Dvdclassik : cinéma et DVD

Spongebob a écrit : ↑27 oct. 22, 17:19 Après les deux Démons qui ont occupés mes deux dernières soirées

Alors ? Même pas de petit retour par rapport à ça ?

Spongebob a écrit : ↑27 oct. 22, 17:19 Et tu nous invite même pas ?

Non merci, c'est strictement réservé aux chouettes personnes.

Flol a écrit : ↑27 oct. 22, 17:28

Spongebob a écrit : ↑27 oct. 22, 17:19 Après les deux Démons qui ont occupés mes deux dernières soirées

Alors ? Même pas de petit retour par rapport à ça ?

C'était bien. Il y avait plein de sang et c'était rigolo.

Flol a écrit : ↑27 oct. 22, 17:28

Spongebob a écrit : ↑27 oct. 22, 17:19 Et tu nous invite même pas ?

Non merci, c'est strictement réservé aux chouettes personnes.

Pour finir la soirée après les deux incunables ce sera :

Ce soir, révision du Dagon de Stuart Gordon.

Pas de grande soirée ciné sur NRJ12 ce jeudi, je ne sais pas ce que je vais bien pouvoir faire de ma vie...

D'habitude dans ces cas là je copie sur Flol, mais comme par hasard c'est quand on a besoin de lui qu'il sort se cuiter (avec Bocina)... Typique

Vous êtes vraiment malades si vous passez une journée sans voir un film ?

...et trois heures plus tard, ce que j'ai fait de ma vie aura été de découvrir Cauchemars à Daytona Beach de Romano Scavolini (1981), entre thriller horrifique et petit frère de Halloween (petit frère mais pas simple décalque opportuniste, je précise).

Il y a du "Halloween" mas il y a aussi du "Shining" je trouve...

Avec patience, Scavolini déroule ses deux histoires parallèles (la dérive sanglante d'un schizophrène sur qui a été testée une nouvelle drogue et une famille en Floride avec un sale gamin amateur de farces morbides), dans une atmosphère glauque, malsaine, crue et déprimante. Le récit perd un peu de son intérêt lorsqu'on a (trop rapidement) compris où les deux trajectoires finiront par se croiser, mais le final se rattrape et l'ultime twist en rajoute une couche dans la vision malsaine de l'enfance.

Ce sera un 6,5/10 parce que vu dans la version censurée du vieux DVD Neo Publishing dégoté pour une bouchée de pain. Il semblerait que c'est le réalisateur lui-même qui a coupé l'essentiel des scènes gore, trouvant qu'il était allé beaucoup trop loin. Or ce sont justement ces scènes qui ont fait la réputation du film (surtout une certaine décapitation à la hache par un bambin propre sur lui). Le résultat tient la route même expurgé de ses débordements, mais selon la version que vous verrez et ce que vous y attendiez vous risquez la déception.


Si je ne m'écroule pas avant, je tente Le Vaisseau Fantôme de Mark Robson pour finir la nuit...

cinephage a écrit : ↑25 oct. 22, 18:54 Ce soir, je vais trainer avec des malheureux qui prétendent qu'une vie existe en dehors de la cinéphilie... Pffff... Une occasion de voir un film de ratée !
Mais je me rattrape demain, avec le mal-aimé The Premonition, de Robert Allen Schnitzer.

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Un fan caractérise ainsi le film de "Incredibly muddled, off-putting and ultimately ludicrous" (incroyablement confus, pénible et pour tout dire grotesque (synonymes : absurde, risible, ridicule)).

Un autre afficionado s'intéresse au script du film : "It seemed so much longer than it was and it featured a lot of uninteresting chat." (le film avait l'air tellement plus long qu'il ne l'est réellement, et il débordait de dialogues dénués de tout intérêt)

Un troisième, un certain F... est plus enthousiaste : "Un auteur est né !"

Ben finalement, j'ai plutôt aimé le film. Malgré la confusion de son montage, qui fait des sautes brutales et a quelques soucis d'écriture, il y a là un gout pour le bizarre (j'aurais dit lynchien si le terme n'était pas aussi galvaudé), et une espèce de foi dans le surnaturel qui m'a beaucoup séduit. Ma douce et tendre n'a pas eu ma patience et a trouvé le film lamentable sous toutes les coutures...

Ce soir, soit je suis le cinéphile actif que j'aspire à être, et je vais au cinéma voir Eo et l'innocent, soit je sors vanné du bureau et j'irai me vautrer dans mon canapé devant Arrebato... Aurai-je l'énergie ? C'est le suspense du quinqua, ça... Chaque jour, l'épuisement le dispute à l'envie d'activité.

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Ce soir:

Il vaut mieux etre en forme pour Arrebato.
Je n'avais pas du tout aimé le film à sa decouverte dans la carte blanche Lumiere d'Almodovar, mais comme j'enquillais les visionnages, je ne devais pas etre très concentré ou fatigué ou...pas du tout

Deux incunables pour commencer la journée.

Graustark de Dimitri Buchowetzki (1925) avec Norma Talmadge



Profanazione d'Eugenio Perego (1924-26)



Et pour finir la soirée probablement Au cœur des volcans, Requiem pour Katia et Maurice Krafft de Werner Herzog.

Addis-Abeba a écrit : ↑27 oct. 22, 10:40

Finalement assez moyen, on attend jusqu'à la fin la résolution de l'intrigue, mais rien de passionnant malheureusement.
Le film prend quand même le risque de mettre en personnage principal, un mari volage , pas forcément très sympathique.
Une curiosité à voir une fois.

Pour ce soir, histoire d'être pas d'accord avec G.T.O., ce sera ça :

...

Hey c'est une bonne idee, il y a aussi la version de psychose par gus van sant, il parait assez ludique sur son attrait plan par plan de l'original sur ce que j'ai entendu. Vous avez vu ?

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