Mulholland Drive (David Lynch - 2001)
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D'ailleurs l'autre jour j'ai revu un passage du mulholland que je n'avais pas revu depuis la découverte. Outre le jeu de devinette bien amusant à la première vision, je me suis rendu compte à quel point l'ambiance du film et tout ce qui est orchestré est envoutant. Lynch est quand meme un putain de cineaste.
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- Charles Foster Kane
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I agree with this.Nikita a écrit :SPOILERS
Je vois la seconde partie du film comme la réalité, montée avec moult flash backs, tandis que la première est un rêve : après le concours de danse, le film enchaîne en caméra subjective d'une personne qui se couche puis démarre la voiture, les phares etc ...Carlotta Montay a écrit :Nikita : oui, c'est effectivement ce que j'avais pensé. Il s'agirait en fait de son autre moi, celui de la deuxième partie du film.
Dommage que le film soit beaucoup plus intéressant dans sa seconde heure que lors de sa première. C'est pour cela que je mets lost highway à la première place de la lynchographie.

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Ce n'est pas la seule raison pour ma part : Lost highway demeure un mystèreAlex Blackwell a écrit : Dommage que le film soit beaucoup plus intéressant dans sa seconde heure que lors de sa première. C'est pour cela que je mets lost highway à la première place de la lynchographie.
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- Charles Foster Kane
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Certes j'ai l'impression d'avoir beaucoup compris à Mulholland alors qu'il est très clair que je n'ai absolument rien compris à Lost highway.Nikita a écrit :Ce n'est pas la seule raison pour ma part : Lost highway demeure un mystèreAlex Blackwell a écrit : Dommage que le film soit beaucoup plus intéressant dans sa seconde heure que lors de sa première. C'est pour cela que je mets lost highway à la première place de la lynchographie.
En outre ce dernier comprend des moments vraiment grands, à commencer par le solo de saxophone dans le bar.

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Le gros défaut de MD tient dans une première partie un peu cafouilleuse où le film a du mal à trouver ses marques. Il engage beaucoup de pistes narratives qui n'aboutiront pas. Seul reproche que je lui ferais.Alex Blackwell a écrit :Mulholland drive: la force paradoxale de ce film tient sans doute à sa structure en double spirale allant chacune dans le sens opposé: de plus en plus confus et de plus en plus clair en même temps. Grâce à cela nous n'avons pas un simple exercice de style mais une nouvelle vision d'un réalisateur qui a toujours quelque chose à dire après toutes ces années.
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oui, oui, je suis d'accord (voir le topic sur le film): la première partie est inaboutie et se traine en longueur. En fait je me suis ennuyé.Tuck pendleton a écrit :Le gros défaut de MD tient dans une première partie un peu cafouilleuse où le film a du mal à trouver ses marques. Il engage beaucoup de pistes narratives qui n'aboutiront pas. Seul reproche que je lui ferais.Alex Blackwell a écrit :Mulholland drive: la force paradoxale de ce film tient sans doute à sa structure en double spirale allant chacune dans le sens opposé: de plus en plus confus et de plus en plus clair en même temps. Grâce à cela nous n'avons pas un simple exercice de style mais une nouvelle vision d'un réalisateur qui a toujours quelque chose à dire après toutes ces années.

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Pas du tout d'accord : je ressens ( et c'est bien là l'intention primordiale de Lynch ) la première partie comme un lent et splendide fantasme, s'étirant en longueur parce que le plaisir de celle qui rêve dure. Une sorte de carte postale. Deuxième partie, rupture archi abrupte, d'autant plus déstabilisante qu'elle est brève et brutale, alors que la première était longue, confortable et contemplative.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
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je parlais de personnages comme celui du Big Boss, des deux mecs du resto ou des tueurs à gages. Leur place n'est pas très bien justifié dans le film et ils sont abandonné assez rapidement d'ailleursharry callahan a écrit :Pas du tout d'accord : je ressens ( et c'est bien là l'intention primordiale de Lynch ) la première partie comme un lent et splendide fantasme, s'étirant en longueur parce que le plaisir de celle qui rêve dure. Une sorte de carte postale. Deuxième partie, rupture archi abrupte, d'autant plus déstabilisante qu'elle est brève et brutale, alors que la première était longue, confortable et contemplative.
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Les deux gars du restaurant, une des scènes les plus terriffiantes que j'a vues, me paraissent totalement justifiés dans le cheminement intellectuel du personnage de Naomi WattsTuck pendleton a écrit :je parlais de personnages comme celui du Big Boss, des deux mecs du resto ou des tueurs à gages. Leur place n'est pas très bien justifié dans le film et ils sont abandonné assez rapidement d'ailleursharry callahan a écrit :Pas du tout d'accord : je ressens ( et c'est bien là l'intention primordiale de Lynch ) la première partie comme un lent et splendide fantasme, s'étirant en longueur parce que le plaisir de celle qui rêve dure. Une sorte de carte postale. Deuxième partie, rupture archi abrupte, d'autant plus déstabilisante qu'elle est brève et brutale, alors que la première était longue, confortable et contemplative.
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vraiment rien ?Alex Blackwell a écrit :Certes j'ai l'impression d'avoir beaucoup compris à Mulholland alors qu'il est très clair que je n'ai absolument rien compris à Lost highway.Nikita a écrit :
Ce n'est pas la seule raison pour ma part : Lost highway demeure un mystère
à mon avis, Eraser Head reste parmis les longs metrages l'oeuvre de Lynch la plus difficile à aborder du point de vue de la compréhension.
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- Mogul
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...qui n'est pas présente. Cette scène me parait gratuite même si je la trouve efficace.Nikita a écrit :
Les deux gars du restaurant, une des scènes les plus terriffiantes que j'a vues, me paraissent totalement justifiés dans le cheminement intellectuel du personnage de Naomi Watts
J'imagine que tout ceci fait parti des restes du pilote que voulait tourner Lynch initialement.