Oliver Stone
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Re: Oliver Stone
Oliver Stone a pris un sacré coup de vieux et compense par des UV.
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Re: Oliver Stone
Dommage, ils auraient du lui proposer le dvd de L'Ombre de Staline.
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Re: Oliver Stone
Je le trouve tout à fait sympathique et il a l'air très accessible.
Il m'a donné envie de découvrir son W et Nixon aussi, que j'ai passé ma vie, depuis sa sortie, à procrastiner.
bon, il a l'air un peu maladroit quand il repose les boitiers
Il m'a donné envie de découvrir son W et Nixon aussi, que j'ai passé ma vie, depuis sa sortie, à procrastiner.
Ecoute, si c'est ça se prendre un coup de vieux, on a pas trop de souci à se faire.
bon, il a l'air un peu maladroit quand il repose les boitiers
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Oliver Stone
Je l’ai toujours trouvé très sympathique également mais ses positions politiques récentes concernant la Russie, Biden et l’Ukraine sont particulièrement décevantes.
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Re: Oliver Stone
C'est une des rares interviews où il apparaît en majorité souriant et accessible.Alexandre Angel a écrit : ↑5 mai 24, 07:49 Je le trouve tout à fait sympathique et il a l'air très accessible.
Il m'a donné envie de découvrir son W et Nixon aussi, que j'ai passé ma vie, depuis sa sortie, à procrastiner.
Oliver Stone est souvent très sérieux et très premier degré dans ses entretiens. Parfois même irrité et ne se laissant pas faire quand on lui sort des sous-entendus. Ce qui est normal, il a passé toute sa vie à défendre ses films, à débattre.
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Re: Oliver Stone
En effet, j'ai un peu zappé cela. Il aurait eu aussi des propos antisémites, ou proches de l'être..Supfiction a écrit : ↑5 mai 24, 10:56 Je l’ai toujours trouvé très sympathique également mais ses positions politiques récentes concernant la Russie, Biden et l’Ukraine sont particulièrement décevantes.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Oliver Stone
J'ignore la teneur de ces assertions, mais dans l'hypothèse où elles seraient avérées, elles ne feraient que charger un peu plus le passif d'un homme dont le racisme/la xénophobie supposés ont souvent suscité la polémique (il est le scénariste controversé de Midnight Express et de L'Année du Dragon). Je ne me prononcerai pas sur le fond (et je ne pense absolument pas que le film de Cimino soit raciste). Mais le "cas Stone" est passionnant précisément parce qu'il est politiquement assez insaisissable. Il se présente souvent comme un patriote, mais ses films sont très critiques vis-à-vis des institutions américaines. Certains de ses détracteurs l'accusent d'être un gauchiste quand les autres le prennent pour un réac. Cela ramène une fois de plus à Cimino, dont Voyage au bout de l'enfer fut attaqué par la gauche, puis La Porte du Paradis par la droite. Si affiliation il y a entre les deux réalisateurs, elle serait intéressante à étudier sur le plan de cette ambigüité, de cette indétermination idéologique (ce qui - paradoxe ultime - n'enlève rien à la hargne du discours qui anime leurs cinémas respectifs).Alexandre Angel a écrit : ↑5 mai 24, 12:00Il aurait eu aussi des propos antisémites, ou proches de l'être...
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Re: Oliver Stone
Indétermination très américaine au sens où elle concerne bon nombre de réalisateurs US, qu'on est tenté de qualifier tantôt d'iconoclastes plus ou moins nihilistes (Robert Aldrich, Samuel Fuller) par opposition à quelques purs révoltés de gauche comme John Berry, Abraham Polonsky ou peut-être même Robert Parrish, tantôt de conservateurs à visées libérales (au sens américain du terme) comme John Ford, tantôt de conservateurs anars d'obédience libertarienne (Clint Eastwood).
Oliver Stone brouille encore les pistes par son côté "gaucho" (Salvador pourrait être pensé par Ken Loach) porté par une agressivité formelle, souvent criarde, à la fois anarchiste et quelque peu populiste. Une mère n'y retrouverait pas ses petits.
Oliver Stone brouille encore les pistes par son côté "gaucho" (Salvador pourrait être pensé par Ken Loach) porté par une agressivité formelle, souvent criarde, à la fois anarchiste et quelque peu populiste. Une mère n'y retrouverait pas ses petits.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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