Dvdclassik : cinéma et DVD

Arn a écrit : ↑15 avr. 22, 15:13 Avec pas mal de retard, mon top 5 du mois de mars :

OK, OK, c'est intéressant tout ça, mais quid de ton retour sur Citizen Kane?

Addis-Abeba a écrit : ↑15 avr. 22, 13:34 Oui très très bon ce Jeepers, j'aimerai bien qu'un jour on nous le sorte (en France) en Blu-ray , dans mon vieux souvenir le 2 était lui aussi très réussi.

Yep, le 2nd par rapport au 1er, c'est un peu l'équivalent de Aliens VS Alien : un pur actioner qui déboîte, là où le 1er faisait plus dans la pure flippe.
Par contre, vous pouvez tranquillement éviter le 3ème.

Watkinssien a écrit : ↑15 avr. 22, 15:28

Arn a écrit : ↑15 avr. 22, 15:13 Avec pas mal de retard, mon top 5 du mois de mars :

OK, OK, c'est intéressant tout ça, mais quid de ton retour sur Citizen Kane?

Haha je n'ai pas oublié je rattrape mon retard sur mes visionnages du mois d'avril là, et j'irais ensuite faire un tour sur son topic

Arn a écrit : ↑15 avr. 22, 15:48

Watkinssien a écrit : ↑15 avr. 22, 15:28

OK, OK, c'est intéressant tout ça, mais quid de ton retour sur Citizen Kane?

Haha je n'ai pas oublié je rattrape mon retard sur mes visionnages du mois d'avril là, et j'irais ensuite faire un tour sur son topic

Arn a écrit : ↑15 avr. 22, 15:22 Les Visiteurs (Jean-Marie Poiré - 1973) 7/10
c'est à la fois lamentable (certains cadrage, mon dieu...) et formidable.

Oui, enfin, Arn, il faudrait éventuellement trancher

Alexandre Angel a écrit : ↑16 avr. 22, 15:11

Arn a écrit : ↑15 avr. 22, 15:22 Les Visiteurs (Jean-Marie Poiré - 1973) 7/10
c'est à la fois lamentable (certains cadrage, mon dieu...) et formidable.

Oui, enfin, Arn, il faudrait éventuellement trancher

Je peux trancher pour vous si vous voulez

Pourquoi trancher ?
Moi je l'aime bien comme ça ce film, avec pleins de choses très nuls mais malgré tout il me fait rire (parfois en raison de ses défauts) et me fascine.
Pareil d'ailleurs pour le encore pire Les anges gardiens.

Évidemment les avoir vu pas loin d'une dizaine de fois chacun lorsque j'étais gamin doit jouer sur mon appréciation actuel.

Je me souviens avoir eu deux chocs au moment du Festival de Cannes 1990 : Sweetie, de Jane Campion et Mon XXème siècle d'Ildiko Enyedi. Ce dernier m'avait enthousiasmé par ses trouvailles, sa liberté de ton et, déjà, ses airs espiègles d'évocation passéiste débridée.
Quelques trente- deux ans, et une petite poignée de films (que je n'ai pas vus), plus tard, la cinéaste hongroise nous livre une œuvre extrêmement intéressante, d'une qualité d'imaginaire et d'une invention discrète mais constante qui font vraiment plaisir.
Absorbant de manière profitable, en les atténuant, les pesanteurs de la co-prod (on parle anglais, dans ce film mais l'anglais permet notamment l'épatant jeu de mot du titre original ainsi traduit: The Story of my Wife), L'Histoire de ma femme résonne et brille des courants de culture (magyar, viennoise..mittel, quoi) qui le traverse.
Dès les premières minutes, je me suis senti accroché par ces plans colorés et percussifs évoquant la mer et les livres de Conrad (le plus exotique des Polonais) et tout du long, j'ai retrouvé le charme du meilleur cinéma européen qui, de temps à autre, sait éviter l'écueil de l'académisme et j'ai pensé notamment au Temps retrouvé, de Raul Ruiz, certainement la meilleure adaptation de Proust, principalement à chaque apparition de Louis Garrel, qui semble s'en échapper.
Lea Seydoux, malgré ce petit quelque chose de fabriqué dont elle peine à se départir et les minauderies qui vont avec, est pas mal, sincère et crédible. Le néerlandais Gijs Naber, quant à lui, compose une silhouette conradienne, à la fois virile et fragile, que je ne suis pas prêt d'oublier.
Une très belle retrouvaille avec Ildiko Enyedi.

Ah ouais, Ruiz, carrément.
Tu donnes bien envie !
Merci.

Coup de coeur hier soir pour le Charade de Stanley Donen à l'écriture chirurgicale et à la fraicheur intacte. Le mélange entre la comédie, la romance et le film à suspens fonctionne à merveille. A quoi s'ajoute un duo à tomber, le très bon score de Mancini et le Paris du début des 60s.

Pas grand chose à en dire si ce n’est que ce blockbuster décomplexé et euphorisant m’a scotché à mon siege 3 heures durant !

Merci à Allan Theo et toute son équipe d’avoir proposé ce spectacle sur grand écran dans le cadre des Hallus

Bon maintenant je pars à la recherche de la mouche vengeresse et de Baubali !

Y'a rien qui va dans ce message

L'affiche, Allan Théo, le blockbuster, l'Inde... fuck JC, what's happening to you ?!

Père Jules a écrit : ↑19 avr. 22, 11:25 L'affiche, Allan Théo, le blockbuster, l'Inde... fuck JC, what's happening to you ?!

Du grand cinoche (qui meriterait autant de salles qu’un Marvel à la con au lieu d’un parc restreint de salles en province avec une seance et puis s’en va)

Tu te moques mais Vic Vega lui a collé un 7