Classement des sorties Cinéma/VOD 2023 [clos]
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Magic Mike - Dernière danse / Steven Soderbergh _ 5
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Equalizer 3 : 5.5/10
Court-métrages de Wes Anderson :
La Merveilleuse Histoire de Henry Sugar : 6.5/10
Le Cygne : 7.5/10
Le Preneur de rats : 4/10
Venin : 5.5/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Le Manoir hanté (3/10)
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Fair Play: 6/10 - Après lecture de Teaser ce week-end, je me suis laissée convaincre. Passé la première scène qui fait craindre un succédané de 50 Nuances and co (cela fait sans doute partie du cahier des charges Netflix pour attirer le chaland), ce drame psychologique explore avec finesse les rapports de force dans le monde de la finance et leur impact sur le couple formé par 2 cadres à hauts potentiels lorsque la femme est promue. Le discours sur l'égalité homme-femme n'est pas asséné de façon dogmatique, et c'est plutôt plaisant: la réalisatrice ne juge pas ses personnages. Par ailleurs, il y a assez peu de films qui s'attachent au monde de l'entreprise du point de vue des cadres: je pensais à In the Air de Jason Reitman ou à Ressources Humaines de Laurent Cantet.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Les Espions de l'aube - Cliff Walkers / Zhāng Yì-Móu _ 5
Film d'une belle élégance stylistique mais à l'intrigue complètement brumeuse et peu/pas captivante.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Totally Killer : 4/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Le Ravissement: 7,5/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
DogMan : 6/10
N'étant pas spécialement fan du cinéma de Besson (jamais vu le Grand Bleu par exemple et ma foi je ne m'en porte pas plus mal), j'avoue avoir fait le déplacement essentiellement pour la performance de Caleb Landry Jones dont le goût prononcé pour les personnages violemment atypiques m'interpelle depuis la découverte de l'acteur dans l'Antiviral du fiston Cronenberg. Je n'ai pas vu Nitram dans lequel il se glissait dans la peau d'un sociopathe mais sans trop me tromper, je pense que DogMan est l'occasion pour lui de franchir un cap supplémentaire en endossant ce rôle bien, bien chargé d'enfant battu élevé par(mi) les chiens qui, paralysé des jambes suite à un ultime accès de fureur de sa brute épaisse de paternel, va une fois adulte épouser une carrière de transformiste/robin des bois moderne vivant à l'écart de la société, entouré de ses bébés d'amour à 4 pattes. Évidemment, la simplicité enfantine de l'écriture de Besson (c'est souvent le cas chez lui) n'est pas vraiment le point fort de cette espèce de fable pleine d'excès requérant du coup une bonne dose d'indulgence côté vraisemblance (il faut voir ce dont sont capables ces chers toutous). Même constat pour la structure narrative, aussi heurtée que notre antihéros, qui revêt donc des allures de patchwork alternant les genres (de l'amorce de thriller, on saute rapidement au mélodrame à la Dickens avant d'opérer un détour par l'action avec un gang mafieux latinos, et ainsi de suite). On passera aussi sur certaines séquences quelque peu embarrassantes comme la revisite express de l'oeuvre de Shakespeare par un jeune Douglas trouvant soudain dans le théâtre un moyen de rayonner (et accessoirement de vivre ses premiers émois), le numéro de la môme Piaf (sic) ou bien encore le final christique (re-sic).
N'empêche que le film parvient à intervalles réguliers à surmonter ses nombreux défauts. En particulier lors des scènes plus calmes de dialogue entre notre ami des bêtes solitaire, poignant, et la psychiatre dépêchée dans le centre de détention où il a été placé avant un probable procès afin de tenter de percer à jour cet énigmatique et extravagant prisonnier. Côté technique, ça se tient plutôt bien j'ai trouvé, la mise en scène de Besson se montrant aussi inspirée qu'efficace et on est assez éberlué devant certains plans avec tous ces chiens savants. Impossible du reste de ne pas penser au White God de Kornél Mundruczó et plus récemment au Dogman de Matteo Garrone (avec qui Besson dit s'être lié d'amitié). Et puisqu'on est dans les filiations, je n'ai pu m'empêcher d'établir un (petit) parallèle aussi avec le Joker revisité par Todd Phillips. Au final, un film de guingois donc qui s'il ne suscite pas de véritable enchantement se laisse regarder sans déplaisir et s'impose surtout comme ce que le réalisateur a fait de mieux (ou de moins pire, c'est selon le camp dans lequel on se place) depuis un bon bout de temps.
N'étant pas spécialement fan du cinéma de Besson (jamais vu le Grand Bleu par exemple et ma foi je ne m'en porte pas plus mal), j'avoue avoir fait le déplacement essentiellement pour la performance de Caleb Landry Jones dont le goût prononcé pour les personnages violemment atypiques m'interpelle depuis la découverte de l'acteur dans l'Antiviral du fiston Cronenberg. Je n'ai pas vu Nitram dans lequel il se glissait dans la peau d'un sociopathe mais sans trop me tromper, je pense que DogMan est l'occasion pour lui de franchir un cap supplémentaire en endossant ce rôle bien, bien chargé d'enfant battu élevé par(mi) les chiens qui, paralysé des jambes suite à un ultime accès de fureur de sa brute épaisse de paternel, va une fois adulte épouser une carrière de transformiste/robin des bois moderne vivant à l'écart de la société, entouré de ses bébés d'amour à 4 pattes. Évidemment, la simplicité enfantine de l'écriture de Besson (c'est souvent le cas chez lui) n'est pas vraiment le point fort de cette espèce de fable pleine d'excès requérant du coup une bonne dose d'indulgence côté vraisemblance (il faut voir ce dont sont capables ces chers toutous). Même constat pour la structure narrative, aussi heurtée que notre antihéros, qui revêt donc des allures de patchwork alternant les genres (de l'amorce de thriller, on saute rapidement au mélodrame à la Dickens avant d'opérer un détour par l'action avec un gang mafieux latinos, et ainsi de suite). On passera aussi sur certaines séquences quelque peu embarrassantes comme la revisite express de l'oeuvre de Shakespeare par un jeune Douglas trouvant soudain dans le théâtre un moyen de rayonner (et accessoirement de vivre ses premiers émois), le numéro de la môme Piaf (sic) ou bien encore le final christique (re-sic).
N'empêche que le film parvient à intervalles réguliers à surmonter ses nombreux défauts. En particulier lors des scènes plus calmes de dialogue entre notre ami des bêtes solitaire, poignant, et la psychiatre dépêchée dans le centre de détention où il a été placé avant un probable procès afin de tenter de percer à jour cet énigmatique et extravagant prisonnier. Côté technique, ça se tient plutôt bien j'ai trouvé, la mise en scène de Besson se montrant aussi inspirée qu'efficace et on est assez éberlué devant certains plans avec tous ces chiens savants. Impossible du reste de ne pas penser au White God de Kornél Mundruczó et plus récemment au Dogman de Matteo Garrone (avec qui Besson dit s'être lié d'amitié). Et puisqu'on est dans les filiations, je n'ai pu m'empêcher d'établir un (petit) parallèle aussi avec le Joker revisité par Todd Phillips. Au final, un film de guingois donc qui s'il ne suscite pas de véritable enchantement se laisse regarder sans déplaisir et s'impose surtout comme ce que le réalisateur a fait de mieux (ou de moins pire, c'est selon le camp dans lequel on se place) depuis un bon bout de temps.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Il va vraiment falloir que je l'ouvre, ce sujet sur Dogman. Même pas pour le plaisir de troller ou de se foutre de la gueule de Gros Luc, juste pour que le topic soit là le jour où des classikiens curieux décideront de jeter un œil au film.
Par ordre d'apparition :
Par ordre d'apparition :
(...dès que je trouve le temps et une idée de sondage)TheGentlemanBat a écrit : ↑11 oct. 23, 18:23 ...ce que le réalisateur a fait de mieux (ou de moins pire, c'est selon le camp dans lequel on se place) depuis un bon bout de temps.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Un prince (Pierre Creton) : 5/10
Ça a mal commencé pour moi. J'étais parti pour écrire "redoutable/10" et puis une espèce d'envoûtement tout à fait relatif m'a fait tenir.
Saluons l'étrangeté de l'objet, insuffisante néanmoins à l'emballement.
Ça a mal commencé pour moi. J'étais parti pour écrire "redoutable/10" et puis une espèce d'envoûtement tout à fait relatif m'a fait tenir.
Saluons l'étrangeté de l'objet, insuffisante néanmoins à l'emballement.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Traquée (Duffield) 3/10
Même Kaitlyn Dever (Unbelievable, Dopesick) n'arrive pas à sauver ce ramassis de clichés éculés.
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Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Reptile : 6,5/10
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
Golda (Guy Nattiv) : 6,5/10
Echo troublant aux événements du moment, le film n'est pas un biopic sur Golda Meir mais se focalise sur ses actions durant la guerre de Kippour il y a pile 50 ans.
Tourné avec visiblement assez peu de moyens, le film n'en reste pas moins assez captivant dans sa retranscription des nombreuses réunions entre militaires et politiques pour savoir s'il faut ou non attaquer.
Helen Mirren fait le job. A noter la présence de Camille Cottin, assez visible à l'écran mais qui doit aligner 3 phrases et demie en 1h30.
Le pire voisin du monde (Marc Forster) : 5/10
Après 10 premières minutes sympathiques dans laquelle Tom Hanks nous la joue Larry David, le film enchaine les poncifs de l'homme acariâtre qui cache un trauma mais qui va être aidé par son entourage. Et ça dure 2h.
Echo troublant aux événements du moment, le film n'est pas un biopic sur Golda Meir mais se focalise sur ses actions durant la guerre de Kippour il y a pile 50 ans.
Tourné avec visiblement assez peu de moyens, le film n'en reste pas moins assez captivant dans sa retranscription des nombreuses réunions entre militaires et politiques pour savoir s'il faut ou non attaquer.
Helen Mirren fait le job. A noter la présence de Camille Cottin, assez visible à l'écran mais qui doit aligner 3 phrases et demie en 1h30.
Le pire voisin du monde (Marc Forster) : 5/10
Après 10 premières minutes sympathiques dans laquelle Tom Hanks nous la joue Larry David, le film enchaine les poncifs de l'homme acariâtre qui cache un trauma mais qui va être aidé par son entourage. Et ça dure 2h.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
C'est mon homme : 4,5/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2023
-Jeanne du Barry: 7/10