Dvdclassik : cinéma et DVD

Soirée Révisons nos classique avec :

Courleciel a écrit :Soirée Révisons nos classique avec :

Pareil, hier soir le temple et ce soir l'arche... Le tout en 4k.
Ça n'a pas vieillit. En dirons nous autant du cadran dans 30 ans ?

Dunn a écrit : ↑29 juin 23, 23:18

Courleciel a écrit :Soirée Révisons nos classique avec :

Pareil, hier soir le temple et ce soir l'arche... Le tout en 4k.
Ça n'a pas vieillit. En dirons nous autant du cadran dans 30 ans ?

Faudrait savoir. Dans le classement des sorties, Le Cadran n'a pas l'air de te déplaire :

Dunn a écrit : ↑28 juin 23, 17:52 Indiana Jones et le cadran de la destinée : 7,5/10
Dès l'introduction tonitruante et dans l'esprit des précédants (hormis quelques détails de-aging limites comme les yeux), le film ne m'a pas lâché. C'est un très bon film d'aventure comme on ne sait plus en faire mais l'action, l'humour et les personnages, notamment notre cher Indy, remportent mon adhésion. Comme les autres, il y a quelques défauts (deux scènes d'action assez ratés, l'une trop longue, l'autre courte, ainsi que des méchants très classiques) mais la fin m'a vraiment ému et conclu très bien cette saga. Chapeau !

...et sinon :

tchi-tcha l'affranchi a écrit : ↑29 juin 23, 18:39 ...ce soir pour moi, suite des festivités Warner au cinoche avec Les Affranchis de Marvin Scorsese.

Après Casablanca, 2001 et Blade Runner (et avant le neuneu Joker que je compte zapper), cette semaine c'était au tour des Affranchis de Martine Scorsese de passer dans mon multiplexe dans le cadre d'une programmation spéciale autour des 100 ans du studio Warner.

Pour ce que vaut cette estimation au doigt mouillé, il y avait davantage de monde pour Les Affranchis à 20h30 que pour le cinquième Indiana Jones en VOST à 21h00. Donc le public avait massivement répondu présent ce soir, avec beaucoup d'étudiants dans la salle avant qu'ils dégagent d'Angers pour l'été (ça nous fera des vacances à nous aussi). Un public réceptif aussi, ça riait beaucoup aux nombreux moments d'humour noir qui traversent le film (le repas chez la mère de Joe Pesci, le café à emporter après avoir buté Samuel L. Jackson, je doute qu'on rirait autant aux trouées de violence de Casino), chouette séance.

Sauf que maintenant me voilà bien embêté. Après une longue prise de tête, j'avais préféré Casino aux Affranchis pour mon Top 100. Plus ample, plus flamboyant, plus virtuose, plus théorique aussi (Casino raconte la circulation de l'argent là où son ainé est la "simple" chronique d'une bande de gangsters), la cause était entendue. Et à présent, je n'en suis plus aussi sûr...

Je crois que je vais ouvrir un sujet pour les départager... Ah ben non, ce topic existe déjà


Pour ce venddedi soir, j'hésite entre Le Cercle Rouge d'Henri Melville à 21h00 sur France 5 ou Warcraft : le commencement de Duncan Jones (le fils du chanteur Paul McCartney) sur TFX à la même heure. Je suis un vrai ! cinéphile, je crois donc que je vais opter pour Warcraft qui a l'air plus sympa que l'autre vieux film

Le cadran ne m'a pas déplu... Mais je ne sais pas si ce sera toujours le cas dans 30ans.

manuma a écrit : ↑29 juin 23, 18:13 J'étais parti sur L'astragale version Jobert, mais, finalement, je crois que je vais me laisser tenter par ça :

A dog's journey avec Dennis Quaid

Gare au burn-out Manuma.




Hier soir, j'ai regardé le film TETRIS et c'était pas mal du tout.
Déjà, j'ai toujours été un gros fan de ce jeu. J'adore le rangement et Marie Kondō est la femme de ma vie.
Mon épitaphe est déjà choisi : Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place. Samuel Smiles, 1859
Un été, j'ai travaillé comme intérimaire au mois de juillet dans un supermarché à la mise en rayon et c'est le meilleur job que j'ai eu de ma vie. On m'avait collé au rayon des yaourts (mon rayon préférée) et je faisais tout bien comme il faut, mes packs de yaourt étaient parfaitement alignés, la face avant du produit bien en avant (pas à l'envers) et bien avancé sur le rayon, l'étiquette du prix des yaourts bien collés sur la tranche avant de l'étagère du dessous, et pas du dessus (attention, il faut faire l'inverse avec les vidéos YB). Mon "facing" était parfait. Le directeur du magasin avait reconnu que mon rayon était le plus pro du magasin mais trouvait que j'y passais trop de temps. Mon contrat ne fut pas renouvelé. Qualité vs quantité. Pot de terre vs pot de fer. Le mois d'août suivant, je me suis retrouvé dans une usine de steaks hachés à déverser des tonnes de barbaque dans un énorme hachoir dans lequel j'ai failli y laisser ma peau. Le pire job de ma vie.

Je ne connaissais rien des coulisses de la création et surtout de l'exploitation commerciale de mon jeu préféré et j'étais loin de m'imaginer de tels imbroglios politico-financiers. Le jeu a été crée par un ingénieur russe dans les années 80. Un commercial américain séduit par le jeu cherche à racheter les droits mais ça ne sera pas de tout repos, il devra faire face à Microsoft, Nintendo, au KGB. Même Gorbatchev finit par rentrer dans le game.

Il y aurait sans doute à redire mais l'histoire prend le pas sur le film en lui même et je me suis laissé facilement emporté, le film est comme le jeu assez addictif, on décroche pas.



Ce soir, je me lance dans la mini-série Oussekine dont j'ai eu de très bons échos.

murphy a écrit : ↑30 juin 23, 11:27
Gare au burn-out Manuma.

Mon nouvel objectif, plus ambitieux : faire passer la barre des 6 pages au topic Francis Blanche. On pense démarrer directement par une polémique avec Stup', son actu ciné étant encore plus calme que celle de Dennis Quaid.

Et là, Timothy ne se relèvera pas .

Sinon, ce soir, ça risque de se jouer entre The French dispatch et le biopic Get on up de Tate Taylor.

Ce soir, je vous conseille un état des lieux qui tombe pile en ce moment : Destruction Babies de Tetsuya Mariko. Voila Bisoux ^^

je l'ai déja vu au moins 10 fois mais il fait partie de ma vie ce film, surement dans le Top 10 de mes films favoris

OOOOOOoooooOOOO Que OUI, je vais l'enregistrer d'ailleurs, merci pour le rappel Nunu.
Pour ce soir, ça sera Passages de Ira Sachs. Jamais vu un film de lui, mais j'ai vu que c'est Saïd Ben Saïd et Michel Merkt qui ont produit le film.

Soirée Révisons nos classique épisode II avec :

Soirée 7swans approved avec Buffalo 66.

Ce soir c'était une découverte. Une très belle et émouvante découverte. Et ce plan final...

edit

tchi-tcha a écrit : ↑28 juin 23, 05:53 Pour confirmation : Love Coach (Gabriele Muccino, 2012) c'est pas terrible. Jessica Biel est très jolie mais elle n'a pas le beau rôle dans cette comédie romantique gentiment misogyne (pour la reconquérir, Gerard Butler fout le bordel dans sa vie et passe le film à la faire pleurer et culpabiliser, trop classe). Notre Gégé Butler creuse son sillon de père ordinaire prêt à tout sacrifier pour son fils, mais la guimauve ne lui réussit pas vraiment (en clair, ça manque de méchants à défoncer). Dennis Quaid est nul, le visage de Catherine Zeta-Jones sort d'un lifting et n'a pas retrouvé toute sa souplesse, et Uma Thurman s'y humilie elle aussi.
Verdict : pas de note, c'est naze (ou 2/10 et butez le gosse)

Rooohhh, pour un fan de l'ami Gégé, je te trouve bien sévère. Si cette rom-com gentillette ne restera pas en effet dans les annales, ça reste relativement regardable, en grande partie grâce au charme d'un Gérard Butler alors nettement plus svelte et à la mèche un brin rebelle (j'ai vu que l'acteur n'en était pas à son coup d'essai puisqu'il avait déjà joué les beaux gosses dans PS I Love You et dans The Ugly Truth dont l'affiche constitue il me semble à elle-seule une très sérieuse mise en garde). Si je devais lui attribuer une note, ça serait un 5.5, voire un 6 (soyons fous !) étant donné que 1) je ne me suis pas ennuyé devant mon poste et 2) mieux encore, je n'ai pas piqué du nez une seule fois !

PS : j'avoue que la prestation de Dennis Quaid, remonté comme un coucou suisse et ébouriffé comme un chien fou, interpelle quelque peu

Sinon ce soir, je vais enfin savoir si je vais arborer un grand sourire de contentement à l'issue du visionnage de Smile ou si au contraire ça va se finir en grosse soupe à la grimace. #suspens