Dvdclassik : cinéma et DVD

Jack Griffin a écrit : ↑20 avr. 22, 17:13

Alexandre Angel a écrit : ↑18 avr. 22, 22:13
L'Histoire de ma femme r.
Une très belle retrouvaille avec Ildiko Enyedi.

Tente Corps et âme

tres bon film que celui-çi, en effet

Je n'avais jamais terminé mon coffret Forbidden Hollywood Wellman, laissant Heroes for sale pour la bonne bouche et bien quelle claque. Il est impressionnant de voir un récit d'une telle ampleur traité avec une telle efficacité, sans jamais donner l'impression de survoler une thématique, ou de la laisser de côté. Quelle ouverture impressionnante dans les tranchées, quelle qualité dans l'écriture des personnages, quelle richesse thématique. Une leçon de mise en scène, et un Richard Barthelmess génial.

William Wellman est doucement en train de se faire une place dans mon panthéon des réalisateurs américains, ne serait ce qu'au regard de la variété et de la profusion de ses réussites.

..et en plus, il y a Loretta Young.

Alexandre Angel a écrit : ↑21 avr. 22, 10:38 ..et en plus, il y a Loretta Young.

En plus !!


C'est vrai que la filmo de Wellman est impressionnante, particulièrement à cette période. Quelle productivité, et surtout quelle densité de grands films !!

Il y a eu une grande époque Wellman dans mon parcours perso, c'est quand Brion avait fait un cycle au CDM en 88-89, par là. J'avais tout aimé, tout m'avait intéressé, notamment le délicieux The Happy Years, avec Dean Stockwell. Robin des Bois d'Eldorado n'était pas fameux (mais pas nul) à cause du jeu calamiteux de Warner Baxter.
C'est là que j'ai connu Heroes for sale.
Au delà du Missouri m'avait ébloui (la course folle du cheval avec le bébé accroché sur le côté ).

Alexandre Angel a écrit : ↑21 avr. 22, 10:51 Il y a eu une grande époque Wellman dans mon parcours perso, c'est quand Brion avait fait un cycle au CDM en 88-89, par là. J'avais tout aimé, tout m'avait intéressé, notamment le délicieux The Happy Years, avec Dean Stockwell. Robin des Bois d'Eldorado n'était pas fameux (mais pas nul) à cause du jeu calamiteux de Warner Baxter.
C'est là que j'ai connu Heroes for sale.
Au delà du Missouri m'avait ébloui (la course folle du cheval avec le bébé accroché sur le côté ).

Tout pareil y compris pour les dates de découvertes

Jack Carter a écrit : ↑20 avr. 22, 17:58

Jack Griffin a écrit : ↑20 avr. 22, 17:13

Tente Corps et âme

tres bon film que celui-çi, en effet

C'est terrible mais quand tu as posté cette image, j'ai été à deux doigts de faire une vanne sur Jacques Perrin

Nouveau candidat avec Qui à part nous de Jonas Trueba qui signe une nouvelle belle réussite après Les Exilés Romantiques et Eva en aout. C'est une sorte de pendant espagnol et choral du Adolescentes de Sébastien Lifshitz avec une fresque intimiste façon docu-fiction de 3h40 suivant un groupe de lycéens entre 2016 et 2020 durant le premier confinement. Juste, touchant et peuplé de personnage attachants, jamais ennuyeux malgré sa durée fleuve.

Jeremy Fox a écrit : ↑1 avr. 22, 06:05 La Rivière de nos Amours (The Indian Fighter) : André de Toth 1955 : 9/10

Au fait, amélioration conséquente ?

Alexandre Angel a écrit : ↑24 avr. 22, 22:51

Jeremy Fox a écrit : ↑1 avr. 22, 06:05 La Rivière de nos Amours (The Indian Fighter) : André de Toth 1955 : 9/10

Au fait, amélioration conséquente ?

Techniquement ? Le DVD était déjà excellent : donc oui un peu dans le niveau de détails mais on ne peut pas parler de conséquente à mon avis. L'objet est superbe en revanche.

Jack Carter a écrit : ↑1 avr. 22, 00:08 135. Ebola Syndrome...Yi boh lai beng duk (Herman Yau, 1996) *

Ton baptême de feu Category III, j'imagine? Quoi que je pense de cette chose, je regrette d'avoir raté son passage en salles parisien, ne serait-ce que pour les réactions du public à la prestation d'Anthony Wong.

cinephage a écrit : ↑1 avr. 22, 08:48 Cinquième set, de Quentin Reynaud (2020) 7/10 - Un film qui repose énormément sur les épaule d'Alex Lutz, impeccable ici encore. Il faudra faire avec les longues séquences de tennis, un peu répétitives sur la durée...

Le problème de base, c'est que si le tennis était un sport cinégénique ça se saurait. Pour le reste, il y a Lutz bien sûr et une peinture du tennis en forme de contrepoint bienvenu à sa glamourisation médiatique (elle-même due à la focalisation sur les grands champions).

cinephage a écrit : ↑1 avr. 22, 08:48 The Chase / Harikomo, de Yoshitarô Nomura (1958) 8/10 - Entre film policier et drame social, un film qui prend le temps de se plonger dans la complexité de ses personnages. Pas mal du tout.

Pas forcément enthousiaste de Nomura (en dehors de la superbe dernière heure du Vase de Sable), j'apprécie réellement celui-là, son ambiance attentiste et estivale, la part de voyeurisme du travail de filature renvoyant (involontairement?) à Hitchcock.

Jeremy Fox a écrit : ↑25 avr. 22, 07:01

Alexandre Angel a écrit : ↑24 avr. 22, 22:51 Au fait, amélioration conséquente ?

Techniquement ? Le DVD était déjà excellent : donc oui un peu dans le niveau de détails mais on ne peut pas parler de conséquente à mon avis. L'objet est superbe en revanche.

C'est vrai que le dvd est bien .
Merci !

J’avais deja vu l’autre film du tandem Yau/Wong, The Untold story qui m’avait déjà même si plus moyennement emballé
La je trouve que ça va encore plus loin (je me suis pas remis d’Anthony Wong cracher sur les passants et les flics quand il apprend qu’il a le Ebola )
Bref, plutot fan de ce truc déviant qui m’aura fait mourir de rire (ma vrai note 7/10 ) et un Anthony Wong absolument dans une performance « autre »
Bref fan de cette « chose »

origan42 a écrit : ↑25 avr. 22, 14:37 Par ordre de préférence :

Tendresse (George Sidney, 1948) *****

Stevens plutôt

Profondo Rosso a écrit : ↑22 avr. 22, 22:57 Nouveau candidat avec Qui à part nous de Jonas Trueba qui signe une nouvelle belle réussite après Les Exilés Romantiques et Eva en aout. C'est une sorte de pendant espagnol et choral du Adolescentes de Sébastien Lifshitz avec une fresque intimiste façon docu-fiction de 3h40 suivant un groupe de lycéens entre 2016 et 2020 durant le premier confinement. Juste, touchant et peuplé de personnage attachants, jamais ennuyeux malgré sa durée fleuve.

Entre son concept qui semble avoir été créé rien que pour moi, et le fait que Eva en août avait été un gros coup de cœur, tellement envie de le voir celui-là...
Sauf que 3h40.