Mes livres de chevet en la matière sont le livre de Christian Viviani et celui, plus axé 'historique', de Jean-Louis Ryeupeyrout. Le Brion (édition intégrale car il existe une version abrégée ne reprenant qu'à peine la moitié des textes) est épuisé depuis quelques années.jim douglas a écrit :Mince alors le livre de Brion est épuisé ? je ne savais pas, mais je pense qu'une réedition sortira fatalement. De toute façon quand j'aurai un peu plus de temps je donnerai un petite bibliographie sur le sujet pour aider tout le monde. Et si chacun à des livres à faire connaître aux autres on pourra ainsi faire circuler l'information comme l'a fait notre ami Grimmy
Les Westerns 1ère partie
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- Jeremy Fox
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De rien, de rien...jim douglas a écrit :Mince alors le livre de Brion est épuisé ? je ne savais pas, mais je pense qu'une réedition sortira fatalement. De toute façon quand j'aurai un peu plus de temps je donnerai un petite bibliographie sur le sujet pour aider tout le monde. Et si chacun à des livres à faire connaître aux autres on pourra ainsi faire circuler l'information comme l'a fait notre ami Grimmy
Débutant moi même dans la westermania, je voulais commander le Brion aujourd'hui même et je découvris avec stupeur (et tremblement) qu'il est épuisé!! (je travaille dans une librairie...)
Snif!!

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Je viens de regarder sur Price Minister pour le bouquin de Brion c'est étrange d'abord il était disponible à la vente puis on m'indique sur mon écran que la page ne peut pas s'afficher, donc effectivement il semble épuisé et d'ailleurs je ne le trouve pas ailleurs non plus. Mais bon, on peut aussi conseiller par exemple l'ouvrage collectif de la Revue Artsept auquel Brion à collaboré et qui est trés bien (j'espére qu'il n'est pas épuisé celui-là) il est vraiment bien pour débuter avec un bon index, une entrée par théme, un classement des meilleurs westerns (parfois contestable : quelqu'un à cité la diablesse en collant rose de Cukor !!!
) Il est édité chez Gallimard : Le western approches, mythologies, auteurs, acteurs, filmographie.



"Quand la légende est plus belle que l'Histoire, on écrit la légende" John Ford
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Oui !Ratatouille a écrit :Ah parce que The Omen, c'est un navet aussi ?

Enfin, ce n'est que mon avis, mais pour moi, le film n'est qu'un ersatz de L'exorciste assez raté qui aligne du blabla inutile et des scenes choc à 2 balles (hormis la mort de la baby sitter au début

Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Une ressortie n'est pas prévus ?Jeremy Fox a écrit :Désormais introuvable : je le cherche depuis des années.jim douglas a écrit :
j'ajoute aussi le le Livre de Patrick Brion sur le western aux éditions de la Martiniére (je cite de mémoire faudra que je vérifie l'éditeur) qui me semble trés bien pour aider tous ceux qui s'intéressent au western à démarrer sur ce genre.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Quelqu'un qui a perdu un oeil à Midway, et connaissant le zigue irlandais catholique comme pas deux ici, je ne crois pas que la mort d'un cascadeur ait pu déranger plus que cela les projets de notre réalisateur.jim douglas a écrit :Pour les cavaliers un film honnête de Ford avec quelques scénes magiques (tout le monde se souvient du fameux "même avec un bras en moins l'homme que j'ai connu autrefois se serait battu comme un lion") bref un film à ne pas louper (et d'ailleurs trés souvent diffusé à la TV). Là encore la fin me semble étrange (elle est en effet totalement baclée) bref connaissant l'oeuvre de Ford je trouvais cela trés étrange et récemment j'ai lu dans une de ses biographies que le tournage de ce film avait été écourté aprés la mort d'un cascadeur. Personne n'ayant plus le coeur à poursuivre le film la fin fut donc tournée en quelques prises (au mépris du scénario original qui prévoyait une autre fin)
Quant à la soi-disant scène bâclée de The Horse Soldiers, le coup de génie de terminer un film sur un pont symbolisant le difficile lien qui sépare désormais le Sud confédéré du Nord yankee révèle, s'il en était besoin encore, l'extrême métier de notre bonhomme. On a beau n'avoir qu'un oeil, mais cet oeil est d'or, l'oeil justement des Voyants, pour parler comme le Poète.
Que le Médecin Major magnifiquement interprété par William Holden reste sur l'une des deux rives du fleuve à la toute fin du film - soi-disant bâclée - signe à l'évidence la profonde connaissance qu'avait Ford des délicats problèmes de gestion nécessitée par une après-guerre (la Guerre Civile) pas si pacifiée que cela. Il est plus facile en effet d'aller razzier et de détruire, comme le montrent tout le long du film les scrupules de conscience du Duke (excellent, faut-il le dire dans ce film du MAITRE) que de reconstruire et de guérir ce qui a été profondément meurtri durant le conflit. C'est évidemment tout le sujet de ce film qui, certes montre un épisode parmi d'autres de la grande Guerre Civile américaine, mais pense déjà à la toujours délicate, voire improbable réconciliation après-guerre des belligérants.
Que les cavaliers commandés par le Duke qui pour protéger leur fuite fassent sauter le pont dans la dernière scène du film est l'une des plus géniales métaphores (à ma connaissance) qui existe pour montrer l'extrême déchirure et blessure que le Nord yankee a laissées en héritage au Sud confédéré et ... aristocratique. Il fallait donc un médecin pour rester du côté des "perdants", de tous ceux condamnés à jamais à rester en deçà d'une certaine "frontière". Non seulement le médecin des armées Holden dans la scène finale reste en deçà de cette "frontière américaine" pour soigner les yankees blessés intransportables, mais surtout il fallait John Ford, ce médecin des âmes par excellence, pour nous livrer dans ce film l'une des plus hautes méditations sur la guerre de Sécession américaine.
Pour Ford quand il réalise ce chef-d'oeuvre (en 1959) il n'est pas sûr que la guerre de Sécession dans les esprits de tous les américains ait pris fin définitivement en 1865. Il faut d'autres remèdes que simplement politiques, d'autres "médecines" que la cessation officielle d'un conflit - surtout civil - pour guérir d'autres blessures bien plus profondes et peut-être inguérissables ...
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Intéressante analyse, mais je n'ai trouvé nulle trace d'une telle vision du film dans les écrits de Ford, j'ai pourtant une abondante bibliothéque sur John Ford. Peut-tu me donner une source pour que je puisse mieux me replonger dans le film. Pour ma part j'ai notamment lu les écrits de Frank S Stugent (ancien reporter et critique de cinéma et qui à souvent collaboré à l'adaptation des films de Ford). Stugent dont la réputation de scénariste était grande à Hollywood avait déclaré en parlant du film que tout le monde fut affecté par le décés de ce cascadeur (à l'époque beaucoup de gens avaient fait la guerre et plus encore en premiére ligne). Et pour ma part s'il m'apparaît que le film est baclé (terme qui je l'admet est trés sévère) c'est tout simplement parce qu'il ne porte pas la marque habituelle de Ford. En effet le film s'arrête en pleine action et contrairement à ce que Ford aimait faire dans ses films il ne prend pas le temps de se poser afin de permettre la réflexion. En tout cas merci pour ton anlyse qui donnera je pense à chacun l'envie de revoir le filmJamesCicero a écrit :Quelqu'un qui a perdu un oeil à Midway, et connaissant le zigue irlandais catholique comme pas deux ici, je ne crois pas que la mort d'un cascadeur ait pu déranger plus que cela les projets de notre réalisateur.jim douglas a écrit :Pour les cavaliers un film honnête de Ford avec quelques scénes magiques (tout le monde se souvient du fameux "même avec un bras en moins l'homme que j'ai connu autrefois se serait battu comme un lion") bref un film à ne pas louper (et d'ailleurs trés souvent diffusé à la TV). Là encore la fin me semble étrange (elle est en effet totalement baclée) bref connaissant l'oeuvre de Ford je trouvais cela trés étrange et récemment j'ai lu dans une de ses biographies que le tournage de ce film avait été écourté aprés la mort d'un cascadeur. Personne n'ayant plus le coeur à poursuivre le film la fin fut donc tournée en quelques prises (au mépris du scénario original qui prévoyait une autre fin)
Quant à la soi-disant scène bâclée de The Horse Soldiers, le coup de génie de terminer un film sur un pont symbolisant le difficile lien qui sépare désormais le Sud confédéré du Nord yankee révèle, s'il en était besoin encore, l'extrême métier de notre bonhomme. On a beau n'avoir qu'un oeil, mais cet oeil est d'or, l'oeil justement des Voyants, pour parler comme le Poète.
Que le Médecin Major magnifiquement interprété par William Holden reste sur l'une des deux rives du fleuve à la toute fin du film - soi-disant bâclée - signe à l'évidence la profonde connaissance qu'avait Ford des délicats problèmes de gestion nécessitée par une après-guerre (la Guerre Civile) pas si pacifiée que cela. Il est plus facile en effet d'aller razzier et de détruire, comme le montrent tout le long du film les scrupules de conscience du Duke (excellent, faut-il le dire dans ce film du MAITRE) que de reconstruire et de guérir ce qui a été profondément meurtri durant le conflit. C'est évidemment tout le sujet de ce film qui, certes montre un épisode parmi d'autres de la grande Guerre Civile américaine, mais pense déjà à la toujours délicate, voire improbable réconciliation après-guerre des belligérants.
Que les cavaliers commandés par le Duke qui pour protéger leur fuite fassent sauter le pont dans la dernière scène du film est l'une des plus géniales métaphores (à ma connaissance) qui existe pour montrer l'extrême déchirure et blessure que le Nord yankee a laissées en héritage au Sud confédéré et ... aristocratique. Il fallait donc un médecin pour rester du côté des "perdants", de tous ceux condamnés à jamais à rester en deçà d'une certaine "frontière". Non seulement le médecin des armées Holden dans la scène finale reste en deçà de cette "frontière américaine" pour soigner les yankees blessés intransportables, mais surtout il fallait John Ford, ce médecin des âmes par excellence, pour nous livrer dans ce film l'une des plus hautes méditations sur la guerre de Sécession américaine.
Pour Ford quand il réalise ce chef-d'oeuvre (en 1959) il n'est pas sûr que la guerre de Sécession dans les esprits de tous les américains ait pris fin définitivement en 1865. Il faut d'autres remèdes que simplement politiques, d'autres "médecines" que la cessation officielle d'un conflit - surtout civil - pour guérir d'autres blessures bien plus profondes et peut-être inguérissables ...

"Quand la légende est plus belle que l'Histoire, on écrit la légende" John Ford
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J'ai livré une interprétation toute personnelle (du moins à ma connaissance) de la dernière séquence du film que je crois effectivement très fordienne de ton et de style.jim douglas a écrit : Intéressante analyse, mais je n'ai trouvé nulle trace d'une telle vision du film dans les écrits de Ford, j'ai pourtant une abondante bibliothéque sur John Ford. Peut-tu me donner une source pour que je puisse mieux me replonger dans le film. Pour ma part j'ai notamment lu les écrits de Frank S Stugent (ancien reporter et critique de cinéma et qui à souvent collaboré à l'adaptation des films de Ford). Stugent dont la réputation de scénariste était grande à Hollywood avait déclaré en parlant du film que tout le monde fut affecté par le décés de ce cascadeur (à l'époque beaucoup de gens avaient fait la guerre et plus encore en premiére ligne). Et pour ma part s'il m'apparaît que le film est baclé (terme qui je l'admet est trés sévère) c'est tout simplement parce qu'il ne porte pas la marque habituelle de Ford. En effet le film s'arrête en pleine action et contrairement à ce que Ford aimait faire dans ses films il ne prend pas le temps de se poser afin de permettre la réflexion. En tout cas merci pour ton anlyse qui donnera je pense à chacun l'envie de revoir le film
j'ai toujours pensé que Ford travaillait, comme tout grand artiste, dans les marges, à la frontière par exemple de la légende et de la vérité.
j'aime bien en ce sens le titre français du dernier grand film de John Ford Frontière chinoise (Seven Women) qui dit à son insu peut-être l'essentiel de l'éthique fordienne. Le pont de The Horse Soldiers me fait irrésistiblement penser évidemment à la porte qui s'ouvre au début de The Searchers (La Prisonnière du désert) et qui reste entrebâillée à la fin du même film.
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citation :
j'ai toujours pensé que Ford travaillait, comme tout grand artiste, dans les marges, à la frontière par exemple de la légende et de la vérité.
Vu comme cela alors entiérement d'accord avec toi
Mais la fin de la prisonniére du désert ou la fin du massacre de fort Apache par exemple c'est vraiment, pour reprendre la belle formule de Umberto Eco, une fin ouverte, l'action s'arrête et l'image se fige l'on rentre alors dans la légende et l'on s'interroge. Mais dans les cavaliers rien de tel au milieu du bruit et de la fureur on est surpris au contraire par cette fin brutale. Enfin moi je l'ai ressenti comme tel mais je vais revoir le film car ta réflexion me semble judicieuse.
j'ai toujours pensé que Ford travaillait, comme tout grand artiste, dans les marges, à la frontière par exemple de la légende et de la vérité.
Vu comme cela alors entiérement d'accord avec toi

Mais la fin de la prisonniére du désert ou la fin du massacre de fort Apache par exemple c'est vraiment, pour reprendre la belle formule de Umberto Eco, une fin ouverte, l'action s'arrête et l'image se fige l'on rentre alors dans la légende et l'on s'interroge. Mais dans les cavaliers rien de tel au milieu du bruit et de la fureur on est surpris au contraire par cette fin brutale. Enfin moi je l'ai ressenti comme tel mais je vais revoir le film car ta réflexion me semble judicieuse.
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La comparaison des fins de ces deux films est assez juste, par contre je ne suis pas d'accord sur ton interprétation.Je trouve la fin des cavaliers plustot romantique et optimiste, plus que William Holden et ses convictions c'est Constance Towers que Wayne laisse sur l'autre rive!JamesCicero a écrit : Le pont de The Horse Soldiers me fait irrésistiblement penser évidemment à la porte qui s'ouvre au début de The Searchers (La Prisonnière du désert) et qui reste entrebâillée à la fin du même film.
Quand à la réconsiliation Nord/sud, elle se fait tout de suite apres l'explosion du pont quand l'officier sudiste arrive à la hauteur de William Holden et lui propose l'aide de son médecin sudiste pour ses blessés nordistes.
Pour Ford, le mauvais coté du pont c'est celui ou part Wayne.
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150€ sur Price Ministerjim douglas a écrit :Je viens de regarder sur Price Minister pour le bouquin de Brion c'est étrange d'abord il était disponible à la vente puis on m'indique sur mon écran que la page ne peut pas s'afficher, donc effectivement il semble épuisé et d'ailleurs je ne le trouve pas ailleurs non plus. Mais bon, on peut aussi conseiller par exemple l'ouvrage collectif de la Revue Artsept auquel Brion à collaboré et qui est trés bien (j'espére qu'il n'est pas épuisé celui-là) il est vraiment bien pour débuter avec un bon index, une entrée par théme, un classement des meilleurs westerns (parfois contestable : quelqu'un à cité la diablesse en collant rose de Cukor !!!![]()
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Pour information j’ai réalisé un classement des 20 meilleurs westerns à partir de l’avis de plusieurs spécialistes de ce genre (au total plus de 37 spécialistes dont : Jean Claude Missiaen, Jean Louis Rieupeyrou, Patrick Brion, Charles Ford, Georges Albert Astre, André Bazin etc…). Ce classement à été effectué sur la base des indications que j’ai pu trouver dans différents livres et revues. Chacun jugera selon ses goûts personnels mais ce classement (très éloigné du mien) comporte des indications intéressantes. Ainsi un western aussi connu que le train sifflera trois fois ne trouve pas sa place dans cette liste (ni d’ailleurs aucun des célèbres westerns de John Sturges ou de Edward Dmytryk : Le trésor du pendu, Le dernier train de Gun Hill, Règlements de comptes à Ok Corral, les sept mercenaires l’Homme aux colts d’or, la lance brisée ). De la même façon le western qui s’impose largement dans l’esprit des spécialistes n’est pas Rio Bravo mais Johnny Guitare. Le beau film de Nicholas Ray triomphe en effet à la quasi majorité des votes. S’agissant de la Poursuite infernale et de l’Appât ils ne sont séparés que par un vote d’écart seulement. Même chose entre l’Homme qui n’a pas d’étoile, la Prisonnière du désert et le Gaucher. D’autres films tels Vera Cruz ou l’Homme de la plaine parviennent de justesse à rentrer dans cette liste. Bref un classement purement indicatif et qui date un peu selon moi (mais j’ai pris volontairement des livres d’époque du début des années 70 afin d’avoir l’avis des spécialistes lorsque les réalisateurs et les acteurs concernés étaient encore vivants) .
1 Johnny Guitare
2 Rio Bravo
3 La poursuite infernale
4 L’appât
5 La captive aux yeux clairs
6 L’ange des maudits
7 L’homme qui n’a pas d’étoile
8 La prisonnière du désert
9 Le gaucher
10 La rivière rouge
11 Coups de feu dans la sierra
12 Le jugement des flèches
13 L’homme de l’ouest
14 La colline des potences
15 Duel au soleil
16 Je suis un aventurier
17 Le vent de la plaine
18 La fille du désert
19 Vera Cruz
20 L’homme de la plaine
1 Johnny Guitare
2 Rio Bravo
3 La poursuite infernale
4 L’appât
5 La captive aux yeux clairs
6 L’ange des maudits
7 L’homme qui n’a pas d’étoile
8 La prisonnière du désert
9 Le gaucher
10 La rivière rouge
11 Coups de feu dans la sierra
12 Le jugement des flèches
13 L’homme de l’ouest
14 La colline des potences
15 Duel au soleil
16 Je suis un aventurier
17 Le vent de la plaine
18 La fille du désert
19 Vera Cruz
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"Quand la légende est plus belle que l'Histoire, on écrit la légende" John Ford
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- Localisation : Dans le dos de Margo et Roy !
Pour Jim, j'ai retrouvé un ancien topic dans la rubrique littérature du forum:
http://www.dvdclassik.com/~dvdclass/php ... sc&start=0

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Merci à toiL'étranger... a écrit :Pour Jim, j'ai retrouvé un ancien topic dans la rubrique littérature du forum:
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"Quand la légende est plus belle que l'Histoire, on écrit la légende" John Ford