Il ne m'a pas laissé un grand souvenir, celui-là.Kevin95 a écrit :(en attendant, j’applaudis le Peter Hyams).
Je l'ai revu l'an dernier, je ne sais même plus de quoi il parle...
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Il ne m'a pas laissé un grand souvenir, celui-là.Kevin95 a écrit :(en attendant, j’applaudis le Peter Hyams).
Fallait me demander mon p'tit poulet !AtCloseRange a écrit :Le forum est un peu mort en cette rentrée. j'essaie de créer du conflit et de la tension pour le ranimer un peu
Oui c'est ça.Colqhoun a écrit :Je sais plus si je confonds, mais c'est dans celui-là qu'ils font exploser une rue entière à la fin et que ça provoque un glissement de terrain ou je sais plus quoi du genre ?
Mais à côté, c'est du Citizen Kane...AtCloseRange a écrit :C'est sûr qu'à côté du Retour des morts-vivants...
Mon Dieu, ça me rappelle ce que je disais de son premier film :G.T.O a écrit :THE SIGNAL
Avant de décrire ce qu’il n’est pas, malgré ses efforts louables, à savoir un bon petit film de SF, faut dire un mot sur ce qu’il est surtout: une esthétique. Un exercice de style prétentieux et inepte, prenant des grands airs de film de SF transcendant les lois du genre pour cacher l’évidente maladresse et branlant de la construction, la redondance de la mise en scène, pour ne pas dire ses afféteries stylistiques, l’intérêt à peu près nul pris à son histoire ( en gros, Roswell et ses potes ont vu 2001 et ont décidé de créer un zoo humain pour y foutre nos trois couillons customisés) et l'émotion ressentie. Film anémié, the Signal est un tout petit film de SF au script simplet se déployant en trois actes : enquête palpitante autour d’un groupe de jeunes captant un signal mystérieux, segment scientifique au cours duquel nos trois héros sont récupérés dépositaires d’un secret, découverte dudit pouvoir et tentative ridicule d’élargissement du débat avec la désagréable impression que le film ne sait pas comment finir. Le tout est filmé comme un clip, euh, film de Tarsem Singh ( faut aimer), avec au programme : ralentis, filtres à la cons, plan tape à l’oeil, acteurs transparents et drame d’opérette, aspect clinique de l’ensemble et balai dans le cul pour l’aspect Kubrickien. Mise en scène “low-fi” ou lounge, avec musique d’ambiance ad hoc, The Signal cumule, par son scénario “foutage de gueule” et son traitement “branleur”, de plusieurs et sérieux handicaps. Plus qu’à Kubrick ou à Soderbergh, références du film, le style d’Eubank fait surtout à beaucoup de choses, et à rien de personnel. Il paye son tribut à une esthétique à la mode qui ne remplace ni des idées que le film n'a pas ni une mise en scène dont il ne dispose pas.
Une croute arty.
2/10 pour l'encre.
Aïe, aïe, aïe... tiens, j'ai ce qu'il te faut :AtCloseRange a écrit :C'est sûr qu'à côté du Retour des morts-vivants...
Même pas vrai!7swans a écrit :Mon Dieu, ça me rappelle ce que je disais de son premier film :G.T.O a écrit :THE SIGNAL
Avant de décrire ce qu’il n’est pas, malgré ses efforts louables, à savoir un bon petit film de SF, faut dire un mot sur ce qu’il est surtout: une esthétique. Un exercice de style prétentieux et inepte, prenant des grands airs de film de SF transcendant les lois du genre pour cacher l’évidente maladresse et branlant de la construction, la redondance de la mise en scène, pour ne pas dire ses afféteries stylistiques, l’intérêt à peu près nul pris à son histoire ( en gros, Roswell et ses potes ont vu 2001 et ont décidé de créer un zoo humain pour y foutre nos trois couillons customisés) et l'émotion ressentie. Film anémié, the Signal est un tout petit film de SF au script simplet se déployant en trois actes : enquête palpitante autour d’un groupe de jeunes captant un signal mystérieux, segment scientifique au cours duquel nos trois héros sont récupérés dépositaires d’un secret, découverte dudit pouvoir et tentative ridicule d’élargissement du débat avec la désagréable impression que le film ne sait pas comment finir. Le tout est filmé comme un clip, euh, film de Tarsem Singh ( faut aimer), avec au programme : ralentis, filtres à la cons, plan tape à l’oeil, acteurs transparents et drame d’opérette, aspect clinique de l’ensemble et balai dans le cul pour l’aspect Kubrickien. Mise en scène “low-fi” ou lounge, avec musique d’ambiance ad hoc, The Signal cumule, par son scénario “foutage de gueule” et son traitement “branleur”, de plusieurs et sérieux handicaps. Plus qu’à Kubrick ou à Soderbergh, références du film, le style d’Eubank fait surtout à beaucoup de choses, et à rien de personnel. Il paye son tribut à une esthétique à la mode qui ne remplace ni des idées que le film n'a pas ni une mise en scène dont il ne dispose pas.
Une croute arty.
2/10 pour l'encre.
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 6#p2470386
ça ne me rassure pas, sachant que j'avais AUSSI acheté The Signal. SUR LES CONSEILS D'ATCLOSERANGE...