Classement des sorties Cinéma/VOD 2023 [clos]

[Alexandre Angel]

Perfect Days (Wim Wenders) : 7/10

Adhésion au film pour son humanité, son acteur principal et un thème qui me tient à cœur : comment l'émerveillement est-il à aller chercher dans la dimension la plus routinière de l'existence.
On est pas loin du Paterson, de Jim Jarmusch, en moins excentrique et, il faut bien l'admettre, inventif (ces musiques un peu prévisibles).

[Rockatansky]

Old dads - Bill Burr - 5,5/10

[nunu]

Napoléon : 6.5/10

Très loin d'être la purge annoncé. Son gros défaut on sent que c'est pas la version intégrale, ya des enchainements bizarres qui a mon avis sont du a des coupes. pareil deux extraits de journaux aparaissent a l'écran mais est écrit en Anglais ???? Pourquoi même si c'est tourné en Anglais, les personnages étant français ils doivent lire du Francais et pas de l'anglais. par contre j'ai beaucoup aimé les scènes de bataille.

[Harkento]

About Kim Sohee : 8,5 / 10
Saules aveugles, femme endormie : 8 / 10
Anatomie d'une chute : 8 / 10
Voyage en Italie : 8 / 10
Limbo : 8 / 10

Babylon : 7,5 / 10
A mon seul désir : 7,5 / 10
Suzume : 7,5 / 10
Burning Days : 7,5 / 10
Vincent doit mourir : 7,5 / 10

Yannick : 7 / 10
Empire of light : 7 / 10
La famille Asada : 7 / 10
Chien de la casse : 7 / 10
Le capitaine Volkogonov s'est échappé : 7 / 10
Le garçon et le héron : 7 / 10
The Killer : 7 / 10
Je verrais toujours vos visages : 7 / 10

Mysanthrope : 6,5 / 10
Nostalgia : 6,5 / 10
Mad God : 6,5 / 10
L'envol : 6,5 / 10
Love Life : 6,5 / 10
Le règne animal : 6,5 / 10
Mystère à Venise : 6,5 / 10
Mars Express : 6,5 / 10
Le livre des solutions : 6,5 / 10
Farang : 6,5 / 10
Les algues vertes : 6,5 / 10
Mon Crime : 6,5 / 10
Dongeons et Dragons : 6,5 / 10

The whale : 6 / 10
Glass Onion : 6 / 10
Knock at the cabin : 6 / 10
Extraction 2 : 6 / 10

The Flash : 5,5 / 10
Spiderman – into the spiderverse : 5,5 / 10
Mission Impossible, Dead reckoning : 5,5 / 10
Les gardiens de la galaxie 3 : 5,5 / 10
The killer of the flower moon : 5 / 10
La syndicaliste : 5 / 10

Asteroid City : 4,5 / 10
Beau is Araid : 4,5 / 10
The fabelmans : 4,5 / 10
AKA : 4,5 / 10
The equalizer 3 : 4,5 / 10
Insidious 5 : 4,5 / 10
Les gueules noires : 4 / 10
La main : 4 / 10
Barbie : 4 / 10
Elémentaire : 4 / 10
Megan : 4 / 10

65 la terre d'avant : 3,5 / 10
Indiana Jones 5 : 3,5 / 10
John Wick 4 : 3 / 10
Acide : 3 / 10
The wrath of Becky : 2,5 / 10
The creator : 2,5 / 10
Blue Beetle : 2 / 10
The Expendables 4 : 1 / 10

ABOUT KIM SOHEE (July Jung) : 7,5/10

ça fait plaisir.
Certainement dans mon top 3 de l'année.

Pour moi, film de l'année pour l'instant.

[Jack Burns]

Le principal 3/10

[Lohmann]

Orlando, ma biographie politique (dispo sur Arte depuis le 30/11) 5/10
Les Filles vont bien 4/10
Augure 4/10

[Rockatansky]

Mayday - Jean-François Richet - 6/10

[Karras]

Nimona (Netflix) : 5/10

[douane eddy]

Simple comme Sylvain : 6.5/10

[Jack Carter]

La Bete dans la jungle (Patrick Chiha) : 5.5

[Karras]

Mise à jour du classement

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Un petit frère
Astrakan
Un homme heureux
Chevalier Noir
Women Talking
Christophe… définitivement
La Chambre des merveilles
Alma Viva
Le Prix du passage
War Pony
Medellin
Marinette
Magnificat
De nos jours
Rendez-vous à Tokyo
Tropic
Agent Stone
Seconde jeunesse
Le Gang des bois du temple
Le Château Solitaire dans le Miroir
Le Grand chariot
Club zero
Portraits fantômes

[tchi-tcha]

Joyeux anniversaire, Disney !

Wish : Asha et la bonne étoile (Chris Buck & Fawn Veerasunthorn) 4/10
(Chris Buck et Jennifer Lee - co-réalisateurs et scénaristes de La Reine des Neiges - signent le film célébrant le centenaire de Disney avec un dessin animé qui manque singulièrement de souffle (et de singularité, aussi). Ce qui n'est pas pratique du tout pour souffler cent bougies...
Dans le détail :

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- Au niveau de l'écriture, si le tandem de La Reine des Neiges inscrit Wish dans la modernité du studio, ce n'est pas pour le meilleur. Le message prime sur le reste, en prenant tellement soin de cocher toutes les cases supposées progressistes de l'époque qu'il s'interdit la moindre liberté (seul un ballet dans le poulailler vient apporter un peu de folie pendant deux minutes), et surtout en oubliant qu'avant de véhiculer un message on attend de Disney une histoire qui fasse rêver.
- Annoncé sur les affiches en Real 3D, c'est techniquement assez frustre. Je ne l'ai vu qu'en 2D, les décors sont vides et plats avec un élément de forme circulaire (visage ou autre) qui évolue au centre de l'image, comme si le mélange de 2D et de 3D n'était pas au point. Une étrange impression de régression de la part d'un studio dont le savoir-faire technique ne devrait plus être à démontrer.
- Quelqu'un a eu la mauvaise idée que puisqu'on célèbre les cent ans de Disney, il faudrait truffer Wish d'easter eggs. Parfois c'est discret, parfois c'est très lourd (le faon qui s'appelle Bambi, l'enfant qui veut voler qui s'appelle Peter Pan), et toutes les sources sont présentées pendant le générique de fin pour qui voudrait chercher qui correspond à quoi. On n'est plus dans des références cachées mais dans une espèce de multiverse Made in Marvel, où l'obligation de caser TOUS les clins d'œil aux classiques prime sur la cohérence du récit. La aussi, on dirait que Disney ne sait tout simplement plus raconter une histoire qui fasse rêver.
- Comme d'habitude, on se plaindra qu'il y a trop de chansons et qu'elles ne sont pas terribles. Au moins cette fois-ci elles sont oubliées sitôt entendues et il n'y a pas de tentative de R&B comme avec Encanto, donc ça aurait pu être pire.

Trop de cases à cocher entre le message politique et les références aux classiques, une inspiration en berne et une animation elle aussi à la peine, Wish est moins un gâteau d'anniversaire qu'un bulletin de santé du studio Disney, pas au mieux de sa forme ces temps-ci.)

PS : vu en VOST, ne me demandez pas ce que vaut le doublage avec Lambert Wilson, Isabelle Adjani et Gérard Darmon.

[Joshua Baskin]

Joyeux anniversaire, Disney !

Wish : Asha et la bonne étoile (Chris Buck & Fawn Veerasunthorn) 4/10
(Chris Buck et Jennifer Lee - co-réalisateurs et scénaristes de La Reine des Neiges - signent le film célébrant le centenaire de Disney avec un dessin animé qui manque singulièrement de souffle (et de singularité, aussi). Ce qui n'est pas pratique du tout pour souffler cent bougies...
Dans le détail :

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- Au niveau de l'écriture, si le tandem de La Reine des Neiges inscrit Wish dans la modernité du studio, ce n'est pas pour le meilleur. Le message prime sur le reste, en prenant tellement soin de cocher toutes les cases supposées progressistes de l'époque qu'il s'interdit la moindre liberté (seul un ballet dans le poulailler vient apporter un peu de folie pendant deux minutes), et surtout en oubliant qu'avant de véhiculer un message on attend de Disney une histoire qui fasse rêver.
- Annoncé sur les affiches en Real 3D, c'est techniquement assez frustre. Je ne l'ai vu qu'en 2D, les décors sont vides et plats avec un élément de forme circulaire (visage ou autre) qui évolue au centre de l'image, comme si le mélange de 2D et de 3D n'était pas au point. Une étrange impression de régression de la part d'un studio dont le savoir-faire technique ne devrait plus être à démontrer.
- Quelqu'un a eu la mauvaise idée que puisqu'on célèbre les cent ans de Disney, il faudrait truffer Wish d'easter eggs. Parfois c'est discret, parfois c'est très lourd (le faon qui s'appelle Bambi, l'enfant qui veut voler qui s'appelle Peter Pan), et toutes les sources sont présentées pendant le générique de fin pour qui voudrait chercher qui correspond à quoi. On n'est plus dans des références cachées mais dans une espèce de multiverse Made in Marvel, où l'obligation de caser TOUS les clins d'œil aux classiques prime sur la cohérence du récit. La aussi, on dirait que Disney ne sait tout simplement plus raconter une histoire qui fasse rêver.
- Comme d'habitude, on se plaindra qu'il y a trop de chansons et qu'elles ne sont pas terribles. Au moins cette fois-ci elles sont oubliées sitôt entendues et il n'y a pas de tentative de R&B comme avec Encanto, donc ça aurait pu être pire.

Trop de cases à cocher entre le message politique et les références aux classiques, une inspiration en berne et une animation elle aussi à la peine, Wish est moins un gâteau d'anniversaire qu'un bulletin de santé du studio Disney, pas au mieux de sa forme ces temps-ci.)

PS : vu en VOST, ne me demandez pas ce que vaut le doublage avec Lambert Wilson, Isabelle Adjani et Gérard Darmon.

Je souscris à quasi 100%.
L'écriture est affreuse (je suis sorti plusieurs fois du film) et il y a des pans entiers du scénario que je serai bien incapable de résumer. Mais globalement, beaucoup trop de choses passent par les dialogues. Les chansons sont affreuses et les références à Disney (je ne savais même pas que le film serait si référentiel) sont amenées à la truelle, à tel point que c'en est souvent gênant.
La seule bonne scène est effectivement celle des poules que je trouve très réussi.
En revanche, j'ai trouvé les décors en 2D plutôt beaux.

Le reste c'est poubelle. Un peu dommage pour un film qui devait fêter les 100 ans de la naissance des studios Disney.

Wish (Fawn Veerasunthorn, Chris Buck) : 4/10

[Karras]

Winter Break (The Holdovers) (7,5/10) : Ceux qui ont aimés "la dernière corvée" de Hal Ashby devraient s'y retrouver.

[zemat]

SIMPLE COMME SYLVAIN : 6/10
Si j’ai beaucoup apprécié la première partie s’étendant sur un joli coup de foudre, j’ai été un peu surpris par une scène de dispute trop extrême face à ce qu’on nous a présenté des personnages. Puis j’ai hélas moins accroché à ce qui suivait.

LA TOUR : 7/10
Les critiques très mitigées m’avaient tenu à l’écart lors de sa sortie en début d’année, mais ce fut une très bonne surprise car j’ai beaucoup aimé.
C’est marrant car les sauts dans le temps (5 mois, 2 ans puis 5 ans) m’ont beaucoup fait penser à « Threads » car ils amplifient énormément l’aspect désespéré de la situation.
Je comprends que certains n’aient pas aimé cette vision très noire de la société, s’avançant rapidement vers un tribalisme, mais provoque encore plus de tension dans les relations entre les habitants.