Classement des sorties Cinéma/VOD 2024 [clos]
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Tina Quintero
- Electro
- Messages : 834
- Inscription : 21 nov. 18, 01:20
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Nosferatu 6/10
- Outerlimits
- Assistant opérateur
- Messages : 2996
- Inscription : 26 avr. 08, 23:24
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Kill : 5/10
- Colqhoun
- Qui a tué flanby ?
- Messages : 34189
- Inscription : 9 oct. 03, 21:39
- Localisation : Helvetica
- Contact :
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Nosferatu - 3/10
- Joshua Baskin
- ambidextre godardien
- Messages : 12335
- Inscription : 13 avr. 03, 20:28
- Localisation : A la recherche de Zoltar
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Pourquoi tu souris ? (Christine Paillard, Chad Chenouga) : 5,5/10
Intersections Global Corp.
- Flol
- smells like pee spirit
- Messages : 57420
- Inscription : 14 avr. 03, 11:21
- Contact :
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Venom : The Last Dance : 2/10
- Spoiler (cliquez pour afficher)
- Alibabass
- Décorateur
- Messages : 3540
- Inscription : 24 nov. 17, 19:50
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Mon Inséparable (Anne-Sophie Bailly) : 6,5/10
- bocina
- Producteur Exécutif
- Messages : 7031
- Inscription : 11 mars 05, 16:06
- Contact :
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Fallait le faire avec Addis et moi quand on a fait 2 semaines d'horreur au sens propre comme au figuré

Bon lui continue car il a un problème psychiatrique maintenant

L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense, donc tu suis. » Pierre Desproges
Ma Collection - Mon Planning Achats
Ma Collection - Mon Planning Achats
- zemat
- Producteur
- Messages : 8327
- Inscription : 1 juil. 10, 14:16
- Liste DVD
- Localisation : Dans le labo de Walter ou dans le bureau de Don.
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
LAROY : 6/10
À défaut d’avoir un nouveau film des frères Coen, on doit se contenter des ersatz comme ce LaRoy sorti au printemps dernier. On y retrouve le même style de personnages plus ou moins débiles et vénaux et une intrigue lorgnant sur « Fargo », la mayonnaise prend plutôt bien sur la première heure mais a du mal à tenir sur la durée.
SHIN GODZILLA : 6/10
J’avais compris du concept que l’intrigue se concentrait plus sur la réponse administrative à l’arrivée du Kaiju qu’aux destructions qu’il engendre. C’est donc bien le cas, le résultat s’avérant être très bavard, notamment dans sa première heure (où j’ai un peu comaté à cause de la fatigue). Heureusement ces dialogues ne sont jamais vains, on décortique tous les niveaux politiques et scientifiques qui doivent s’allier pour anéantir la menace pesant sur Tokyo.
Les scènes de destruction sont rares mais joliment mises en scène (tout en étant sans commune mesure avec celles vu dans « Minus One »), toutes les transformations de Godzilla sont bien détaillées.
In fine loin d’être mémorable mais sympathique.
CE NOËL-LA : 7/10
La particularité de ce long-métrage d’animation arrivé il y a quelques semaines sur Netflix est d’être co-scénarisé par Richard Curtis sur la base de 3 de ses livres.
L’intrigue se concentre sur divers enfants qui sont laissés seuls le soir du réveillon de Noël suite à une tempête de neige s’abattant sur leur île dans le sud-ouest de l’Angleterre.
C’est rythmé, souvent drôle, les dialogues sont soignés (avec quelques jeux de mots à destination des adultes, et des piques adressées à « Love Actually ») et les personnages joliment définis.
NOSFERATU (2024) : 7/10
Je n’avais pas initialement prévu d’aller voir ce remake du film de Murnau (d’autant plus que je ne l’ai seulement découvert que cette année), mais les critiques et les différents avis glanés en ces lieux ont su aiguisé mon intérêt.
Et finalement j’ai bien fait car cette réactualisation s’est avérée être très réussie, notamment sur le plan visuel. Toute la direction artistique est extrêmement soignée, l’image est souvent très sombre mais cela colle parfaitement au contexte.
Au niveau du scénario, j’avais indiqué il y a quelques mois pour le Murnau ma lassitude de revoir toujours les mêmes éléments narratifs issus du roman de Bram Stocker, mais d’une part c’est plutôt bien passé ici et d’autre part le dernier quart réussit à apporter du sang neuf !
L’autre atout du film est son casting, notamment Lily-Rose Depp que je découvrais et qui se montre souvent impressionnante !
UNE VIE : 5.5/10
J’avais littéralement fait la fine-bouche à la sortie de ce film sur la base de la critique mitigée de Première et une bande-annonce donnant un côté tire-larmes au film.
Finalement le scénario est intéressant même si la mise en scène m’a paru très académique.
Par contre je n’en reviens toujours pas que la bande-annonce ait autant spoilé l’un des moments clés du final… Mais ça n’a pas du gêner le grand public qui a fait du film l’un des succès de cette année…
Docs :
ELTON JOHN : NEVER TOO LATE : 7/10
Ce documentaire se concentre sur la période 1970-1975, soit la plus prolifique d’Elton, culminant à ses deux concerts au Dodgers Stadium en octobre 75, tout en faisant des aller-retours temporels avec les mois précédents son dernier concert sur le sol américain le 20 novembre 2022, encore une fois au Dodgers Stadium.
Ayant lu sa biographie il y a quelques années, je ne peux pas dire que j’ai appris grand-chose avec ce doc, reste que les images d’archives sont très plaisantes à découvrir et les anecdotes sont souvent passionnantes.
BEATLES' 64 : 7/10
Ce nouveau documentaire sur les Beatles se concentre sur les 3 semaines de février 1964 où ils firent leur première visite aux USA.
Suivis quasi continuellement par une équipe documentaire, les Fab Four multiplient les bons mots et font les clowns pour passer le temps alors qu’ils sont séquestrés dans leur chambre d’hôtel ou dans les transports.
L’intérêt majeur de ce documentaire est de nous détailler l’impact culturel énorme de cette venue aux USA sur la jeunesse américaine, que ce soit à travers des images d’archives (excellente séquence où deux ados sont ébahies devant les images du Ed Sullivan Show tandis que le père de famille se terre dans le canapé avec un air renfrogné) ou des témoignages récents décrivant le vent de liberté qui souffla alors sur la jeunesse.
Pour ceux qui ne l’ont pas vu, le film « I Wanna Hold Your Hand / Crazy Day » de Robert Zemeckis détaille bien la folie de ses fans tentant à tout prix de pénétrer dans l’hôtel new-yorkais où le groupe résidait.
ERNEST COLE, PHOTOGRAPHE : 5.5/10
Ce n’est qu’en parcourant le best-of des documentaires de 2024 sélectionné par Variety (https://variety.com/lists/best-documentaries-of-2024/) que j’ai entendu parler de ce documentaire pour la première fois, et que j’ai découvert qu’il venait de sortir en salle. J’avoue avoir été attiré à par la possibilité d’avoir un doc similaire à « A la recherche de Vivian Mayer », hélas je suis resté sur ma faim.
Certes la section du documentaire consacrée à l’apartheid est intéressante, mais ce qui suit a eu du mal à me passionner, que ce soit le parcours chaotique d’Ernest Cole, ses photographies ou le mystère (non résolu) entourant la découverte de ses archives dans le coffre d’une banque en Suède…
À défaut d’avoir un nouveau film des frères Coen, on doit se contenter des ersatz comme ce LaRoy sorti au printemps dernier. On y retrouve le même style de personnages plus ou moins débiles et vénaux et une intrigue lorgnant sur « Fargo », la mayonnaise prend plutôt bien sur la première heure mais a du mal à tenir sur la durée.
SHIN GODZILLA : 6/10
J’avais compris du concept que l’intrigue se concentrait plus sur la réponse administrative à l’arrivée du Kaiju qu’aux destructions qu’il engendre. C’est donc bien le cas, le résultat s’avérant être très bavard, notamment dans sa première heure (où j’ai un peu comaté à cause de la fatigue). Heureusement ces dialogues ne sont jamais vains, on décortique tous les niveaux politiques et scientifiques qui doivent s’allier pour anéantir la menace pesant sur Tokyo.
Les scènes de destruction sont rares mais joliment mises en scène (tout en étant sans commune mesure avec celles vu dans « Minus One »), toutes les transformations de Godzilla sont bien détaillées.
In fine loin d’être mémorable mais sympathique.
CE NOËL-LA : 7/10
La particularité de ce long-métrage d’animation arrivé il y a quelques semaines sur Netflix est d’être co-scénarisé par Richard Curtis sur la base de 3 de ses livres.
L’intrigue se concentre sur divers enfants qui sont laissés seuls le soir du réveillon de Noël suite à une tempête de neige s’abattant sur leur île dans le sud-ouest de l’Angleterre.
C’est rythmé, souvent drôle, les dialogues sont soignés (avec quelques jeux de mots à destination des adultes, et des piques adressées à « Love Actually ») et les personnages joliment définis.
NOSFERATU (2024) : 7/10
Je n’avais pas initialement prévu d’aller voir ce remake du film de Murnau (d’autant plus que je ne l’ai seulement découvert que cette année), mais les critiques et les différents avis glanés en ces lieux ont su aiguisé mon intérêt.
Et finalement j’ai bien fait car cette réactualisation s’est avérée être très réussie, notamment sur le plan visuel. Toute la direction artistique est extrêmement soignée, l’image est souvent très sombre mais cela colle parfaitement au contexte.
Au niveau du scénario, j’avais indiqué il y a quelques mois pour le Murnau ma lassitude de revoir toujours les mêmes éléments narratifs issus du roman de Bram Stocker, mais d’une part c’est plutôt bien passé ici et d’autre part le dernier quart réussit à apporter du sang neuf !
L’autre atout du film est son casting, notamment Lily-Rose Depp que je découvrais et qui se montre souvent impressionnante !
UNE VIE : 5.5/10
J’avais littéralement fait la fine-bouche à la sortie de ce film sur la base de la critique mitigée de Première et une bande-annonce donnant un côté tire-larmes au film.
Finalement le scénario est intéressant même si la mise en scène m’a paru très académique.
Par contre je n’en reviens toujours pas que la bande-annonce ait autant spoilé l’un des moments clés du final… Mais ça n’a pas du gêner le grand public qui a fait du film l’un des succès de cette année…
Docs :
ELTON JOHN : NEVER TOO LATE : 7/10
Ce documentaire se concentre sur la période 1970-1975, soit la plus prolifique d’Elton, culminant à ses deux concerts au Dodgers Stadium en octobre 75, tout en faisant des aller-retours temporels avec les mois précédents son dernier concert sur le sol américain le 20 novembre 2022, encore une fois au Dodgers Stadium.
Ayant lu sa biographie il y a quelques années, je ne peux pas dire que j’ai appris grand-chose avec ce doc, reste que les images d’archives sont très plaisantes à découvrir et les anecdotes sont souvent passionnantes.
BEATLES' 64 : 7/10
Ce nouveau documentaire sur les Beatles se concentre sur les 3 semaines de février 1964 où ils firent leur première visite aux USA.
Suivis quasi continuellement par une équipe documentaire, les Fab Four multiplient les bons mots et font les clowns pour passer le temps alors qu’ils sont séquestrés dans leur chambre d’hôtel ou dans les transports.
L’intérêt majeur de ce documentaire est de nous détailler l’impact culturel énorme de cette venue aux USA sur la jeunesse américaine, que ce soit à travers des images d’archives (excellente séquence où deux ados sont ébahies devant les images du Ed Sullivan Show tandis que le père de famille se terre dans le canapé avec un air renfrogné) ou des témoignages récents décrivant le vent de liberté qui souffla alors sur la jeunesse.
Pour ceux qui ne l’ont pas vu, le film « I Wanna Hold Your Hand / Crazy Day » de Robert Zemeckis détaille bien la folie de ses fans tentant à tout prix de pénétrer dans l’hôtel new-yorkais où le groupe résidait.
ERNEST COLE, PHOTOGRAPHE : 5.5/10
Ce n’est qu’en parcourant le best-of des documentaires de 2024 sélectionné par Variety (https://variety.com/lists/best-documentaries-of-2024/) que j’ai entendu parler de ce documentaire pour la première fois, et que j’ai découvert qu’il venait de sortir en salle. J’avoue avoir été attiré à par la possibilité d’avoir un doc similaire à « A la recherche de Vivian Mayer », hélas je suis resté sur ma faim.
Certes la section du documentaire consacrée à l’apartheid est intéressante, mais ce qui suit a eu du mal à me passionner, que ce soit le parcours chaotique d’Ernest Cole, ses photographies ou le mystère (non résolu) entourant la découverte de ses archives dans le coffre d’une banque en Suède…
- Flavia
- My Taylor is rich
- Messages : 4213
- Inscription : 4 juin 11, 21:27
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Scandaleusement vôtre : 7/10
- -magik-
- Assistant opérateur
- Messages : 2537
- Inscription : 7 mars 19, 19:07
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
City of Darkness : 6/10
- douane eddy
- Machino
- Messages : 1269
- Inscription : 31 août 12, 19:06
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Conclave : 3.5/10
Sarah Bernhardt, la divine : 7/10
Sarah Bernhardt, la divine : 7/10
- TheGentlemanBat
- Assistant opérateur
- Messages : 2585
- Inscription : 30 nov. 14, 19:04
- Localisation : Batcave
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Planète B : 2/10
Je crois être le seul (maso) à m'être infligé ce film de SF made in France qui n'a clairement pas les moyens de ses ambitions. Quelques casques VR, des drones, un soupçon de VFX par-ci par-là pour tenter de matérialiser à l'écran ce futur proche (l'action se passe en 2039) avec comme clou du spectacle une prison virtuelle prenant la forme d'un espèce de complexe hôtelier perdu sur je ne sais quelle île dans laquelle se retrouve catapultée la bande d'activistes/écoterroristes de pacotille menée par Adèle Exarchopoulos. Hormis d'ailleurs le personnage de Souheila Yacoub qui insuffle un semblant de rythme dans ce machin mollasson au possible (j'ai piqué du nez 2 fois tellement je me suis fait ch***), la plupart sont inintéressants parce qu'à peine esquissés. Pire encore, certains sont littéralement à baffer, je pense en particulier à celui joué par une India Hair pas loin d'être mauvaise comme une cochonne qui passe le plus clair du temps à gueuler comme une hystérique (mention spéciale au passage aux looks arborés par tout ce joli monde, pas du tout clichés, notamment au niveau des persos masculins affublés évidemment de nombreux tatouages - parce que ça fait plus roots - qui en exagérant à peine donnent l'impression d'avoir été dessinés au marqueur). Bref, une belle cata qui mérite d'être visible dans un parc de salles plus que restreint (8 salles sur Paris) à peine 15 jours après sa sortie.
Je crois être le seul (maso) à m'être infligé ce film de SF made in France qui n'a clairement pas les moyens de ses ambitions. Quelques casques VR, des drones, un soupçon de VFX par-ci par-là pour tenter de matérialiser à l'écran ce futur proche (l'action se passe en 2039) avec comme clou du spectacle une prison virtuelle prenant la forme d'un espèce de complexe hôtelier perdu sur je ne sais quelle île dans laquelle se retrouve catapultée la bande d'activistes/écoterroristes de pacotille menée par Adèle Exarchopoulos. Hormis d'ailleurs le personnage de Souheila Yacoub qui insuffle un semblant de rythme dans ce machin mollasson au possible (j'ai piqué du nez 2 fois tellement je me suis fait ch***), la plupart sont inintéressants parce qu'à peine esquissés. Pire encore, certains sont littéralement à baffer, je pense en particulier à celui joué par une India Hair pas loin d'être mauvaise comme une cochonne qui passe le plus clair du temps à gueuler comme une hystérique (mention spéciale au passage aux looks arborés par tout ce joli monde, pas du tout clichés, notamment au niveau des persos masculins affublés évidemment de nombreux tatouages - parce que ça fait plus roots - qui en exagérant à peine donnent l'impression d'avoir été dessinés au marqueur). Bref, une belle cata qui mérite d'être visible dans un parc de salles plus que restreint (8 salles sur Paris) à peine 15 jours après sa sortie.
Dernière modification par TheGentlemanBat le 7 janv. 25, 19:48, modifié 1 fois.
- nunu
- Assistant opérateur
- Messages : 2691
- Inscription : 20 avr. 23, 16:02
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Il passe a Dijon et je dois avouer qu'il me tente quand même et puis ya Adéle
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
- TheGentlemanBat
- Assistant opérateur
- Messages : 2585
- Inscription : 30 nov. 14, 19:04
- Localisation : Batcave
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Adèle ou pas Adèle, qui je pense a rarement été aussi peu à son avantage (à force de vilains cauchemars qu'on lui inflige, elle a les yeux tout cernés et le nez qui coule pendant une bonne partie du film, en plus d'être mal coiffée et limite sale), m'est avis que comme moi tu risques de les sentir passer les 1H58 que dure le film.
- Addis-Abeba
- Mouais
- Messages : 17602
- Inscription : 12 nov. 04, 23:38
- Localisation : Chocolatine
Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
-Raging Grace:
La fin ratée gâche un ensemble jusque-là assez intrigant.
5/10
La fin ratée gâche un ensemble jusque-là assez intrigant.
5/10