Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Publié : 8 août 21, 11:13
https://www.dvdclassik.com/forum/
Tout simplement meilleur thriller satanique des seventies pour Bibi.
Je me suis fait la même réflexion, Spotlight ayant toute de même raflé quelques prestigieuses récompenses si je me souviens bien. Réal très intéressant en effet, qui ne s'est jamais trop loupé à ce jour (pas vu son Adam Sandler par contre). J'ai vu qu'il avait aussi participé à l'écriture de Up. On en retrouve d'ailleurs quelques traces dans ce Timmy Failure.AtCloseRange a écrit : ↑8 août 21, 11:55 Bizarre qu'il ait mis autant de temps à revenir au ciné après Spotlight. Un réal que j'aime bien.
Le film s'est fait démolir par la critique et je ne comprends vraiment pas pourquoi (enfin il y a des anti-Sandler).manuma a écrit : ↑8 août 21, 12:07Je me suis fait la même réflexion, Spotlight ayant toute de même raflé quelques prestigieuses récompenses si je me souviens bien. Réal très intéressant en effet, qui ne s'est jamais trop loupé à ce jour (pas vu son Adam Sandler par contre).AtCloseRange a écrit : ↑8 août 21, 11:55 Bizarre qu'il ait mis autant de temps à revenir au ciné après Spotlight. Un réal que j'aime bien.
AtCloseRange a écrit : ↑17 juin 15, 19:28 The Cobbler (Thomas McCarthy - 2015)
Vu la réception catastrophique du film outre-Atlantique, je me demande si le film va sortir ici et pourtant il le mériterait. C'est un conte naïf entre Woody Allen (on pense un peu à Alice), les frères Coen (pour A Serious Man) et Capra (l'esprit de You Can't Take it With You) qui a pas mal de charme.
Tout ça est sans doute un peu trop "gentil" (c'est la marque de fabrique de McCarthy et ça fait finalement du bien dans le contexte actuel) mais j'ai globalement marché. C'est toujours un excellent directeur d'acteurs (on se rappelle de Richard Jenkins, formidable dans The Visitor ou The Station Agent): Adam Sandler y est très bien (c'est un acteur qui mériterait d'être mieux exploité) et puis il y a le plaisir d'y retrouver Dustin Hoffman et Steve Buscemi.
Le tout est rehaussé par un visuel séduisant et on retrouve l'ambiance un peu surannée et l'ambiance optimiste de certains films des années 80.
Loin d'être un grand film (le scénario patine un peu parfois dans la 2ème moitié même si ça retombe globalement sur ses pattes) mais un film hors du temps et hors des modes (et loin des horreurs récentes commises par Sandler).
Allez, vendu... J'admets qu'il me faisait un peu peur, celui-là. L'habituelle appréhension face au seul nom d'Adam Sandler.AtCloseRange a écrit : ↑8 août 21, 12:16 Le film s'est fait démolir par la critique et je ne comprends vraiment pas pourquoi (enfin il y a des anti-Sandler).
Ce que j'en disaisAtCloseRange a écrit : ↑17 juin 15, 19:28 The Cobbler (Thomas McCarthy - 2015)
Vu la réception catastrophique du film outre-Atlantique, je me demande si le film va sortir ici et pourtant il le mériterait. C'est un conte naïf entre Woody Allen (on pense un peu à Alice), les frères Coen (pour A Serious Man) et Capra (l'esprit de You Can't Take it With You) qui a pas mal de charme.
Tout ça est sans doute un peu trop "gentil" (c'est la marque de fabrique de McCarthy et ça fait finalement du bien dans le contexte actuel) mais j'ai globalement marché. C'est toujours un excellent directeur d'acteurs (on se rappelle de Richard Jenkins, formidable dans The Visitor ou The Station Agent): Adam Sandler y est très bien (c'est un acteur qui mériterait d'être mieux exploité) et puis il y a le plaisir d'y retrouver Dustin Hoffman et Steve Buscemi.
Le tout est rehaussé par un visuel séduisant et on retrouve l'ambiance un peu surannée et l'ambiance optimiste de certains films des années 80.
Loin d'être un grand film (le scénario patine un peu parfois dans la 2ème moitié même si ça retombe globalement sur ses pattes) mais un film hors du temps et hors des modes (et loin des horreurs récentes commises par Sandler).
Tu vends un peu la mèche, là.
J'ai effectivement hésité à glisser des balises spoilers dans mon message...Beule a écrit : ↑8 août 21, 13:08Tu vends un peu la mèche, là.
Ah ben désoléDéjà qu'en l'état il est bien pourri ce mois d'août...
Mais je l'ai trouvé très bien fichu ce film enquête québécois, et même franchement prenant. Jusqu'à la résolution de l'intrigue, expédiée à la va-vite sur fond de messe noire. Petite sanction dans la notation du coup (pour moi ce n'est pas une mauvaise note).
Mais la sensualité trouble et fatiguée de Karen Black y fait merveille, c'est certain.
Entre anglais et franco-québécois tu veux dire ? Oui, ca contribue à renchérir l'atmosphère nébuleuse et labyrinthique. Des sous-titres pour certaines lignes de dialogues québécois n'auraient pas été superflus du restemanuma a écrit : ↑8 août 21, 13:28
Et j'aime beaucoup la construction narrative du film - assez originale pour l'époque - ainsi que la façon dont les auteurs investissent et jouent du caractère particulier de la ville de Montréal (notamment ce ping-pong linguistique entre français et québécois, qui rajoute de l'étrangeté à l'affaire).
Ah oui, pardon. Entre anglais et franco-québécois plutôtBeule a écrit : ↑8 août 21, 14:02Entre anglais et franco-québécois tu veux dire ? Oui, ca contribue à renchérir l'atmosphère nébuleuse et labyrinthique. Des sous-titres pour certaines lignes de dialogues québécois n'auraient pas été superflus du restemanuma a écrit : ↑8 août 21, 13:28
Et j'aime beaucoup la construction narrative du film - assez originale pour l'époque - ainsi que la façon dont les auteurs investissent et jouent du caractère particulier de la ville de Montréal (notamment ce ping-pong linguistique entre français et québécois, qui rajoute de l'étrangeté à l'affaire).![]()
Bon au final, je crois qu'on est plutôt en phase. Je me retrouve parfaitement dans ce que tu en dis.
Période que je ne regrette pas trop trop, me concernant.AtCloseRange a écrit : ↑8 août 21, 19:41Je me rappelle d'un temps où l'été, c'était surtout le royaume des tops divers et variés.