus interressé par les yes-man qu'un réal qui se revendiquerait comme "auteur".
Brett Ratner, Campbell, verbinski alors qu'il ne le mérite pas vraiment ont de bons article. Il essaye peut être d'affronter ce cinéma là à celui d'un mec comme Mendes."
> je digere toujours pas cet article sur Fincher, Amenabar, Mendes, Jonze ou les Farelly meme si je suis a fond d'accord sur Aronovsky, Moore, Bay ou Richard Kelly
Brett Ratner, Campbell, verbinski alors qu'il ne le mérite pas vraiment ont de bons article. Il essaye peut être d'affronter ce cinéma là à celui d'un mec comme Mendes."
> je digere toujours pas cet article sur Fincher, Amenabar, Mendes, Jonze ou les Farelly meme si je suis a fond d'accord sur Aronovsky, Moore, Bay ou Richard Kelly
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Ca me fait penser à la discution que j'ai eu la semaine dernière avec des "cultureux" (dans le sens péjoratif du therme).
Pour eux Johnny Halliday n'était pas de la culture mais de la "merde".
En quand je leur demandais qui ils étaient pour dire a partir de ou commence la culture ils m'ont répondue que c'était leur métier et qu'ils le savaient et qu'ils se devaient de le dire...
Bizarement, ces personnes se disent à côté de celà ouvertes et tolérantes...

Pour eux Johnny Halliday n'était pas de la culture mais de la "merde".
En quand je leur demandais qui ils étaient pour dire a partir de ou commence la culture ils m'ont répondue que c'était leur métier et qu'ils le savaient et qu'ils se devaient de le dire...
Bizarement, ces personnes se disent à côté de celà ouvertes et tolérantes...

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Heu, et c'était quoi leur métier exactement? Critiques?michocko a écrit :Ca me fait penser à la discution que j'ai eu la semaine dernière avec des "cultureux" (dans le sens péjoratif du therme).
Pour eux Johnny Halliday n'était pas de la culture mais de la "merde".
En quand je leur demandais qui ils étaient pour dire a partir de ou commence la culture ils m'ont répondue que c'était leur métier et qu'ils le savaient et qu'ils se devaient de le dire...
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Mangez des fraises et des girafes

"Because there was no mention in the books we read about my heritage"

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