Ça va les trucs que tu dégottes :
Donald Westlake au matériau
Wendell Mayes, scénariste de La Fureur des hommes, d'Autopsie d'un meurtre, de Go tell the Spartans au scénar
..et Gower Champion, du couple Marge & Gower Champion, élégants danseurs de l'âge d'or du musical à la réalisation.
Je n'ai qu'un mot à dire
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
tchi-tcha a écrit : ↑12 juil. 23, 20:30
un peu trop élitiste.
C'est que c'est pas donné, un(e) Ferreri
Sinon moi j'entame la série de Chazelle (rapport à mon cycle Chazelle évoqué plus haut) The Eddy.
Pour l’instant le 1er épisode me laisse un peu sur ma faim (pour rester dans le thème)
J'ai beaucoup aimé moi aussi, entre Cassavetes et Woody Allen (en moins névrosé). Du coup, énorme regret que la réalisatrice, Claudia Weill, n'ait pas pu poursuivre sa carrière de réalisatrice, car elle a subi un harcèlement sexuel de la part d'un producteur de son film suivant (C'est ma chance), qui l'a dégoutée du cinéma .
Suite du cycle Eloy de la Iglesia à la thèque avec: Le Député (1978)
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
Addis-Abeba a écrit : ↑12 juil. 23, 18:22
Tu n'as pas trouvé bizarre la présence de Denzel Washington ?
D'ailleurs ça vaut quoi le remake ?
A la place de Sonatine, j'ai finalement regardé Le bagarreur de Walter Hill. Bronson et Coburn au top. Belle reconstitution. Récit court et sans fioritures. J'ai passé un excellent moment. Va falloir que je regarde d'autres films de Hill. Pour ce soir, pas d’idées pour le moment. La Japan Expo m'a un peu fatigué, peut-être Dillinger de Milius. Ça ne peut pas être pire que la version de Mann.
Duane Jones a écrit : ↑13 juil. 23, 18:09
D'ailleurs ça vaut quoi le remake ?.
Je l’ai trouvé « ok » sans plus. Il se démarque surtout dans son propos: L’original (enfin disons la version de Sturges) célèbre un sacrifice héroïque. Le remake a des héros torturés qui ont « mal à leur conscience ». Disons que que c’est The Unforgiven Seven
(ce fut mon cas, son calvaire tout au long du film et cette volonté de se relever envers et contre tout, en fait un des personnages les plus forts de mon année cinephilique)
Courleciel a écrit : ↑13 juil. 23, 12:11
Suite du cycle Eloy de la Iglesia à la thèque avec: Le Député (1978)
beaucoup aimé celui-là (vu à Ecrans Mixtes 2023)
Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
Courleciel a écrit : ↑13 juil. 23, 12:11
Suite du cycle Eloy de la Iglesia à la thèque avec: Le Député (1978)
beaucoup aimé celui-là (vu à Ecrans Mixtes 2023)
ça faisait longtemps que je ne m'était pas aussi ennuyé sur un film.
La copie était très belle (DCP) mais ça manque de rythme et il y a bien 20 bonnes minutes en trop.
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
Flol a écrit : ↑13 juil. 23, 16:54
C'était bien. (j'ai dormi 3h30)
Du coup pour ce soir, histoire de garder la forme, je vais probablement me faire une petite comédie :
(ce fut mon cas, son calvaire tout au long du film et cette volonté de se relever envers et contre tout, en fait un des personnages les plus forts de mon année cinephilique)
Eh bien on verra ça plus tard parce que, trop fatigué hier soir, j'ai préféré opter pour une solution de facilité...(même pas honte)