
Livres ciné : derniers achats
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- Kevin95
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Re: Livres ciné : derniers achats
Le volume 2 est déjà en préparation. 

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Re: Livres ciné : derniers achats
Bon, ma commande a été annulée pour une raison que j'ignore. Je n'étais jamais passé par ce site, pas envie non plus de perdre du temps à les contacter.Père Jules a écrit :Vous avez des nouvelles sur le suivi de la commande ?Plissken a écrit :Milles yeux de Brian De Palma à 1,06€
http://www.bayapi.com/milles-yeux-de-br ... palma.html
La page est indiquée en erreur désormais et je n'ai reçu aucun mail de confirmation
Je n'ai pas été prélevé, c'est l'essentiel.
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Re: Livres ciné : derniers achats
Bonne nouvelle !Kevin95 a écrit :Le volume 2 est déjà en préparation.
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Re: Livres ciné : derniers achats

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Re: Livres ciné : derniers achats
"Les milles yeux de Brian De Palma" reçu ce matin, très bien emballé (carton + papier bulles), bouquin encore sous cellophane : un énorme merci à la personne qui a partagé 

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Re: Livres ciné : derniers achats

Quand j'ai vu le stock de mon libraire il y a 2 mois, je me suis dit qu'il s'était emporté. Et j'ai bien fait d'attendre: 30 Euros les 2 hier.

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Re: Livres ciné : derniers achats
ItouProfondo Rosso a écrit :
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- nobody smith
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Re: Livres ciné : derniers achats
AH ! Alors j'ai vu qu'il y avait quelques pages de plus (ça finit sur une date) mais c'est conséquent ou anecdotique selon toi ? à première vue... Thanks !nobody smith a écrit :
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Re: Livres ciné : derniers achats

Steven Spielberg, une rétrospective (éditions La Martinière)
Cadeau. Je suis en train de le lire et j'en suis très satisfait. Après une intro sur son adolescence ses premiers films amateurs et ses débuts chez Universal, Richard Schickel revient avec la complicité de Spielberg sur la carrière de celui-ci de manière chronologique, en revenant à chaque film sur la genèse, le tournage et l'accueil qui lui a été réservé non sans une certaine subjectivité.
Résolument grand publique, ce livre est très plaisant à lire et à feuilleter.
Au niveau des reproches, les textes, toujours intéressants (le chapitre sur E.T. m'a beaucoup plu) mais parfois un peu légers auraient pu être plus approfondis et les photos certes nombreuses sont parfois de qualité inégale (Jurassic Park) et j'aurais aimé plus d'images de tournage. On peut regretter l'absence d'un chapitre qui aurait abordé sa carrière de producteur de manière globale.
Malgré tout c'est un réel plaisir d'avoir ce joli livre entre les mains et on le parcours avec le sourie aux lèvres et les compositions de Williams qui résonnent dans les oreilles.
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Re: Livres ciné : derniers achats
L'édition comprend un épilogue de cinq pages écrit en automne dernier. Après avoir jeté un regard nostalgique sur son ancien moi, Polanski revient principalement sur son arrestation en 2009 et les évènements en découlant. Etant donné la brièveté du texte et que le retour de l'affaire a été pas mal suivi, l'ajout ne me semble pas justifié un nouveau passage en caisse.1kult a écrit :AH ! Alors j'ai vu qu'il y avait quelques pages de plus (ça finit sur une date) mais c'est conséquent ou anecdotique selon toi ? à première vue... Thanks !nobody smith a écrit :
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Re: Livres ciné : derniers achats
J’ai commencé le livre de Philippe Fraisse sur Malick (Un jardin parmi les flammes) et au sortir des 2 1ers chapitres, ça ne me fait franchement pas bonne impression.
Passé les 15 premières pages remplies de tout ce que je déteste (on ne parle en fait quasiment pas de Malick mais on préfère faire du name-dropping à fond de cale, tendance Heidegger et cie), on embraie sur des discussions finalement fort périphériques, dotées d’une construction plus proche de la digression accidentelle (« ah tiens, on revient à La ligne rouge » un peu par hasard), où l’on discute moins du cinéaste, de ses films et de leurs thèmes que de ce qui visiblement parle à Fraisse lui-même.
Et visiblement, hormis Malick et 2-3 autres vagues choses, pas grand-chose d’autre ne parle à Fraisse : Darwin, le Museum d’Histoires Naturelles, les journalistes, les Cahiers du Cinema, les autres philosophes, d’autres films (Matrix se fait plier en 2 lignes), tout est prétexte à être dénigré sans vergogne ni finesse, quitte à donner l’impression de se retrouver un peu par hasard au milieu d’une guerre de clochers.
C’est particulièrement désagréable parce que quasi systématiquement gratuit, tombant comme un cheveu sur la soupe de façon totalement superflue. On pourrait parfaitement s’en passer tant ces atermoiements ne servent ni le propos ni l’auteur et remplit artificiellement le texte.
Au bout de ces 2 chapitres assez pénibles à lire, le livre m’est pour ainsi dire tomber des mains. Il faut dire qu’au-delà de ces dénigrements superflus trop fréquents, le livre n’apporte finalement rien de très novateur sur le cinéaste ou ces films. Fraisse convoque bien Boorman à un moment mais pour n’en sortir aucun lien particulier. A la rigueur, il y a quelques éléments de comparaison intéressants autour de la sensualité en comparant Badlands à Bonnie & Clyde, et A la merveille à Eyes Wide Shut, mais c’est au pris d’un phrasé ampoulé donnant l’impression que chez Kubrick, Nicole Kidman fait pipi par le cul. Ca ne s’invente pas.
Bref, je regrette pour le moment particulièrement mon achat et me prend à préférer les analyses parues chez Ellipses, pourtant pas particulièrement novatrices ou pointues.
Passé les 15 premières pages remplies de tout ce que je déteste (on ne parle en fait quasiment pas de Malick mais on préfère faire du name-dropping à fond de cale, tendance Heidegger et cie), on embraie sur des discussions finalement fort périphériques, dotées d’une construction plus proche de la digression accidentelle (« ah tiens, on revient à La ligne rouge » un peu par hasard), où l’on discute moins du cinéaste, de ses films et de leurs thèmes que de ce qui visiblement parle à Fraisse lui-même.
Et visiblement, hormis Malick et 2-3 autres vagues choses, pas grand-chose d’autre ne parle à Fraisse : Darwin, le Museum d’Histoires Naturelles, les journalistes, les Cahiers du Cinema, les autres philosophes, d’autres films (Matrix se fait plier en 2 lignes), tout est prétexte à être dénigré sans vergogne ni finesse, quitte à donner l’impression de se retrouver un peu par hasard au milieu d’une guerre de clochers.
C’est particulièrement désagréable parce que quasi systématiquement gratuit, tombant comme un cheveu sur la soupe de façon totalement superflue. On pourrait parfaitement s’en passer tant ces atermoiements ne servent ni le propos ni l’auteur et remplit artificiellement le texte.
Au bout de ces 2 chapitres assez pénibles à lire, le livre m’est pour ainsi dire tomber des mains. Il faut dire qu’au-delà de ces dénigrements superflus trop fréquents, le livre n’apporte finalement rien de très novateur sur le cinéaste ou ces films. Fraisse convoque bien Boorman à un moment mais pour n’en sortir aucun lien particulier. A la rigueur, il y a quelques éléments de comparaison intéressants autour de la sensualité en comparant Badlands à Bonnie & Clyde, et A la merveille à Eyes Wide Shut, mais c’est au pris d’un phrasé ampoulé donnant l’impression que chez Kubrick, Nicole Kidman fait pipi par le cul. Ca ne s’invente pas.
Bref, je regrette pour le moment particulièrement mon achat et me prend à préférer les analyses parues chez Ellipses, pourtant pas particulièrement novatrices ou pointues.