Commentaires à propos de votre film du mois

[Flavia]

Je ne regrette pas d'avoir découvert ce magnifique film dont je n'avais jamais entendu parler. N'hésitez pas à le découvrir.

Film du mois : Le groupe (Sidney Lumet)



The Drug King (Woo Min-ho)



Mickey One (Arthur Penn)



Separate Lies (Julian Fellowes)



La communauté (Thomas Vinterberg)

[Jack Carter]

Gros mois : 56 films (32 au festival de La Rochelle du 28 juin au 7 juillet), dont 46 en salles.

un vainqueur incontestable, la premiere version de Elle et lui de Leo McCarey, dont j'avais toujours repoussé le visionnage en raison de copies libres de droit assez infames. La copie presentée par Serge Bromberg à la Rochelle etait, certes, une copie non restaurée issu du MoMa de New York, mais tres correcte (certainement la seule copie de ce film dans cet etat). La bonne nouvelle etant qu'apres quinze ans d'incessantes relances, Bromberg a obtenu du MoMa que cette copie soit restaurée par Lobster. Donc, le film devrait ressortir en 2020 et donc etre redecouvert. J'aime beaucoup Kerr et Grant, mais force est de constater que l'alchimie Dunne-Boyer a nettement ma preference.
Derriere, un puissant muet de Victor Sjostrom, l'un des meilleurs films cannois, une superbe epopée historique en technicolor, et un Fulci hitchcokien et son excellente BO signée Riz Ortolani.
Mention speciale à la mini-serie Chernobyl.

1.


2.

Les Proscrits (Victor Sjostrom, 1918)

3.

Les Miserables (Ladj Ly, 2019)

4.


5.

Perversion story (Lucio Fulci, 1969)

mention speciale

Chernobyl

le mois complet : http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... 0#p2758718

[Rick Blaine]

5.

Perversion story (Lucio Fulci, 1969)

Il m'a l'air très bien ce film, il faut que je le vois !

[Jack Carter]

5.

Perversion story (Lucio Fulci, 1969)

Il m'a l'air très bien ce film, il faut que je le vois !

il passe en salles en ce moment ouchez Le Chat bientot

[Rockatansky]

ça me rappelle la scène de la nuit de l'exorcisme

[cinephage]

La bonne nouvelle etant qu'apres quinze ans d'incessantes relances, Bromberg a obtenu du MoMa que cette copie soit restaurée par Lobster. Donc, le film devrait ressortir en 2020 et donc etre redecouvert. J'aime beaucoup Kerr et Grant, mais force est de constater que l'alchimie Dunne-Boyer a nettement ma preference.

Je suis toujours content lorsque l'on partage mon enthousiasme pour cette première version (l'autre est très bien aussi, mais ici, c'est un pur chef d'oeuvre).
Et cette info sur la restauration à venir du film, ça va me faire la news du jour.

[Alexandre Angel]

(l'autre est très bien aussi, mais ici, c'est un pur chef d'oeuvre).

L'autre est très bien mais il y a la chorale des enfants qui est hyper-pénible.

[cinephage]

(l'autre est très bien aussi, mais ici, c'est un pur chef d'oeuvre).

L'autre est très bien mais il y a la chorale des enfants qui est hyper-pénible.

Hé oui, il y a eu les Bing Crosby entretemps... Moi, j'aime assez, mais ça alourdit le film, ça appuie sur le lacrymo. L'original est plus sobre, il en est d'autant plus fort.

[Spike]

- le montage d'origine, non censuré (perdu)

Il n'y a pas une version intégrale qui ré-intègre les scènes coupées en Allemand ? Je l'avais découvert ainsi, sur Arte qui l'avait diffusée il y a déjà un bail (ce qui perturbait un peu, de voir tout à coup les comédiens doublés en allemand).

En théorie, le montage original existe mais est totalement bloqué niveau droits par la Warner (...). Il a déjà été diffusé à la TV britannique, il me semble, en tout cas de façon certaine en salles récemment de façon évènementielle. Il me semble qu'un fichier tourne sur le net avec ce montage.

Je me suis fondé sur la fiche Wikipédia en anglais pour ma réponse. En ce qui concerne la recréation du montage d'origine : deux scènes entières et quelques petits bouts de scènes violentes/sexuelles ont été coupés entre le montage d'origine et le montage cinéma britannique. Les deux scènes précitées et d'autres ont été retrouvées et réintégrées pour être diffusées dans des festivals et à la TV. Néanmoins, ce montage "amélioré" ne contient pas nécessairement tout ce qu'il y avait dans le montage d'origine.

Much of the cut material was presumed to have been lost or destroyed until critic Mark Kermode found a copy of the complete "Rape of Christ" sequence and several other deleted scenes (including the fuller version of Sister Jeanne's masturbation scene as well as additional sequences (...) in 2002. (...) Although some material may have been lost forever, the NFT was able to show The Devils in the fullest possible state in 2004.

[Jeremy Fox]

Et François Ozon remporte la Palme sur 25 films vus.

devant

Le résumé :


* Grâce à Dieu : François Ozon 2019 : 7.5/10

* Des jours et des nuits dans la forêt (Aranyer din ratri) : Satyajit Ray 1970 : 7/10
* Traversons la Manche (Dangerous when Wet) : Charles Walters 1953 : 7/10
* Désir d'amour (Easy to Love) : Charles Walters 1953 : 7/10
* Les 4 filles du Dr March (Little Women) : Gillian Armstrong 1994 : 7/10
* Breakfast Club : John Hughes 1985 : 7/10
* Toy Story 4 : Josh Cooley 2019 : 7/10

* Saint Amour : Gustave Kervern & Benoit Delepine 2016 : 6.5/10
* L’Homme qui rétrécit (The Incredible Shrinking Man) : Jack Arnold 1957 : 6.5/10
* Le Juge : Philippe Lefebvre 1984 : 6.5/10
* Requiem for a Dream : Darren Aronofsky 2001 : 6.5/10
* 40 ans, toujours puceau (The 40 Year Old Virgin) : Judd Apatow 2005 : 6.5/10
* La Première sirène (Million Dollar Mermaid) : Mervyn LeRoy 1952 : 6.5/10
* Les Aventures de Bernard et Bianca (The Rescuers) : Wolfgang Reitherman 1977 : 6.5/10
* Deux fils : Serge Moatti 2019 : 6.5/10
* L'aventure c'est l'aventure : Claude Lelouch 1972 : 6.5/10

* Une Balle signée X (No name on the Bullet) : Jack Arnold 1959 : 6/10
* Les Bronzés : Patrice Leconte 1978 : 6/10
* En cloque mode d'emploi (Knocked Up) : Judd Apatow 2007 : 6/10
* Vice : Adam McKay 2019 : 6/10

* Big : Penny Marshall 1988 : 5/10
* Irréprochable : Sebastien Marnier 2015 : 5/10

* Rendez- vous : André Téchiné 1985 : 4/10
* La Favorite (The Favourite) : Yórgos Lánthimos 2019 : 4/10

* Le Clan des Mac Masters (The McMasters) : Alf Kjellin 1970 : 2.5/10

[MJ]

1. Le Vent (Victor Sjöström)



2. Nosferatu (F.W. Murnau)



3. Larmes de Clown (Victor Sjöström)



4. Permanent Vacation (Jim Jarmusch)



5. I was a teenage serial killer (Sarah Jacobson)

[cinephage]

Je suradore ton #1, que je rêve de voir sur grand écran.

Je me note ton #5, qui est apparemment un court-métrage. Je suppose qu'il t'a fait forte impression...

[Dreano]

Le(s) Film(s) de Juillet :















Quant à la "déception" du mois elle se voit attribuée à :



Les archives de tournages et des essais préparatoires sont tours à tours intrigants, passionnants et envoutants - quelle "expérience" visuelle et sensorielle cela aurait donné une fois achevé.
Mais les 2 réalisateurs du documentaire, Serge Bromberg et Ruxandra Medrea, les proposent dans un écrin d'une grande fadeur.
5 ou 6 intervenants qui se contentent tous de répéter exactement la même chose à chaque apparition à l'image : H-G Clouzot était pénible, colérique, complètement submergé... et rien d'autre.
2 comédiens laissés en - mauvaise - improvisation totale qui ne font jamais "vivre" le texte qu'ils se contentent de réciter. J'aime bien les 2 acteurs d'habitude mais là il aurait fallu les diriger un minimum, Jacques Gamblin déclamant chaque réplique sur le même ton éteint.
Un simple montage des éléments d'époques sur fond musical aurait eu plus de force que cette insistance sur l'axe d'auto-sabordage de Clouzot.

[MJ]

Je suradore ton #1, que je rêve de voir sur grand écran.

Oula, ça passerait bien oui...

Je me note ton #5, qui est apparemment un court-métrage. Je suppose qu'il t'a fait forte impression...

Court-métrage (aisément trouvable sur youtube), typique de la mouvance riot grrrl : mal-aimable, dans une forme systématique de confrontation, avec un vrai désarroi derrière sa rage viscérale. Ca m'a pas mal impressionné, oui (le premier et unique long-métrage de Sarah Jacobson est pas mal non plus, même si son genre de doigt d'honneur à tout le monde tient un peu moins la longueur).

[Beule]

Un mois de juillet quantitativement peu dense, mais qui ne m'apporte pas moins son lot d'heureuses découvertes.
Derrière mon film de mois, La Visita, c'est Ivan Passer qui tire son épingle du jeu : ses deux premiers films, le premier tchèque, le second hollywoodien, témoignent de la même inspiration cocasse et singulière. Mention spéciale aussi à un Bolognini inattendu, fiévreuse et poignante observation des velléités contestataire de la jeunesse italienne des années de plomb.

Film du mois

Annonces matrimoniales (Antonio Pietrangeli)


2 - Né pour vaincre (Ivan Passer)


3 - Chronique d'un homicide (Mauro Bolognini)


4 - Éclairage intime (Ivan Passer)


5 - China gate (Samuel Fuller)


6 - Dr. Akagi (Shôhei Imamura)


7 - Fin d'automne (Yasujirô Ozu)


8 - La chronique des pauvres amants (Carlo Lizzani)