Ah oui, c'était bien, ça.
Hier soir, j'ai vu Frères ennemis et Paradise beach sur Netflix.
Pas bien exceptionnels.
J'aime bien Bouajila. Par contre, j'ai de plus en plus de mal avec Kateb... cela dit, Frères ennemis m'a semblé plus réussi.
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Ah oui, c'était bien, ça.
D’Allan Dwan à ça, le mec aura tout fait. Crazy.
Il parait qu'il était très sympa en plus.
Finissant sa carrière sur le hit Pretty woman, titre toujours moins honteux que cet embarrassant Disorderlies, sur lequel je ne misais toutefois pas grand-chose (The Spirit, du même Michael Schultz, avait pourtant été une bonne surprise, la veille, alors que je n'en attendais strictement rien non plus).
Tant que tu devinais sur qui il était (trop) facile de dauber.
Je l'aime bien cette affiche.
C'est quel endroit d'ailleurs qu'on voit tt le temps ? Ce carrefour ds King of NY, L'impasse aussi je crois etc. Il était une fois en Amérique, c'est le bout de washington street, mais cette vignette urbaine avec le metro au dessus, je sais pas.Alexandre Angel a écrit : ↑27 juil. 22, 10:58Je l'aime bien cette affiche.
J'aime sa somptuosité rentrée, le rapport entre ce qu'elle promet, ce qu'on trouve et ce qui est largement exaucé.
Lorsqu'elle est est apparue fin août début septembre 1990, elle me faisait baver d'excitation. Les trois protagonistes qui vous regardent comme surgissant des ténèbres, à moins qu'ils ne soient absorbés par eux et cette illustration magnifiquement mensongère plus bas. Pourquoi mensongère ? Parce qu'elle inscrit le film dans un décorum bien plus ancien que celui de la période réellement couverte, dans une ambiance plus proche de l'univers du Parrain ou d'un film noir des années 40. Ce motif du bas laisse entrevoir une texture romanesque au sens classique (avec ce décor de métro aérien vu des dizaines de fois que nous n'entrapercevrons qu'UNE petite fois dans ce film-ci) dont le film sera totalement dépourvu. Ce dont nous prévient, discrètement, le regard ironique des trois vedettes surplombant cette affiche immergée dans les ténèbres. Goodfellas sera à la fois autre et néanmoins le grand roman noir sardonique qu'elle annonce de manière très habile.
Je ne suis pas contre un petit retour sur celui-là !
Je parie sur une bonne soirée, de ton côté. En tout cas, The Towering inferno mis à part, je crois que c'est mon Guillermin préféré, hors période anglaise que je connais très mal (3-4 titres seulement)