Il faut dire que ses derniers roles (et ses derniers films) frisent (selon moi) le ridicule. Meme dans l'emmerdant mais culte selon beaucoups La Malediction, on se demande ce qu'il fout là !jim douglas a écrit : même dans le trés commercial et ennuyeux "ses garçons qui venaient du Brésil" il voulait jouer avec rage
Les Westerns 1ère partie
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Ah oui d'accord, j'avais effectivement mal comprisjim douglas a écrit :Bien sûr mais ce n'est pas ce que je disais, je parlais pour lui d'un personnage dont le côté sombre (comme Cooper au début de la colline des Potences, ou John Wayne dans la prisonniére du désert, ou Robert Taylor dans la derniére chasse etc... ) puisse surprendre le public.Jeremy Fox a écrit :
Il était pourtant formidable dans La cible humaine et dans The Big Country
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Et que fait John Wayne dans Brannigan ? Et Kirk Douglas dans The Fury ? et Charlton Heston dans l'antre de la folie ? etc... Je préfére arrêter là. Quel acteur n'a pas hélas à la fin de sa vie tourné dans un navet. En 1984 Lino Ventura exaspéré par les films qu'on lui proposait fit paraître un article dans un grand journal "grand acteur cherche film".Kevin95 a écrit :Il faut dire que ses derniers roles (et ses derniers films) frisent (selon moi) le ridicule. Meme dans l'emmerdant mais culte selon beaucoups La Malediction, on se demande ce qu'il fout là !jim douglas a écrit : même dans le trés commercial et ennuyeux "ses garçons qui venaient du Brésil" il voulait jouer avec rage
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The Fury et L'Antre de la folie sont des navets ??????jim douglas a écrit : Et que fait John Wayne dans Brannigan ? Et Kirk Douglas dans The Fury ? et Charlton Heston dans l'antre de la folie ? etc... Je préfére arrêter là. Quel acteur n'a pas hélas à la fin de sa vie tourné dans un navet.

En meme temps, Bette Davis à fait la meme chose, et en retour, elle a reçus le scénario de Baby Jane !jim douglas a écrit :En 1984 Lino Ventura exaspéré par les films qu'on lui proposait fit paraître un article dans un grand journal "grand acteur cherche film".

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Alvarez Kelly de Edward Dmytryk
Postulat de départ intéressant -ou plutôt rarement mis en avant- (la difficulté pour les deux armées ennemies, pendant la Guerre de Sécession, de se ravitailler en viande et leurs efforts pour s'approprier des troupeaux) qui donne un résultat somme toute agréable grâce surtout aux relations qu'entretiennent les deux personnages principaux interprétés par Richard Widmark et surtout un William Holden en grande forme. Dialogues bien sentis, plaisante ironie, magnifique photographie pour un film qui se suit avec plaisir mais qui déçoit sur la fin. Le clou du film est en effet trop long et moyennement réalisé : Dmytryk est plus à l'aise dans les scènes dialoguées et la psychologie (voir Broken Lance et Warlock) que dans les scènes d'action. Mais nous ne ferons pas la fine bouche : un des bons westerns américains des années 60.
Postulat de départ intéressant -ou plutôt rarement mis en avant- (la difficulté pour les deux armées ennemies, pendant la Guerre de Sécession, de se ravitailler en viande et leurs efforts pour s'approprier des troupeaux) qui donne un résultat somme toute agréable grâce surtout aux relations qu'entretiennent les deux personnages principaux interprétés par Richard Widmark et surtout un William Holden en grande forme. Dialogues bien sentis, plaisante ironie, magnifique photographie pour un film qui se suit avec plaisir mais qui déçoit sur la fin. Le clou du film est en effet trop long et moyennement réalisé : Dmytryk est plus à l'aise dans les scènes dialoguées et la psychologie (voir Broken Lance et Warlock) que dans les scènes d'action. Mais nous ne ferons pas la fine bouche : un des bons westerns américains des années 60.
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Tu continues à réevaluer DmytrykJeremy Fox a écrit :Alvarez Kelly de Edward Dmytryk
Postulat de départ intéressant -ou plutôt rarement mis en avant- (la difficulté pour les deux armées ennemies, pendant la Guerre de Sécession, de se ravitailler en viande et leurs efforts pour s'approprier des troupeaux) qui donne un résultat somme toute agréable grâce surtout aux relations qu'entretiennent les deux personnages principaux interprétés par Richard Widmark et surtout un William Holden en grande forme. Dialogues bien sentis, plaisante ironie, magnifique photographie pour un film qui se suit avec plaisir mais qui déçoit sur la fin. Le clou du film est en effet trop long et moyennement réalisé : Dmytryk est plus à l'aise dans les scènes dialoguées et la psychologie (voir Broken Lance et Warlock) que dans les scènes d'action. Mais nous ne ferons pas la fine bouche : un des bons westerns américains des années 60.


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The Fury est bien plus maitrisé que La Malediction (du point de vue de la mise en scene comme du jeu des acteurs).jim douglas a écrit :Il faudra que tu m’expliques la différence entre La Malédiction et The Fury parce que cinématographiquement parlant j’ai du mal à te suivre. Il y à plus de sang (la scéne finale) dans The Fury c’est ça ?
La référence à La Malédiction est due non pas au fait que le film soit un film fantastique, mais plutot que le film soit mauvais et que Peck ne semble pas à sa place dans ce film.
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Ah parce que The Omen, c'est un navet aussi ? Permets-moi d'être totalement en désaccord avec toi : le film de Donner est un grand film fantastique, avec une musique du feu de Dieu, une interprétation générale nickel (aussi bien Peck que Lee Remick et David Warner) et des scènes ultra-tendues du slip où la mise en scène de Donner fait merveille (l'attaque des chiens dans le cimetière, la chute de l'escalier).Kevin95 a écrit :The Fury et L'Antre de la folie sont des navets ??????jim douglas a écrit : Et que fait John Wayne dans Brannigan ? Et Kirk Douglas dans The Fury ? et Charlton Heston dans l'antre de la folie ? etc... Je préfére arrêter là. Quel acteur n'a pas hélas à la fin de sa vie tourné dans un navet.
Quant à jim douglas...j'ai l'impression qu'il a du mal avec le ciné fantastique, le bonhomme.

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Parlons un peu de Au pays de la peur (The wild noth) un film de Andrew Marton (1952) . J’ai pour ma part pris grand plaisir à regarder ce western dans lequel l’élégance de l’interprétation de Steward Granger trouve un écho dans le jeu impeccable de Wendell Corey, acteur remarquable et hélas trop méconnu. Le film est centré sur l’opposition entre un policier de la police monté (rôle tenu par Wendell Corey) dont la haute valeur morale et l’opiniâtreté sont les principaux traits de caractère, et un trappeur (incarné par Steward Granger) empreint d’humanité et qui aspire à une vie tranquille auprès de son épouse (Cyd Charisse qui tient le rôle d’une indienne). Mais le destin va en décider autrement et à la suite d’une mauvaise rencontre Steward va être recherché par les autorités. Wendell Corey va alors commencer la traque. Très vite pour Granger il ne fait aucun doute que face à un tel adversaire il n’a aucune chance, à moins de l’amener sur son propre territoire. Les deux hommes vont donc se retrouver au pays de la peur, c’est à dire au cœur d’un désert de glace là ou l’homme ne peut survivre s’il n’y à pas d’entraide. Ainsi à la beauté des paysages du départ (le film s’ouvre sur une descente en canoë) succède l’impitoyable paysage de glace dans lequel les deux hommes vont devoir se faire face. Mais Wendell Corey s’acharne malgré les difficultés à continuer la poursuite alors Granger va toujours un peu plus loin, encore un peu plus loin. Formidable face à face qui trouve son paroxysme lors d’une impressionnante attaque par une meute de loups. Un film que je conseille subtil dosage entre l’action et la réflexion et le plaisir de revoir des acteurs que l’on aime.
Pour Alvarez Kelly, je garde un détestable souvenir de ce film (énorme déception au même titre que El Dorado). Mais je vais faire l’effort de le revoir afin de lui donner une seconde chance (mais sans trop y croire car quand le genre l’emporte sur l’auteur le résultat n’est jamais bien fameux. C'est le reproche que je faisais par exemple à The Fury, mais sans rancune
le reste est affaire de goût personnel)
Pour Alvarez Kelly, je garde un détestable souvenir de ce film (énorme déception au même titre que El Dorado). Mais je vais faire l’effort de le revoir afin de lui donner une seconde chance (mais sans trop y croire car quand le genre l’emporte sur l’auteur le résultat n’est jamais bien fameux. C'est le reproche que je faisais par exemple à The Fury, mais sans rancune

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jim douglas a écrit :
Pour Alvarez Kelly, je garde un détestable souvenir de ce film (énorme déception au même titre que El Dorado). Mais je vais faire l’effort de le revoir afin de lui donner une seconde chance (mais sans trop y croire car quand le genre l’emporte sur l’auteur le résultat n’est jamais bien fameux.
Peux tu expliquer cette dernière partie de ta phrase, je ne vois pas où tu veux en venir ?
El Dorado en revanche, est selon moi un très grand film de Hawks, superbe variation sur Rio Bravo.
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Et bien disons que pour Alvarez Kelly il y à surtout un traitement de l'image et peu de réflexion (on dirait du Andrew V. McLaglen) Widmark annonce la couleur avec son personnage d'officier confédéré borgne qui soumet William Holden à un chantage. Bref une avalanche de clichés, une réalisation molle (et quelle lenteur) une histoire à laquelle on ne croit pas un instant. Bref j'ai pas du tout aimé
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Si la mise en scène et le scénario d'Alvarez Kelly avaient ressemblé à ceux d'un McLaglen, j'aurais coupé la TV au bout de 20 minutes.jim douglas a écrit :Et bien disons que pour Alvarez Kelly il y à surtout un traitement de l'image et peu de réflexion (on dirait du Andrew V. McLaglen) Widmark annonce la couleur avec son personnage d'officier confédéré borgne qui soumet William Holden à un chantage. Bref une avalanche de clichés, une réalisation molle (et quelle lenteur) une histoire à laquelle on ne croit pas un instant. Bref j'ai pas du tout aimé
Ceci dit, je l'ai trouvé sympa mais sans crier au génie, loin de là même

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Oui j’avais bien compris ton jugement pour Alvarez Kelly
. En revanche pour El Dorado le film est vraiment mauvais (d’ailleurs à ma connaissance c’est le western qui divise le plus les spécialistes). Pour ma part L’aventurier du Rio Grande avec le personnage de Matin Brady (joué par Robert Mitchum) ou Brody (je ne rappelle plus exactement le nom) dans lequel il livre un sympathique numéro de mercenaire nonchalant est bien plus agréable à suivre que son pitoyable numéro de shériff alcoolique dans El Dorado (véritable cabotinage que sa prestation dans ce film). Par contre quelle injustice pour ton jugement sur les pionniers de la western Union (je me référe à tes précédents posts), je n’ai jamais aimé Randolph Scott mais dans ce film il est vraiment poignant (dans coups de feu dans la Sierra il se fait piquer la vedette par mais là il est superbe ). Mais surtout le film vaut pour son caractère historique (bien mieux traité que dans Union pacific par exemple).

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