Dvdclassik : cinéma et DVD

Je me mets sur mon 31, j'ai rdv avec Maggie. Parfum, tout ça : check. Ca va pas être simple pour évincer Andy. Un coup de batte dans les rotules au détour d'une ruelle, hop.

shubby a écrit : ↑2 juil. 22, 17:43 Je me mets sur mon 31, j'ai rdv avec Maggie. Parfum, tout ça : check. Ca va pas être simple pour évincer Andy. Un coup de batte dans les rotules au détour d'une ruelle, hop.

Tu es in the mood pour as tears go by toi

candygirl a écrit : ↑2 juil. 22, 16:20

Torrente a écrit : ↑2 juil. 22, 15:50

Demain, j'en saurai donc un peu plus à ton sujet...

Waow, le 1er degré de ta phrase fait limite flipper
Que se passe-t-il donc avec Quantum of Solace ?

Torrente t'as déjà répondu sur sa bravoure pour défendre le film. Disons que de tous les Daniel Craig, Quantum of Solace est généralement considéré comme le plus faible. Surtout quand il bénéficie des séquences d'actions les plus sur-découpées de la franchise, ce qui pose problème. Marc Forster fait bouger sa caméra dans tous les sens pour rendre frénétiques des morceaux de bravoure qui n'avaient pas besoin de ce traitement sans finesse. Quant à la séquence d'opéra vantée par Torrente, c'est très… conceptuel on va dire (la comparaison avec celle de Mission: Impossible - Rogue Nation pour prendre un exemple plus récent fait plutôt mal à ce Bond).

Après, cela reste un divertissement bien rythmé, Daniel Craig assure toujours, mais ça n'a pas la maîtrise visuelle d'un Sam Mendes ou même d'un Martin Campbell.

candygirl a écrit : ↑2 juil. 22, 16:20

Torrente a écrit : ↑2 juil. 22, 15:50

Demain, j'en saurai donc un peu plus à ton sujet...

Waow, le 1er degré de ta phrase fait limite flipper
Que se passe-t-il donc avec Quantum of Solace ?

Torrente t'as déjà répondu sur sa bravoure pour défendre le film. Disons que de tous les Daniel Craig, Quantum of Solace est généralement considéré comme le plus faible. Surtout quand il bénéficie des séquences d'actions les plus sur-découpées de la franchise, ce qui pose problème. Marc Forster fait bouger sa caméra dans tous les sens pour rendre frénétiques des morceaux de bravoure qui n'avaient pas besoin de ce traitement sans finesse. Quant à la séquence d'opéra vantée par Torrente, c'est très… conceptuel on va dire (la comparaison avec celle de Mission: Impossible - Rogue Nation pour prendre un exemple plus récent fait plutôt mal à ce Bond).

Après, cela reste un divertissement bien rythmé, Daniel Craig assure toujours, mais ça n'a pas la maîtrise visuelle d'un Sam Mendes ou même d'un Martin Campbell.

shubby a écrit : ↑2 juil. 22, 17:43 Je me mets sur mon 31, j'ai rdv avec Maggie. Parfum, tout ça : check. Ca va pas être simple pour évincer Andy.

Watkinssien a écrit : ↑2 juil. 22, 18:22Torrente t'as déjà répondu sur sa bravoure pour défendre le film.

Et, toi, tu as répondu deux fois la même chose !

Mosin-Nagant a écrit : ↑2 juil. 22, 18:24

shubby a écrit : ↑2 juil. 22, 17:43 Je me mets sur mon 31, j'ai rdv avec Maggie. Parfum, tout ça : check. Ca va pas être simple pour évincer Andy.

bocina a écrit : ↑2 juil. 22, 18:10

shubby a écrit : ↑2 juil. 22, 17:43 Je me mets sur mon 31, j'ai rdv avec Maggie. Parfum, tout ça : check. Ca va pas être simple pour évincer Andy. Un coup de batte dans les rotules au détour d'une ruelle, hop.

Tu es in the mood pour as tears go by toi

Sauf que chgt de programme, fête du ciné demain, chuis con.
As Tears go by, indeed

Mosin-Nagant a écrit : ↑2 juil. 22, 18:24

shubby a écrit : ↑2 juil. 22, 17:43 Je me mets sur mon 31, j'ai rdv avec Maggie. Parfum, tout ça : check. Ca va pas être simple pour évincer Andy.

Watkinssien a écrit : ↑2 juil. 22, 18:22Torrente t'as déjà répondu sur sa bravoure pour défendre le film.

Et, toi, tu as répondu deux fois la même chose !

shubby a écrit : ↑2 juil. 22, 18:40As Tears go by, indeed

Watkinssien two times a écrit : ↑2 juil. 22, 18:46

Peut-être un double programme : PI et Un Éléphant, ça Trompe Énormément.

Ou New York, New York.

L.R

Ceci n'est pas un remake de Shining

Torrente a écrit : ↑2 juil. 22, 16:36
...c'est l'un des Bond qui se fait le plus dézinguer pour plein de raisons (que je trouve fumeuses).
Mais je l'aime beaucoup et je le défends coûte que coûte sans succès. Je trouve que c'est l'introduction d'un film Bondien la plus époustouflante qui ait jamais été filmée et qu'il regorge de morceaux de bravoure technique (montage, sons, images... comme la séquence de l'opéra, par exemple).

Du coup, je comprends mieux ton 0/10 à Sooryavanshi, cette brillante relecture bollywoodienne de Bad Boys II avec un Ranveer Singh en feu...

candygirl a écrit : ↑2 juil. 22, 16:20
Waow, le 1er degré de ta phrase fait limite flipper

Message qui fait flipper bis : candygirl on sait pas où tu habites mais tu sais où nous trouver : dans le sujet qui rend fou.



Et arrêtez de vous moquer de Watkinssien, il vient de lire une interview du réalisateur de Arthur Malédiction qui met Orson Welles et Mike Tyson dans le même sac, il est sous le choc.

Ou bien alors :

Torrente a écrit : ↑2 juil. 22, 17:32
...la sénilité guette.

Gougnafiers !

J't'en foutrais des "sur-découpés" ou des comparaisons à la noix avec Mission Impossible. Non mais, alors ! De qui se moque-t-on ? Viendez vous battre. Ch'uis prêt !

Y en a pas un, qui a atteint le niveau conceptuel de l'intro de Quantum of solace. Pas un. Tu as l'impression d'être dans la voiture, hors de la voiture, d'être la tôle froissée, et l'orgasme musical et sonore qui en découle. C'est toute la série de bande-dessinée Michel Vaillant résumée en 2 minutes. Maestria totale. Absolue.
Montage dingue dont on comprend chaque plan... quand on n'a pas le cerveau atrophié, bien sûr


En plus, rien de meilleur pour calibrer téléviseur et installation sonore.

soirée redecouverte pour ma part avec

Jack Carter a écrit : ↑2 juil. 22, 20:49 soirée redecouverte pour ma part avec

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Chef-d’œuvre !

Ah ouais carrément ? 'lé pas sur OCS ?

En tout cas, ça ne court pas les rues, des 1ers films aussi réussis (aussi beaux et simples à la fois et mis en boîte en 11 jours seulement).