Dvdclassik : cinéma et DVD

Courleciel a écrit : ↑18 déc. 23, 18:53 Pas de films ce soir mais .... Je vais écouter :

C'est une arnaque : il n'y a même pas la musique d'Harry Potter!

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Je rigole : je l'ai lu sur Amazon!
C'est un coffret somptueux qui me ravit totalement parce qu'il met à l'honneur le talent de mélodiste du maestro, autant que celui d'orchestrateur.
Un de ces quatre, j'en dirais peut-être deux mots sur le topic adéquat.

Ce soir, direction la chaîne magnifaïque des agriculteurs en mal d'amour, des agents immobiliers trop sympas et du "croquant gourmand" pour découvrir le Eiffel de l'immense Martin Bourboulon (quel dommage qu'il n'y ait pas Eva Green dedans !).

Avec capitaine Dobey.

Pour ce soir :

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(j'en peux plus, tuez-moi...)

Flol a écrit : ↑21 déc. 23, 12:15 Pour ce soir :

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Personne n'a trouvé ?

Alors c'est un Terrence Malick, forcément.
Au départ, je pensais à To the Wonder, mais connaissant ton humour, la capture doit être un indice. Donc je vais plutôt dire Knight of Cups

Tu fais comme Beule, tu postes un indice à 17 heures ?

Je me tâte pour l'édition avec l'énième bidouillage numérique révisionniste de :

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Dans les Pathé/Gaumont

Telmo a écrit : ↑21 déc. 23, 17:44 Je me tâte pour l'édition avec l'énième bidouillage numérique révisionniste de :

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Dans les Pathé/Gaumont

Parce que c’est encore une nouvelle version ?
En voyant l’affiche originale de cette ressortie, une vieille excitation est remontée l’espace du demi-seconde dans mes veines et l’envie de réserver .. avant de réaliser que « ah merde, c’est vrai, ce n’est pas Le retour du Jedi que j’avais adoré en 83 », mais juste Star Wars Episode VI.

Un Toto à finir :



Et Qu'as-tu fait à la guerre, papa ? de Blake Edwards à ne pas oublier d'enregistrer sur Ciné+ classic...

Supfiction a écrit : ↑21 déc. 23, 18:19

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Telmo a écrit : ↑21 déc. 23, 17:44 Je me tâte pour l'édition avec l'énième bidouillage numérique révisionniste de :

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Dans les Pathé/Gaumont

Parce que c’est encore une nouvelle version ?
En voyant l’affiche originale de cette ressortie, une vieille excitation est remontée l’espace du demi-seconde dans mes veines et l’envie de réserver .. avant de réaliser que « ah merde, c’est vrai, ce n’est pas Le retour du Jedi que j’avais adoré en 83 », mais juste Star Wars Episode VI.

À chaque ressortie vidéo, George Lucas bidouille donc pourquoi s'arrêter en si mauvais chemin ?

Peut-être ce film dont l'envie m'est venue de le revoir hier, sans que je sache trop pourquoi :

Addis-Abeba a écrit : ↑21 déc. 23, 12:09

Avec capitaine Dobey.

Quelle merde, je change au bout de 40 minutes, je vais regarder :

J'avais failli regarder Narrow Margin, mais il paraît que c'est à chier. Alors à la place j'ai vu un truc pas terrible : Passager 57 (Kevin 'Qui Ça ?' Hooks, 1992).

Archétype du film que tu es sûr d'avoir déjà vu il y a longtemps mais dont tu ne te souviens absolument plus, je me rappellais seulement que c'est Wesley Snipes contre un méchant dans un avion, et que ça ne devait pas être terrible sinon je m'en souviendrais davantage.

Confirmation : ça se regarde, sans plus. Et il y a un détail surtout qui me gêne, qu'illustre parfaitement cet extrait dans lequel la caméra se rapproche de notre héros pour appuyer sa punchline :


"Always bet on black."

Wesley Snipes fait le kéké pendant 90 minutes, et du coup il pompe tout l'oxygène du film. S'il faut le noter, ce sera un 4/10 parce que ça n'a pas de temps mort mais que le méchant est nul et qu'Elizabeth Hurley joue comme un pied gauche dans une chaussure droite.


PS On notera l'élégance de la programmation de 6ter, qui enchaîne juste après Passager 57 sur le téléfilm Le détournement du vol 93 (reconstitution du 11 septembre 2001). Une soirée détournement d'avion avec un nombre dans le titre, donc.

Musique de Stanley Clarke quand même et chanson du générique de fin de Stevie Wonder.

tchi-tcha a écrit : ↑21 déc. 23, 23:21 J'avais failli regarder Narrow Margin, mais il paraît que c'est à chier. Alors à la place j'ai vu un truc pas terrible : Passager 57 (Kevin 'Qui Ça ?' Hooks, 1992).

Archétype du film que tu es sûr d'avoir déjà vu il y a longtemps mais dont tu ne te souviens absolument plus, je me rappellais seulement que c'est Wesley Snipes contre un méchant dans un avion, et que ça ne devait pas être terrible sinon je m'en souviendrais davantage.

Confirmation : ça se regarde, sans plus. Et il y a un détail surtout qui me gêne, qu'illustre parfaitement cet extrait dans lequel la caméra se rapproche de notre héros pour appuyer sa punchline :


"Always bet on black."

Wesley Snipes fait le kéké pendant 90 minutes, et du coup il pompe tout l'oxygène du film. S'il faut le noter, ce sera un 4/10 parce que ça n'a pas de temps mort mais que le méchant est nul et qu'Elizabeth Hurley joue comme un pied gauche dans une chaussure droite.


PS On notera l'élégance de la programmation de 6ter, qui enchaîne juste après Passager 57 sur le téléfilm Le détournement du vol 93 (reconstitution du 11 septembre 2001). Une soirée détournement d'avion avec un nombre dans le titre, donc.

En général les films dont on ne se souvient pas, sont assez médiocre

tchi-tcha a écrit : ↑21 déc. 23, 23:21 Alors à la place j'ai vu un truc pas terrible : Passager 57 (Kevin 'Qui Ça ?' Hooks, 1992).

Le film n'est pas terrible en effet, mais c'est un chef-d'œuvre monumental à côté de ce que j'ai visionné hier soir:

Alors là, Netflix a des méandres, des chemins de traverse et je suis tombé sur ça.

Donald Pleasence, Peter Cushing dans une production d'horreur britannico-grecque avec des morts-vivants la nuit et des gens calmes le jour. Et un Minotaure démoniaque qui dit à ses fidèles de tuer quiconque l'embête.

Eh bien, il faut le voir pour le croire tellement tout est d'une nullité absolue.
Alors, j'aimerais bien que l'on me confirme dans un premier temps si la version diffusée sur Netflix n'a pas un problème ou si cela vient du film lui-même (il est tellement mauvais que ce ne sera pas si surprenant que cela). Le son est catastrophique, que ce soit le doublage des acteurs (oui car même si c'est tourné en anglais, ils sont tous passés en post-production derrière). Donc on a droit à des basses hyper saturées, des moments silencieux, des bruitages incongrus et incohérents (les voitures ne font pas parfois pas de bruit quand elles roulent, ni les portes quand elles s'ouvrent et se ferment, les acteurs débitent leurs dialogues ridicules en son décalé, ce qui est rigolo parfois, les explosions sont sourdes etc...).

L'image est affreuse, les cadrages foireux, même dans un pauvre panoramique sur des ruines grecques on sent la difficulté du cadreur et de son assistant opérateur (s'il en avait un) à aller d'un point A à un point B.

Et que dire de ce scénario magnifique, où on ne comprend rien, où on ne croit en rien. Et ces personnages et ces acteurs:



Là, cet acteur grec avec ses cheveux normaux et ci-dessous un peu plus tard, le voilà avec une belle perruque:




Je joue bien quand j'appelle quelqu'un qui ne me répond pas!



Ouuuuh, je suis le vilain Minotaure en plastique qui a des chalumeaux dans les narines!



Lui, il a la même expression durant tout le film.

Enfin bref, j'ai bien rigolé et j'ai bien été atterré également.